Archives Mensuelles: février 2017
Plonéour-Lanvern : L’horizon 2017 du conseil. Finaliser le PLU
27 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
L’horizon 2017 du conseil. Finaliser le PLU
Lundi, le conseil municipal a débattu des orientations budgétaires de la politique communale pour l’année à venir. Dessinées par les différentes commissions, ces perspectives définissent un prolongement de la politique engagée sur ce mandat. « La commune peut s’enorgueillir d’un doublement de la marge d’autofinancement. Ce qui permettra d’amortir un peu la baisse des dotations », a notamment expliqué Danielle Daguerre, adjointe aux finances, comme pour souligner une bonne gestion. Les élus n’ont, pour autant, pas fait d’annonce d’investissement retentissante au cours de la réunion.
L’année du PLU
Le gros projet de l’année reste la finalisation du PLU communal. Le conseil s’est prononcé contre le transfert de la compétence à la communauté de communes. Automatique au 27 mars sans opposition manifeste des communes, les élus ont estimé « que le dessaisissement de la compétence PLU remettait en cause la légitimité de la commune à assumer l’aménagement du territoire communal ». Les élus de l’opposition se sont abstenus sur le sujet. Dans cette gestion, un échange de deux terrains avec Pontl’Abbé a été décidé en lisière des communes. Le conseil a également opté pour une enquête publique permettant de céder des propriétés communales, essentiellement de la voirie, à des propriétaires riverains. Pas moins de 24 zones sont concernées.
Médiathèque et routes
L’entretien de la voirie, des réseaux comme des bâtiments municipaux mobilisent une grande part investissements programmés. Les élus entendent, cette année, poursuivre les travaux engagés. Ainsi l’engagement d’un programmiste pour le projet de médiathèque pluri-fonctionnelle, la poursuite du projet de giratoire au croisement des routes de Saint-Jean et de Pont-l’Abbé avec la reconstruction d’un bar et de logements « seront les axes les plus visibles de l’action communale en 2017 ».
En bref
Un plan d’informatisation des différents services et de renouvellement pluriannuel du parc informatique de l’école sont également envisagés. Au niveau social, Michel Canévet, le maire, s’est réjoui de l’installation, le matin même, d’un nouveau médecin dans un local communal. À Élisabeth Huet qui s’étonne que le CCAS lui ait alloué une subvention de 5.000 € pour l’achat de matériel, Michel Canévet a rappelé l’engagement de la municipalité « pour avoir des médecins » et ne pas avoir « d’état d’âme à investir de l’argent public en ce sens », conclut-il. Élisabeth Huet s’est, par ailleurs, réjouie de « la tarification en fonction du coefficient familial », des services à l’enfance, « une de nos propositions », a-t-elle rappelé.
Plonéour-Lanvern : Sports. L’extension de la salle inaugurée
25 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
Sports. L’extension de la salle inaugurée
Cinq vestiaires, un club house, une mise aux normes d’accessibilité et un dispositif de déshumidification de la salle. Le tout pour 640.000 €. Samedi soir, à l’occasion du match de rink-hockey en N1 contre Mérignac, la municipalité a inauguré l’extension de la salle omnisports. Sur le budget global, 130.000 € sont à la charge de l’Etat et 60.000 € financés par le Département. « Le chantier s’est passé dans de bonnes conditions. Le calendrier du championnat a été aménagé pour que le premier match à domicile se déroule en novembre », a rappelé Pierre Gloanec, élu en charge du projet.
Officiels
Samedi soir l’architecte et maître d’oeuvre, les représentants des onze entreprises ayant participé aux travaux, l’organisme de contrôle et les trois clubs qui utilisent actuellement l’installation ont été invités à l’inauguration officielle. Le maire, Michel Canévet et une grande partie de la municipalité étaient présents pour saluer « un travail réalisé dans un délai très court » (de mai à fin octobre). Pierre Gloanec a rappelé l’historique des rénovations avec, en particulier, la réfection du sol technique, des bardages et structures de la salle en 2008.
Un apéritif avant le match a été servi dans le tout nouveau club house. Malheureusement, sur le terrain de jeu l’équipe a perdu son match contre Mérignac (4 à 5) et à l’issue, un repas a été pris avec les invités.
