Archives de Catégorie: CC Haut Pays Bigouden
Au siège de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden, je réceptionne les projets sur j’avais initié lorsque je présidais la Communauté
29 juillet 2020
POULDREUZIC
Au siège de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden, je réceptionne les projets sur j’avais initié lorsque je présidais la Communauté pour permettre le co-working, la visio-conférence et le multimédia. Une belle réussite soulignée par la nouvelle présidente de la Communauté Josiane Kerloch. C’est un projet que j’ai pu financé au titre de la dotation d’action parlementaire en 2017 à hauteur de 17000€.
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden au centre culturel Avel Dro
15 mai 2020
PLOZÉVET
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden au centre culturel Avel Dro, afin d’adopter les dispositions du fonds résistance mis en place à l’échelle de la Bretagne pour soutenir les entreprises dans la crise pandémique.
Assemblée générale de l’office de tourisme du Haut Pays Bigouden à Plozévet
12 février 2020
PLOZÉVET
Assemblée générale de l’office de tourisme du Haut Pays Bigouden à Plozévet. La présidente Liesbeth Van Horne rappelle l’activité intense de l’office en 2019 avec ses 4 employés, le virage numérique avec le Pays Bigouden Sud et met à l’honneur 4 acteurs économiques du territoire : le Castels domaine de Bel Air à Landudec, le cidre Kerne, AOC et doté d’une superbe boutique, membre du pass culturel à Pouldreuzic, les atelières de la reine à Plozévet pour une apiculture douce et artisanale, et Miss Begood, la pomme de terre bio de la famille Le Floch à Landudec.
Cérémonie des vœux à Plozévet pour présenter les actions réalisées et perspectives de travail de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden
7 janvier 2020
PLOZÉVET
Cérémonie des vœux à Plozévet pour présenter les actions réalisées et perspectives de travail de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden, l’occasion pour son président Pierre Plouzennec de signaler qu’il s’agissait de sa dernière cérémonie de vœux en cette qualité.
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Pouldreuzic afin d’examiner les budgets 2019, adoptés à l’unanimité
29 mars 2019
POULDREUZIC
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Pouldreuzic afin d’examiner les budgets 2019, adoptés à l’unanimité.
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Plozévet pour le débat d’orientations budgétaires
8 mars 2019
PLOZÉVET
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Plozévet pour le débat d’orientations budgétaires.
Cérémonie de voeux de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden
7 janvier 2019
POULDREUZIC
Le Président de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden a présenté divers projets d’investissements pour les routes, l’eau, l’assainissement les équipements communautaires en 2019.
Inauguration de la nouvelle salle multifonctions de Plogastel Saint Germain
13 octobre 2018
PLOGASTEL SAINT GERMAIN
Inauguration de la nouvelle salle multifonctions de Plogastel Saint Germain, un projet initié alors que j’étais Président de la Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden. Une réalisation fonctionnelle dans un esprit de mutualisation des moyens.
Mon intervention, ce jour, lors de l’inauguration de la salle multifonctions à Plogastel Saint Germain.
Les élus présents à cette inauguration.
Pôle métropolitain. Un débat le 12 juin 2018
31 mai 2018
GUILER SUR GOYEN
« Monter au front »
Pour le président, il faudra, lors de cette date, « monter au front pour qu’il n’y ait pas de non-dits. Et bien s’entendre sur ce que doit être cet outil nécessaire, où il faut être impliqué avec la prise en compte des territoires plus modestes. Toutes les choses devront être dites ». Ce pôle « préfigure, peut-être, de la taille du futur EPCI (Établissement public de coopération intercommunale, NDLR) qui existera dans dix ou vingt ans », remarquait-il.
Maintenir la proximité
Le sénateur élu communautaire Michel Canévet a souligné que « ce pôle est la contrepartie pour maintenir la proximité », car le territoire « est dépendant de Quimper pour différentes fonctionnalités », suivi par le président, conscient que le Haut Pays bigouden « n’est rien sans Quimper ». Pierre Plouzennec a fait remarquer que l’AOCD (Agence Ouest Cornouaille développement) et le Sioca (Syndicat intercommunautaire Ouest Cornouaille aménagement), « nos outils actuels, seront intégrés dans le pôle ». Sur les 40 délégués au pôle métropolitain, le Haut Pays bigouden en aurait quatre.
