Le chef étoilé Thierry Marx, récent Président de l’Union des métiers de la restauration et de l’hôtellerie est venu au palais du Luxembourg
22 mars 2023
PALAIS DU LUXEMBOURG
Le chef étoilé Thierry Marx, récent Président de l’Union des métiers de la restauration et de l’hôtellerie est venu au palais du Luxembourg, à l’invitation de la délégation sénatoriale aux entreprises, afin d’évoquer ses initiatives pour la formation de publics sans emploi vers les métiers de la restauration et la réinsertion professionnelle du plus grand nombre de nos concitoyens
17 mars 2023
POULDREUZIC MAHALON
Intervention devant les élèves studieux et participatifs des écoles primaires de Pouldreuzic et Mahalon sur le rôle des Sénateurs.
La délégation sénatoriale aux entreprises a rencontré la direction d’IDEX
14 mars 2023
BREST
La délégation sénatoriale aux entreprises a rencontré la direction d’IDEX, groupe de 5 500 salariés, dont une antenne à Brest, spécialisé dans la gestion d’outils de production et de distribution d’énergie décarbonée. Un bel exemple d’acteur engagé au service de la transition énergétique de la France.
Le Ministre des solidarités a visité l’institut médico éducatif de Landerneau
13 mars 2023
PLEYBEN
Le Ministre des solidarités, Jean Christophe Combe, après avoir fait le point à Pleyben sur le schéma départemental d’action en faveur des personnes en situation de handicap, a visité l’institut médico éducatif de Landerneau, superbement installé à Landerneau dans l’ancien couvent des franciscains, en présence de la députée Graziella Melchior.
A l’invitation de la chambre d’agriculture du Finistère, une réflexion entre élus consulaires et quelques élus
13 mars 2023
QUIMPER
A l’invitation de la chambre d’agriculture du Finistère, une réflexion entre élus consulaires et quelques élus comme les conseillers départementaux Jacques Gouérou et Marie Christine Lainez, la députée Graziella Melchior ont permis des échanges sur la souveraineté alimentaire de la France.
Avec la présidente du groupe d’amitié France-Moldavie, Veronique Guillotin, nous avons reçu au Sénat Alexandr Trubca, député au parlement Moldave, Président de la commission parlementaire agriculture et industrie alimentaire
8 mars 2023
SÉNAT
Avec la présidente du groupe d’amitié France-Moldavie, Veronique Guillotin, nous avons reçu au Sénat Alexandr Trubca, député au parlement Moldave, Président de la commission parlementaire agriculture et industrie alimentaire, pour un échange de vues sur les relations entre nos 2 pays.
Interdiction du chalutage dans les aires marines protégées : Le gouvernement y est « totalement, clairement et fermement opposé »
8 mars 2023
Interdiction du chalutage dans les aires marines protégées :
Le gouvernement y est « totalement, clairement et fermement opposé »
Lors de la séance des Questions au Gouvernement, ce mercredi, le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste) a interrogé le secrétaire d’Etat en charge de la Mer, Hervé Berville, concernant les difficultés rencontrées par le secteur de la pêche. Le ministre lui a rappelé son refus « total, clair et ferme » du Plan d’interdiction du chalutage dans les aires marines protégées que la Commission européenne souhaite mettre en œuvre.
« La France est un grand pays maritime et nous tenons à ce qu’il le demeure », a tout d’abord souligné le sénateur Michel Canévet avant de rappeler les difficultés de la filière pêche : le Plan d’Accompagnement Individualisé, autrement dit la déconstruction de près de 90 navires de pêche français, le prix du carburant, les prises accessoires dont sont rendus coupables les pêcheurs…
« Mais la principale source d’inquiétude est le projet d’interdiction du chalutage dans les aires maritimes protégées, proposé par la commission européenne le 21 février dernier. Comment imaginer demain ne plus pouvoir pêcher les coquilles Saint-Jacques à Saint-Brieuc, la langoustine ou la lotte au large des Glénan ou les huitres de pleine mer… ».
« Merci pour votre mobilisation pour le maintien et le développement de la filière pêche française. Je le dis très clairement, et cela a été rappelé par la Première Ministre et le Président de la République lors du salon de l’agriculture : la France et le gouvernement sont totalement, clairement et fermement opposés à la mise en œuvre de cette interdiction d’engins de fond dans les aires marines protégées, a souligné le secrétaire d’État, Hervé Berville avant d’expliquer cette position pour trois raisons.