Dernière séance au Sénat de la 14ème législature de la Vème république
23 février 2017
Dernière séance au Sénat de la 14ème législature de la Vème république
Dernière séance importante car le projet de loi a été adopté en 1ère lecture par le Sénat rendant optionnelles pour les communautés de communes et d’agglomération les compétences eau et assainissement. J’ai défendu et obtenu un amendement initié par Françoise Gatel séparant eau pluviale de l’assainissement.
Intervention en hémicyle : Maintien des compétences « eau » et « assainissement » dans les compétences optionnelles des communautés de communes
Michel CANÉVET : La compétence de l’eau pluviale est aujourd’hui incluse dans la compétence de l’assainissement en raison d’une interprétation jurisprudentielle, ce qui est particulièrement regrettable.
En tant que président d’une communauté de communes rurales, j’éprouve les pires difficultés à intégrer cette compétence dans les futures compétences communautaires à cause des enjeux financiers absolument considérables : il n’y a aucune recette à mettre en face du transfert de cette compétence.
Or, encore une fois, ce n’est que par interprétation que l’eau pluviale a été rattachée à l’assainissement. Vous le comprenez bien, cette situation n’est pas acceptable. Il vaudrait mieux que la compétence des eaux pluviales soit précisément définie et que les communautés qui souhaitent se l’approprier puissent le faire librement, en définissant à la fois les charges et les ressources pour l’assumer. Aujourd’hui, tel n’est pas le cas, ce qui met les communautés en difficulté, d’autant que l’échéance du 1er janvier 2018 est assez proche. Imaginez les difficultés pour les collectivités !
Cet amendement vise donc à scinder les deux compétences de sorte que les choses soient beaucoup plus claires.
http://www.nossenateurs.fr/seance/16174#inter_1980b260c1427520694fa973dc3640d9
Michel Canévet : entretien à Ouest-France
22 février 2017
Michel Canévet : entretien à Ouest-France
Le sénateur finistérien n’écarte pas un soutien au leader d’En marche ! Pourtant, l’UDI négocie avec François Fillon pour les législatives.
François Bayrou propose une alliance à Emmanuel Macron à condition que les deux hommes trouvent des consensus : qu’en dites-vous ? Je l’avais soutenu lors des trois dernières élections présidentielles. Il est bon qu’il ne se présente pas cette fois-ci. Son temps est passé. Nous sommes aussi un peu tard dans la campagne électorale. Je respecte sa proposition d’alliance avec Emmanuel Macron. J’attends que celui-ci présente son programme. Macron est aujourd’hui le candidat le plus européen qui défend l’esprit d’entreprise et des valeurs de solidarités nécessaires à notre société.
Hésitez-vous à voter François Fillon, Les Républicains (LR) à cause du « Pénélopegate » ? Ces affaires m’interpellent. Mais, j’attends l’issue des investigations avant de me prononcer sur la question. Justement, j’ai apprécié la demande de moralisation de la vie publique de François Bayrou lors de sa conférence de presse.
Mais, normalement vous devriez voter François Fillon : l’UDI passe des accords avec LR pour les législatives ? Si demain je décide de soutenir Macron, je devrais me mettre en congé de l’UDI. Je suis bien dans la famille centriste. Mais, être à l’UDI cela ne veut pas dire suivre toujours le même candidat. Il faut faire preuve de discernement. Pour l’heure, je n’ai pris aucune décision. Tout est possible.
Ce qui vous permet de maintenir la pression sur vos alliés LR ? Oui, c’est vrai.
Ouest-France du 23 février 2017
Commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la nation – Intervention le 21/02/2017
21 février 2017
Commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la nation – Intervention le 21/02/2017
Michel Canévet : C’est un sujet sensible. Nous devons donc saisir l’opportunité des mutations pour réajuster les valeurs locatives, et étaler la réforme dans le temps pour ne pas déclencher une bronca qui déstabiliserait les autorités locales et nationales. Mieux vaudrait privilégier une approche intercommunale, puisque l’intercommunalité prélève déjà une bonne partie de la fiscalité locale. Elle a aussi une certaine distance par rapport au terrain. Évitons donc une segmentation par commune, quitte à passer par une expérimentation.
http://www.nossenateurs.fr/seance/15861#inter_5ecacedb769e6f5973e1746961e252c8
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Amendement « Loi NOTRe »
La loi NOTRe (article 68) a prévu que les compétences « Eau » et « Assainissement » seront transférées à titre obligatoire aux intercommunalités au 1er janvier 2020.