Les rapports de vassalité exclus
Les élus ont posé différentes questions concernant la gouvernance, le très haut débit, les ressources financières, le futur Scot (Schéma de cohérence territoriale) de Cornouaille ou la contribution des EPCI. Peu de réponses ont été apportées, mais les élus n’entendent pas être dans un rapport de vassalité : « Quimper est là où il est parce qu’il est au milieu de quelque chose ! », a résumé Pierre Plouzennec, précisant toutefois que ce sont les compétences de la communauté de communes qui seront portées à cet échelon. « On ne retire rien aux compétences communales », concluait-il.
Gens du voyage : une aire d’accueil de 30 places
31 mai 2018
GUILER SUR GOYEN
A Plonéour-Lanvern, théâtre en espagnol par les élèves de l’association intercommunale du Haut Pays Bigouden Dihun
26 mai 2018
PLONEOUR-LANVERN
Que 2018 soit empreinte de joies, de satisfactions pour chacun. Belle et heureuse année nouvelle
27 décembre 2017
Pierre Plouzennec succède, après le vote de jeudi soir, à Michel Canévet, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB)
28 septembre 2017
POULDREUZIC
Pierre Plouzennec succède, après le vote de jeudi soir, à Michel Canévet, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB).
Pierre Plouzennec, maire PS de Plozévet a été élu, jeudi soir, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB). À deux voix de plus que l’autre candidat au poste, Jean-François Le Bléis de Plonéour, il succède ainsi à Michel Canévet qui a fait le choix de privilégier son mandat de sénateur.
Symboliquement, c’est au siège de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden, à Pouldreuzic, que s’est tenue l’élection, jeudi soir, en présence d’une quinzaine de personnes, dont Ambroise Guellec, l’un des artisans fondateurs de cette communauté de communes. Le sénateur Michel Canévet, qui quitte sa fonction de président, exercée pendant quatorze ans, en raison de la loi sur le cumul des mandats, a brossé, à grands traits, le parcours de la communauté, du Sivom au Haut Pays bigouden créé en 1994, avant de céder la place à Albert Le Berre et Solène Conan qui, en leur qualité d’aîné et de benjamine, ont conduit l’élection.
Dix-huit voix contre seize
Jean-François Le Bléis, élu de Plonéour-Lanvern et Pierre Plouzennec, maire PS de Plozévet, se sont déclarés candidats. Après chacun un petit discours de quelques minutes, le vote, à bulletin secret, a suivi. Il y a eu 34 votants, dont deux procurations de Jocelyne Plouhinec et de Katell Scuiller, toutes deux de Plogastel- Saint-Germain. Un seul tour aura été nécessaire : 18 voix pour Pierre Plouzennec et 16 pour Jean-François Le Bléis. Même si, dans le Haut Pays bigouden, le positionnement politique est quelque peu tabou, les tendances gauche-droite sont équilibrées parmi les 34 conseillers. C’est donc une voix de plus qui a fait pencher la balance dans ce scrutin où l’incertitude dominait.
Pierre Plouzennec est ainsi le nouveau président de la communauté de communes jusqu’en 2020, date des prochaines élections municipales. « Il reste deux ans et demi, on ne va pas bouleverser les choses ! », a-t-il réagi. Dans son discours introductif, il a tenu à justifier sa candidature. Pour mémoire, il n’était pas candidat au poste, en 2014, face à Michel Canévet : « Je ne regrette pas mon choix d’alors, en dépit des reproches qui continuent à m’être faits ! » Il a rappelé qu’Ambroise Guellec disait qu’il n’était « pas du bon bord ».
Quel regard sur l’avenir ?
Pour Pierre Plouzennec, il est important de « faire un palier… de porter l’effort sur la rationalisation et la mutualisation des moyens ». Évoquant les incertitudes budgétaires, il a indiqué que le rôle du président était « de porter la voix d’un territoire ». Il en a appelé à la nécessité d’élaborer un projet en Ouest-Cornouaille, pour 2020, « pour que l’équipe qui suivra puisse le mettre en place » et d’ajouter : « L’identité bigoudène ne fait pas un projet ». Pour le vote des vice-présidents, Pierre Plouzennec a opté pour la continuité. En vote groupé, à main levée et à l’unanimité, moins l’abstention d’Elisabeth Huet, neuf vice-présidents ont été élus : Noël Cozic, Michel Burel, Albert Le Berre, Emmanuelle Rasseneur, Thierry Le Gall, Pierre Le Berre, Christian Jolivet, Jean-Louis Caradec et Philippe Ronarc’h. À noter que ce bureau communautaire sera rejoint par la maire de Plogastel- Saint-Germain, Jocelyne Plouhinec et par le – ou la – futur maire de Plonéour- Lanvern qui sera élu demain matin. Justement, avant le vote des vice-présidents, Elisabeth Huet a tenu à intervenir sur la place des femmes dans l’instance du Haut Pays bigouden. « Le bureau continue à être majoritairement masculin. Je souhaiterais qu’il y ait une meilleure représentation des femmes au bureau ». Pierre Plouzennec lui a répondu : « On ne réglera la parité que lorsqu’on passera au vote direct des élus communautaires ». Poussant plus loin, il a ensuite évoqué la parité à mettre en place « bientôt aussi sur la présence des hommes », propos moyennement appréciés par la gente féminine de l’assemblée.