Ça ne reconnaît absolument pas et méconnaît même les efforts des pêcheurs, ces dernières années, qui ont permis la reconstitution de nombreux stocks, dont ceux de coquilles Saint-Jacques.
C’est aussi une prime aux mauvais élèves puisque tous les Etats qui ont créé des aires marines protégées sont désormais sanctionnés et obligés d’interdire ces engins de fond.
Enfin, c’est une folie pour la souveraineté alimentaire de notre pays, qui dépend déjà à plus de 80% des importations pour les produits de la pêche.
Il faut arrêter d’opposer le développement de la filière halieutique à la question de la protection de la biodiversité marine. Depuis des années, nous menons les deux de front. Notre priorité est de continuer à avoir des capacités de production, d’entraîner la filière sur la décarbonation et la réduction des énergies fossiles : nous l’avons démontré cet hiver en soutenant par quatre fois la prolongation des aides au carburant et le soutien à cette filière ».
« Merci de cet engagement fort du gouvernement attendu par les marins pêcheurs. Il convient d’être particulièrement actif, c’est une question de souveraineté », lui a répondu le sénateur.
Le groupe d’études sur le handicap a reçu l’association TDAH (troubles du déficit de l’attention avec ou sans hyper activités)
6 mars 2023
SÉNAT
Le groupe d’études sur le handicap a reçu l’association TDAH (troubles du déficit de l’attention avec ou sans hyper activités) avec la présentation d’un film sur cette pathologie. La déléguée interministérielle sur les troubles comportementaux a rappelé la mise en place de 95 plateformes de dépistage précoce sur le territoire national et l’évolution de la prise charge des frais en découlant, notamment pour 35000 enfants en 2022 en France.
Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous nous auditionnons différents interlocuteurs afin de formuler des recommandations sur les questions d’emploi, de formation et de compétences
6 mars 2023
SÉNAT
Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous nous auditionnons différents interlocuteurs comme l’OCDE, des universitaires, les directeurs de France Compétence, Pôle emploi, de la direction générale de l’enseignement scolaire, de la délégation à la formation professionnelle, afin de formuler des recommandations sur les questions d’emploi, de formation et de compétences.
Inauguration à Châteaulin des nouveaux locaux d’ABI 29 et d’Inservet qui se charge de récupérer et valoriser les vêtements usagers des finistériens
4 mars 2023
CHATEAULIN
Inauguration à Châteaulin des nouveaux locaux d’ABI 29 et d’Inservet qui se charge de récupérer et valoriser les vêtements usagers des finistériens. Une très belle boutique pratiquant des prix très modestes, comme l’ont relaté les présidents des 2 associations Didier Lennon et Jean Loaec, et le président du département Maël de Calan est ouverte à tous.
En groupe d’études handicap au Sénat, j’interroge la Ministre déléguée Geneviève Darrieussecq sur l’adaptation de l’école inclusive
2 mars 2023
SÉNAT
En groupe d’études handicap au Sénat, j’interroge la Ministre déléguée Geneviève Darrieussecq sur l’adaptation de l’école inclusive, d’une nécessaire programmation pluriannuelle des établissements et services, et sur l’accompagnement des entreprises adoptées face aux coûts générés par la crise énergétique.
Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro
27 février 2023
PARIS
Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro, la fédération française d’oléagineux (colza, tournesol, soja), et de protéagineux (poix, fèveroles, légumes secs). De nombreuses applications, notamment les biocarburants, en plus de l’alimentation humaine et animale peuvent être déclinées autour de ces productions importantes pour la souveraineté française.
Patrick Tanguy, Maire du Juch, m’a présenté les projets en cours sur la commune pour valoriser le patrimoine
26 février 2023
LE JUCH
Patrick Tanguy, Maire du Juch, m’a présenté les projets en cours sur la commune pour valoriser le patrimoine. Après de gros travaux sur l’église, un bâtiment attenant à l’école est en cours de rénovation pour y aménager une garderie et un logement pour une famille. A suivre la rénovation d’un bâtiment emblématique du centre bourg pour y ouvrir un restaurant.
Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »
22 février 2023
Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »
Liliana TANGUY – Députée
Michel CANEVET – Sénateur
Le Plan d’Accompagnement Individuel (PAI) annoncé par le Gouvernement impacte fortement la flottille du pays Bigouden au niveau des hauturiers qui pratiquaient tout ou partie de leur activité de pêche dans les eaux britanniques.