Les articles L.2224-11 et suivants du CGT prévoient actuellement le principe de l’équilibre des Services publics industriels et commerciaux que sont les services publics de l’eau et de l’assainissement sauf pour les communes de moins de 3 000 habitants et les EPCI dont aucune commune membre n’a plus de 3000 habitants.
Dans ce contexte, les nouvelles intercommunalités mises en place au 1erjanvier 2017 devront, dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale, lors de la prise des compétences eau et assainissement, et si elles comptent une commune de plus de 3000 habitants, équilibrer leurs budget annexes de l’eau et de l’assainissement par les seules redevances des usagers. Ainsi, ces communautés ne pourront plus bénéficier de l’exception offerte par l’article L. 2224-2 du CGCT compte tenu de l’élargissement des périmètres et de l’intégration de ce fait de nombreuses communes dépassant le seuil de 3 000 habitants.
Afin d’éviter une augmentation excessive du prix de l’eau et de l’assainissement pour les usagers lors du transfert de la compétence à l’EPCI dans le cas précité, il est proposé de relever le seuil de 3 000 à 5 000 habitants pour les communes et les EPCI.
Ainsi, dans le cadre de la généralisation du régime fiscal de FPU, cette question de seuil est d’autant plus importante que les communes appartenant à une intercommunalité ne comportant pas de communes de plus de 5000 habitants ne subiront pas, alors, les déductions de l’attribution de compensation quand leurs budgets annexes ne seront pas équilibrés.
Aussi, ce correctif à la loi NOTRe par cet assouplissement permettra aux communes et aux communautés de préparer et de faciliter l’harmonisation des tarifs (le cas échéant) qui impliquent les fusions d’EPCI et la prise de la compétence « eau et assainissement » par l’intercommunalité.
NB: La présente rectification porte sur la liste des signataires.
http://www.nossenateurs.fr/amendement/20162017-410/4
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Texte de la commission N° 410 (2016-2017) sur la proposition de loi pour le maintien des compétences « eau » et « assainissement » dans les compétences optionnelles des communautés de communes
Article additionnel après article unique
Le II de l’article L. 5218-7 du code général des collectivités territoriales est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque la compétence visée au a) du 5° du I de l’article L. 5217-2 est déléguée au conseil de territoire, celui-ci peut la confier aux communes ou groupements de communes qui l’exerçaient antérieurement. »
Exposé Sommaire :
Le présent amendement a pour objet de permettre, de manière pragmatique, de maintenir la répartition actuelle des compétences en matière d’assainissement et d’eau au sein de la métropole dans les cas où cette solution apparaît la plus satisfaisante.
NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.
http://www.nossenateurs.fr/amendement/20162017-410/5
Cliquez sur les liens actifs pour avoir le contexte du débat.
Communiqué de l’UDI-UC – Réforme territoriale et communes rurales : Les sénateurs centristes défendent les communes rurales et la ruralité de demain
21 février 2017
Communiqué de l’UDI-UC
Réforme territoriale et communes rurales : Les sénateurs centristes défendent les communes rurales et la ruralité de demain
Communiqué de l’UDI-UC : Bilan de l’application des lois
21 février 2017
Communiqué de l’UDI-UC
Bilan de l’application des lois
A l’occasion de deux débats, j’ai eu l’honneur de porter la voix du Finistère et du groupe centriste.
20 février 2017
A l’occasion de deux débats, j’ai eu l’honneur de porter la voix du Finistère et du groupe centriste.
A l’occasion de deux débats, j’ai eu l’honneur de porter la voix du Finistère et du groupe centriste.
Lors du bilan d’application des lois, j’ai rappelé l’erreur qu’est l’intégration des POS, les Plans d’occupation des sols, au sein du RNU, règlement national d’urbanisme. Les POS sont un enjeu territorial, nationaliser la question c’est réduire les possibilités d’adaptation de chaque territoire. J’ai donc interpellé mes collègues sur la nécessité d’une intégration des POS au sein des PLU.
Ma seconde intervention a acté mon engagement sur la question des disparités entre communes rurales et grandes villes. Les inégalités de subventions en matière de DGF sont inadmissibles !
Les communes et la politique locale sont les leitmotivs de ma politique en tant que Sénateur du Finistère et hier j’ai essayé de les défendre de mon mieux.
Voir les deux communiqués de presse du 21 février 2017
Présidentielle : Michel Canévet dans l’expectative
20 février 2017
Présidentielle : Michel Canévet dans l’expectative
Entretien
Michel Canévet, sénateur UDI et maire de Plonéour-Lanvern.
Allez-vous parrainer un candidat à la présidentielle ?
Oui. Mais je n’ai pas encore fait mon choix. Ce ne sera pas forcément une personne que je soutiendrai par la suite. Je suis très ouvert et très attaché à l’expression du plus grand nombre.
Donc un parrainage de « petit candidat » ?
Je suis susceptible de parrainer un petit candidat, oui. Mais pas forcément. Une personne dont les convictions seront conformes à mes valeurs. Sur l’Europe, par exemple. Sur une plus grande liberté d’entreprendre : ou encore pour un retour à l’équilibre du budget de l’État. Mais aussi sur le régionalisme, la place de la langue bretonne et de la région dans l’espace politique…
Vous pourriez parrainer Christian Troadec ?
Pourquoi pas !
Comment sentez-vous le climat de ces élections ?
Il y a un profond discrédit des personnages politiques. Les affaires qui sortent ne facilitent pas les choses pour les élus de terrain. Je ressens très fortement une colère des citoyens.
En tant que sénateur, quelle est votre réaction ?
Il faut que les élus soient exemplaires. Car dès qu’un personnage politique est touché par une affaire, c’est l’ensemble des élus qui est déconsidéré. Les gens sont exaspérés par certains comportements, affaires de détournements ou fraudes fiscales. Oui, il y a un vrai discrédit de la classe politique.
Et l’affaire Fillon ?
Ce n’est pas au niveau de la légalité que se pose le problème mais sur l’aspect moral. Le citoyen ne comprend pas qu’on puisse utiliser autant d’argent public au bénéfice de ses proches. Cela fait de gros dégâts dans l’opinion.
Au profit des extrêmes…
Bien sûr. Et cela va faire grand tort à cette élection présidentielle. Les partis extrémistes recueillent les voix des citoyens qui n’ont plus confiance.
Les citoyens souhaitent un renouvellement des élus…
On constate une grande défiance vis-à-vis des personnages politiques qui exercent le pouvoir depuis longtemps.
Quel candidat soutiendrez-vous ?
Je ne le sais pas pour l’instant. J’attends de voir les programmes qui permettront de sortir la France de la situation difficile dans laquelle elle se trouve.
Jean Arthuis, dont vous étiez proche, soutient Emmanuel Macron…
Oui. Et je reste proche de Jean Arthuis.
En tant que centriste, que pensez-vous donc du candidat Macron ?
Là encore, j’attends la présentation de son programme pour me prononcer. Macron peut être la solution, je ne ferme pas la porte.
Et François Bayrou ?
Je pense qu’il aura du mal à faire acte de candidature.
Délégation sénatoriale aux entreprises
22 février 2017
Sénat
La semaine dernière je siégeais à la délégation sénatoriale aux entreprises. Nous reprenons ensemble le dernier rapport d’Olivier Cadic, sénateur UDI-UC des Français de l’étranger.
Ce rapport porte des propositions nécessaires visant à simplifier les normes et les obligations administratives des entreprises. Il est ainsi un prolongement du pacte de simplification.
L’un de mes grands combats en tant que sénateur est celui de la simplification. Trop de freins empêchent notre République de fonctionner, trop de blocages ruinent la compétitivité de notre entreprise, nous devons nous saisir de l’enjeu de la simplification et en faire notre premier combat pour remettre la France sur les rails de la réussite.