C’est cela qui a conduit la Commission européenne à autoriser les états membres de l’UE à financer, sur des fonds européens, le retrait de navires de pêche. Comptant plus de 43% du total des 2 860 navires de pêche français aujourd’hui, nous savions que la Bretagne serait impactée dans ce plan de sortie de flotte. 64 demandes de sortie de navires ont été adressées par les armateurs bretons pour 45 navires qui seraient retenus. Il s’agit donc bien d’une démarche menée par les armateurs, qu’ils soient pêcheurs artisans ou responsables d’armements à la pêche.
Nous le regrettons, mais les réalités économiques, elles existent même si certains ne veulent pas l’entendre, les obligeant à saisir les opportunités, nous l’espérons pour mieux rebondir.
Cela est possible car le secrétaire d’état à la mer Hervé Berville, devant les professionnels de la filière pêche et les élus du pays Bigouden lors de sa visite au port du Guilvinec, a rappelé que 70% des quotas de pêche des bateaux concernés par le PAI reviennent à l’Organisation de Producteurs (OP). Cela doit permettre de maintenir une activité très significative dans nos ports
De multiples facteurs expliquent la situation actuelle. En décembre dernier, nous (députée et sénateur) avons rencontré, successivement, les principaux armateurs à la pêche du pays Bigouden afin, par un dialogue direct avec eux, de bien comprendre et partager les enjeux futurs de la filière. Nous avons également reçu, en début d’année, d’autres acteurs locaux du secteur de la construction navale et du mareyage pour évoquer les solutions permettant d’assurer l’avenir de l’ensemble de la filière.
Tout d’abord, le manque de marins ne permet pas de faire sortir tous les navires, puisque plusieurs de ceux qui figurent dans le PAI sont à quai depuis de nombreux mois. Même l’appoint de marins étrangers n’a pas suffi jusqu’à présent : il y a donc un effort collectif à réaliser pour attirer des jeunes vers ces métiers, car on gagne bien sa vie à la pêche. Cela suppose de ne pas sombrer dans la sinistrose, de promouvoir les métiers, de permettre à des jeunes ou des adultes en reconversion de faire quelques marées pour tester le métier et l’aptitude à la mer. Cela implique également que la région Bretagne, responsable du lycée maritime du Guilvinec /Léchiagat-Treffiagat, y réalise des investissements pour l’accessibilité et l’hébergement des jeunes et des stagiaires.
Ensuite, il y a la question du prix du carburant : le Gouvernement a accompagné, bien au-delà de ce qui est fait pour chacun d’entre nous, la consommation de carburant par une subvention au litre, qui se poursuit parce que nous avons insisté pour cela auprès du Gouvernement, avec les professionnels. Mais, comme ce subventionnement ne peut perdurer indéfiniment, nous devons aussi réduire la dépendance du secteur aux énergies fossiles en trouvant rapidement des solutions technologiques permettant de s’orienter vers la décarbonation des navires. Le Ministre a déjà annoncé des enveloppes financières pour accompagner les projets : nous appuierons les initiatives en ce sens.
Nous soutenons également le Gouvernement et le président de la commission pêche au parlement européen, Pierre Karleskind, pour l’obtention des quotas de pêche et souhaitons la pluri annualité des quotas afin de donner de la visibilité aux pêcheurs.
L’accompagnement de cette transition vers la décarbonation nécessite de trouver d’autres moyens financiers permettant d’assurer le fonctionnement actuel des navires de pêche. C’est pourquoi, dès sa réélection en juin 2022, Liliana Tanguy a alerté la Première Ministre, Elisabeth Borne, sur les difficultés des pêcheurs du quartier du Guilvinec en proposant à Matignon un mécanisme de compensation du prix du gazole basé sur une contribution volontaire de la filière aval (dispositif présenté à l’initiative de Stéphane Pochic, patron d’armement à Loctudy). En décembre 2022, nous avons chacun proposé, dans le cadre du Projet de loi de finances rectificative, d’instituer une taxe sur les produits de la pêche maritime, au taux de 2%, perçue au profit de France Filière Pêche. Face au coût du carburant qui pèse fortement sur les charges d’exploitation de nombreux armements, il nous paraît, en effet, indispensable que s’exerce la solidarité au sein de la filière en instaurant une contribution volontaire obligatoire des distributeurs au bénéfice des pêcheurs.