CDMJSEA 29. L’associatif aussi distingué
18 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
Samedi matin, à la salle polyvalente, le Comité des médaillés de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif du Finistère a tenu son assemblée générale, sous la présidence de Micheline Saffre, en présence de Michel Canévet, sénateur-maire, Annick Le Loch, députée du Finistère, Jean-François Stéphan, conseiller départemental et Jacqueline Palin, présidente du comité régional olympique et sportif.
Du haut de ses 287 licenciés, le comité reste parmi les vingt premiers de France. Il est en tout cas un des plus actifs. « Notre distinction, qui était à l’origine le mérite sportif, se doit désormais de distinguer la famille « Jeunesse et éducation populaire » et « engagement associatif ». Il en découle un flux plus lent d’accession aux distinctions des sportifs hommes et femmes qui nourrissent pourtant le plus les listes d’attente », a annoncé Micheline Saffre.
La journée mondiale du bénévolat du 2 décembre, vouée à l’arbitrage, aura constitué un des points forts en 2016. « Douze Finistériennes particulièrement méritantes ont été distinguées ». Pour 2017, « il est important que de nouveaux administrateurs plus jeunes, nous rejoignent. La date du 13 juin a été retenue pour la sortie annuelle vers les pays de Quimper de Concarneau ». Enfin, la journée mondiale du bénévolat, prévue
au mois de décembre, verra la remise des challenges aux jeunes arbitres.
Micheline Saffre, particulièrement investie au sein du comité, a été réélue au conseil d’administration et reconduite dans ses fonctions.
Plonéour-Lanvern, Aardeur : le manque de subventions inquiète
10 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
L’assemblée générale de l’Aardeur (Association agréée des riverains défenseurs et usagers des rivières) a eu lieu vendredi soir, à la cantine municipale, en présence d’Annick Le Loch, députée, Michel Canévet, sénateur-maire et Jean-François Le Bléis, conseiller départemental. Après avoir souhaité la bienvenue aux élus et à la quarantaine de membres présents, le président, Pierre Bilien, a rappelé que l’association rayonne désormais au niveau départemental. Il déplore donc l’arrêt des subventions du conseil départemental. Or, la situation financière, bien qu’encore saine, inquiète en raison des dépenses annuelles nettement supérieures aux recettes. « Cette situation a un impact direct sur le développement de l’association, les riverains hésitant à s’engager sans l’assurance d’être subventionnés », précise-t-il. L’espoir est cependant de mise avec, en 2018,
la possibilité d’engagement des communautés de communes et de la région Bretagne.
18,5 km de rivière restaurés en 2016
De juin à octobre 2016, onze chantiers ont permis de restaurer 18,5 km de rivières, dont le ruisseau de l’étang de Saint-Vio. En 2017, le programme restera chargé, avec l’entretien de la partie nord de la rivière de Pont-l’Abbé et de la partie sud du ruisseau de Lanvern. Les membres ont élu Hervé Bihan et Tanguy Kernoa au conseil d’administration et renouvelé le tiers sortant. Pour conclure, les élus ont pris la parole pour souligner l’importance de l’association pour la qualité des eaux, son utilité publique et pour remercier les riverains bénévoles pour leur implication.
Le Télégramme
CCHPB : ateliers prospectifs sur un projet de territoire entre les 10 communes
9 février 2017
POULDREUZIC
Durant toute la matinée de samedi, nous avons pensé le futur de notre belle intercommunalité.
De nombreux ateliers prospectifs nous ont permis d’élaborer un projet de territoire entre nos 10 Communes.
Un beau moment de partage et de réflexion entre citoyens.
Éducation civique, la politique expliquée aux enfants : Michel Canévet avec les enfants de l’école Victoire de Saint Luc de Landudec
8 février 2017
Éducation civique, la politique expliquée aux enfants : Michel Canévet avec les enfants de l’école Victoire de Saint Luc de Landudec
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Plonéour-Lanvern :
8 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
Une cinquantaine de parents d’élèves se sont retrouvés, mercredi midi, devant l’école maternelle publique, à la sortie des classes, pour dénoncer la suppression d’un demi-poste à la rentrée 2017-2018. La direction académique a décidé de le supprimer, au vu des départs des grandes sections en primaire et du peu d’arrivée prévue en classe de très petite section (dix enfants). Les parents d’élèves ont écrit au maire et à la directrice de l’inspection académique du Finistère pour demander le maintien de ce poste. Ils craignent au contraire le sureffectif des classes à la rentrée. En effet, selon eux, le calcul de la direction académique ne tient pas compte des inscriptions de la deuxième partie de cette année scolaire et des données démographiques de la commune (150 nouveaux logements en cours, accueillant majoritairement une population de jeunes couples. D’autres logements sont encore prévus).
Soixante naissances annuelles
Le maire, Michel Canévet et André Quéau, ont également écrit à la directrice de l’inspection en expliquant la situation démographique de la commune avec ses 60 naissances annuelles, en moyenne. La moitié de ces enfants peut aller, dès l’âge de deux ans, à la maternelle de l’école publique. Ils demandent également de tenir compte du fait que la municipalité de Pont-l’Abbé a décidé de ne plus accueillir les enfants des communes qui ne cotisent pas. C’est le cas de Plonéour. Bien que beaucoup de nouvelles habitations soient proches de Pont-l’Abbé, un service de cars dessert toute la commune. Les effectifs, 113 élèves, et ces inscriptions tardives, confirment la prévision de la directrice de l’école, Sylvie Guéguen, qui avait estimé le nombre d’élèves cette année à 120. La direction académique table uniquement sur 98 élèves. Pour les parents d’élèves, et en cas de retrait du demi-poste, les classes risquent d’être surchargées à la rentrée. Plus de 30 élèves en cas de suppression et déjà 27 élèves en cas
de maintien, « alors que la bienveillance est à l’ordre du jour dans les programmes officiels, l’Éducation nationale supprime des postes », précisent-ils. Et de terminer : « Ce poste étant à 61 % de temps de travail, il serait très difficile de le récupérer par la suite ». La commission paritaire se réunit demain, à Quimper, afin d’arrêter sa décision. Les élus se disent
confiants quant au maintien du demi-poste.
SIOCA : Appréhender les nouvelles pratiques
7 février 2017
POULDREUZIC
Les élus ont interpelé le Sénateur Michel Canévet sur la loi littoral
Le Syndicat intercommunautaire Ouest-Cornouaille s’est retrouvé lundi soir pour aborder les projets de 2017 comme la loi Littoral, le PLU de Douarnenez ou encore le développement des transports doux.
Le comité syndical du Sioca était réuni lundi soir à Pouldreuzic. L’heure des comptes et du lancement des projets 2017 pour l’Ouest Cornouaille avec la prise en compte de nouvelles pratiques.
Baisse des cotisations
Les comptes du Sioca sont dans le vert avec un excédent global de 92.000 €. Ce qui permet cette année encore une baisse de la cotisation des quatre communautés de communes. Elle sera, pour 2017, de 0,80 € par habitant, soit 17.265 € pour Douarnenez, 15.864 € pour le Cap-Sizun, 16.209 € pour le Haut Pays bigouden et 38.196 € pour le Pays bigouden sud. Une baisse de 20 % en deux ans. Le budget total du Sioca pour 2017 est de 198.182 €. Avec des projets inscrits comme la refonte du site (opérationnel fin 2017), le projet de schéma vélo et celui de la cohérence de la signalétique directionnelle et touristique.
Schéma vélo, utile ou pas ?