Se pose également la question de la ressource halieutique : à ceux qui décrient l’Europe, nous disons « heureusement qu’elle se préoccupe des poissons », car ceux-ci n’ont pas de frontières, et si le continent britannique était si prisé, c’est parce que les eaux y sont très poissonneuses. Avec le Brexit, décidé par les britanniques eux-mêmes, rappelons-nous bien, l’accès à ces zones de pêche sont devenues plus difficiles, mais la négociation menée par le Gouvernement nous a permis de retrouver un grand nombre de licences de pêche. Nous savons que c’est par une gestion organisée que les stocks de poissons se renouvelleront et que nous pourrons en disposer pour nos enfants. Reste que le prix du poisson n’est pas toujours assez bien rémunéré. Quand on a vu, lors des fêtes de décembre dernier, le prix de la lotte, principal poisson pêché dans les ports Bigoudens, à 3€ le kg, il y a des efforts à faire pour faire connaître ce produit et mieux le valoriser. Le consommateur, par son acte d’achat, peut également influer sur le cours des produits de la mer et favoriser le poisson de pêche française.
Reste aussi, sur ce sujet des poissons, à intégrer les attentes sociétales, de respect des espèces et de la biodiversité. Les ONG sont très présentes dans le débat sur la pêche, parce que beaucoup de nos concitoyens sont mobilisés pour la préservation de la diversité animale sur la planète, y compris dans les océans. C’est le sens des discussions internationales pour sanctuariser 30% des océans et éviter que le pillage des ressources ne dégrade les stocks halieutiques. Cela doit nous permettre aussi d’assurer l’avenir de la pêche, en même temps que de lutter contre le réchauffement climatique, qui risque de modifier les espèces.
Enfin, il y a les sujets du renouvellement des flottilles et de l’installation de nouveaux patrons de pêche. Le coût des investissements est tel que c’est un réel frein à l’amélioration des outils de travail. C’est pourquoi nous souhaitons que la mobilisation du maximum d’épargne puisse s’effectuer afin de favoriser l’installation de jeunes, de conserver chez nous les navires dont les patrons partent à la retraite. Comme les Bigouden Makers ont su le faire pour transformer l’hôtel de Bretagne, l’épargne disponible des bigoudens, attachés au dynamisme de la pêche, pourrait s’orienter en partie vers la construction de bateaux neufs. Nous appelons également, et espérons que les Comités des Pêches l’inciteront, les patrons pêcheurs et armements ayant bénéficié du PAI, s’élevant à 20 millions d’euros de fonds publics injectés sur le territoire, à réinvestir dans l’économie locale afin de sauver les emplois et préserver l’identité du pays Bigouden.
Interrogé le 14 février dernier par la députée Liliana Tanguy sur les conséquences du PAI, Hervé Berville a répondu en réaffirmant la transparence concernant la réattribution des quotas et droits de pêches, la préservation des équilibres entre les ports et, surtout, l’importance de continuer à investir pour développer la pêche, secteur essentiel pour la souveraineté alimentaire française.
A ces conditions, nous sommes persuadés que le pays Bigouden et la Bretagne continueront à être les lieux emblématiques de la pêche française et confirmer, ainsi, l’ambition maritime de la France.
Visite de la licorne Ledger à Vierzon (avec des antennes à Paris et San Francisco) par la délégation sénatoriale aux entreprises
20 février 2023
VIERZON
Visite de la licorne Ledger à Vierzon (avec des antennes à Paris et San Francisco) par la délégation sénatoriale aux entreprises. Cette société créée par des français est aujourd’hui leader mondial de la sécurité des crypto-actifs. De petits composants électroniques qui permettent à ceux qui adoptent les cryptomonnaies ou achètent des actifs par voie dématérialisée de détenir leur propre coffre fort.
Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré à Bourges Olivier Monin, Président des sirops Monin
16 février 2023
BOURGES
Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré à Bourges Olivier Monin, Président des sirops Monin. Une très belle entreprise de 1000 salariés, réalisant 500 millions € de chiffre d’affaires, dont 80% à l’export, engagée dans la production de produits de façon naturelle.
André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole
10 février 2023
BRETAGNE
André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole, en présence des préfet et président de la région Bretagne. Les premiers échanges montrent déjà la pluralité et l’importance de l’agriculture bretonne au sein des 30000 exploitations de la région.