L’étude sur le schéma vélo a soulevé des interrogations du côté d’Henri Goardon, maire de Goulien « Encore une étude ? À 45.000 € ! » Ce à quoi Florence Crom, présidente du Sioca a répondu : « C’est la déclinaison du schéma vélo départemental sur notre territoire. On a besoin de faire un recensement et une cartographie. Les communautés de communes et les communes le déclineront ensuite -ou pas- sur leur territoire. » C’est la cohérence territoriale qui est ici recherchée. « Par les temps qui courent, je crois qu’on n’a pas les moyens. Des études on n’en a plein les placards ! », a néanmoins fait remarquer Henri Goardon. Pour Pierre Plouzennec, maire de Plozévet, les futures révisions du PLU devront comporter un volet déplacements doux, « le schéma vélo nous sera alors utile. »
Dynamiser les centres
Pour accompagner la redynamisation des centres-villes, suite au constat récurrent de délocalisations en périphérie de différents services publics, santé, banques, assurances…, le Sioca va rencontrer, durant le mois de mars, les commerçants de l’Ouest-Cornouaille.
Télétravail pour du dynamisme
Une formule qui se développe. Vincent Gaonac’h a évoqué l’idée de placer ces espaces de télétravail dans les centres bourgs pour les dynamiser. Deux projets privés émergent déjà sur le territoire, l’un sur Audierne où la communauté de communes a mis à disposition un espace où seront accueillis 25 candidats déjà sur les rangs ; l’autre à Douarnenez, où un privé entend également créer un espace de coworking sur le site SuperGel.
Amendements loi Littoral
Les élus du Sioca ont profité de la présence du sénateur Michel Canévet pour l’interpeller sur l’avancée des amendements déposés dans la loi Littoral pour notamment la notion de « dents creuses » dans les hameaux. Pour les élus, « il n’est pas question ici de bétonnage de côte… on est loin de la situation de la Côte d’Azur en Bretagne » ! Pour Michel Canévet, ces amendements arrivent « au mauvais moment », toutefois il espère un vote « avant la fin de la législature le 24 février », car celle-ci ne reprendra que fin juin avec, peut-être, de nouvelles donnes. Toujours est-il que cette loi Littoral a des impacts sur le développement économique, comme l’a souligné le sénateur : « Il ne se passe plus rien sur les cultures marines, parce qu’on ne peut rien développer » !
PLU Douarnenez
Sur le PLU de Douarnenez, qui diminue de moitié ses zones constructibles, le Sioca a émis un avis favorable assorti de quelques recommandations. Elles portent sur le tracé du linéaire commercial (où il est interdit de changer d’affectation) jugé trop long, sur l’implantation possible d’hôtels en périphérie qui ne généreront pas de flux en centralité, sur la densification de la zone du Ris dans la perspective d’une future déviation.
Le Télégramme
Michel Canévet au Sénat
7 février 2017
Michel Canévet au Sénat
Participation globale de Michel Canévet au Sénat au cours de 12 derniers mois – hémicycle et commissions
Réunion départementale UDI
4 février 2017
Réunion départementale UDI
Réunion départementale de l’UDI ce jour à Quimper sous la présidence de Michel CANÉVET, président de l’UDI du Finistère.
A l’ordre du jour la situation politique et économique de la France.
Personnel communal de Plonéour-Lanvern
3 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
Vendredi 3 février 2017, repas annuel du personnel communal de la ville de Plonéour-Lanvern au restaurant scolaire, avec Michel CANÉVET, Sénateur-Maire et les élus municipaux.
L’informatique publique : quels moyens pour l’administration de de demain ? Loi de finances 2017
2 février 2017
L’informatique publique : quels moyens pour l’administration de de demain ? Loi de finances 2017
Visite de l’école de Landudec au Sénat
1er février 2017
Mercredi dernier je recevais des petits finistériens de l’école Victoire de Saint Luc de Landudec durant leur séjour à Paris.
A la question de savoir si j’ai pu rencontrer de futurs parlementaires, je n’ai pas de réponse. Néanmoins ces enfants m’ont assuré d’une autre chose, la curiosité chez les jeunes français est plus forte que jamais.
Mission entreprises du Sénat, à Londres
1er février 2017
LONDRES
J’étais ce jour en déplacement à Londres afin de rencontrer les acteurs économiques en pointe dans le domaine de la fiscalité du numérique.
Etude du e-commerce taxé à la source, rencontres de parlementaires britanniques, ce voyage organisé par la mission entreprises du Sénat fut riche en expériences et en rencontres.
S’adapter au monde de demain en pensant une fiscalité efficiente face à ces changements doit être une priorité.