Et les indemnités de fonction
Les élus ont décidé de fixer à 35 % l’indice brut mensuel maximal pour le président et de 15,28 % pour les vice-présidents. Pas très lisible pour qui n’est pas initié ! L’enveloppe annuelle des indemnités des élus du Haut Pays bigouden se monte à 80.136,54 €. Concrètement, ça donne, par mois, pour le président, 1.354 € et, pour chaque vice-président, 592 €.
Le Télégramme du 30 septembre 2017
Droit des sols : Le Pays bigouden réuni
25 septembre 2017
PAYS BIGOUDEN

Michel Canévet et Raylnad Tanter, présidents de la CCHPB et de la CCPBS, avec Enrique Pérez, responsable du service mutualisé et Pierre Le Berre, Maire de Tréogat et vice président à l’habitat de la CCHPB.
Un pas de plus vient d’être franchi dans la coopération entre les deux communautés de communes. Elles viennent de signer une convention de partenariat en matière d’instruction des autorisations du droit des sols. Le service est désormais mutualisé.
Opération programmée d’amélioration de l’habitat (Opah), politique touristique, Centres locaux d’information et de coordination (Clic), aires d’accueil des gens du voyage… Les domaines de coopération entre les deux communautés de communes du Pays bigouden se sont développés ces dernières années. Hier, une nouvelle étape a été franchie. Les deux présidents de ces collectivités ont signé une convention de partenariat en matière d’instruction des autorisations du droit des sols (ADS). « Les contraintes réglementaires sont identiques. Il s’agit d’homogénéiser les pratiques et gagner en cohérence », indique Raynald Tanter, de la communauté des communes du Pays bigouden sud (CCPBS). « L’objectif, c’est aussi de garantir aux communes et aux professionnels une meilleure sécurité juridique », explique Enrique Perez, responsable du service mutualisé.
Des recrutements prévus
Ce service sera réuni sur le même site, à savoir au 14, rue Charles- Le Bastard, à Pont-l’Abbé. Il sera fonctionnel sur son nouveau périmètre d’intervention, au 1er janvier 2018. Ce service est composé de six agents : un responsable, quatre instructrices et une assistante chargée d’accueil. Deux instructeurs supplémentaires titulaires seront recrutés, ainsi qu’une personne en contrat court, le temps d’évaluer la charge de travail. Rappelons que, pour édifier une construction, quelle qu’elle soit, ou réaliser certains aménagements, il est nécessaire d’obtenir une autorisation de la part de la commune. Le maire délivre alors une autorisation du droit des sols (ADS). Celle-ci est donnée au regard du respect de différentes règles d’urbanisme : elles peuvent être nationales (loi Littoral), locales (Scot, Plu) ou il peut s’agir de servitudes dites d’utilité publique (plan de prévention des risques littoraux). Jusqu’au 1er juillet 2015, date fixée par la loi Alur, les communes de moins de 10.000 habitants pouvaient bénéficier de la mise à disposition gratuite des services de l’État pour instruire les demandes ADS (permis de construire et d’aménager, déclaration préalable). Ce service instructeur se charge de vérifier la conformité du projet et soumet au maire, autorité compétente, un projet de décision dont il reste l’unique signataire. La loi Alur a changé la donne en revenant sur cette mise à disposition des services de l’État. D’où cette nouvelle organisation, approuvée à l’unanimité par les conseils communautaires respectifs, à l’échelle du Pays bigouden, pour assurer la mission.
Optimiser les délais
Les déplacements des instructeurs sur site seront encouragés. « Nous souhaitons garantir une qualité de services en assurant une grande disponibilité aux communes souhaitant des informations ou des conseils, indique Enrique Perez. En privilégiant les contacts directs avec le demandeur, nous allons optimiser les délais d’instruction ». Des permanences mensuelles sur les règles d’urbanisme applicables seront prochainement proposées pour les porteurs de projets.
Le Télégramme du 26 septembre 2017
Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden : Michel Canévet préside son dernier conseil
21 septembre 2017
POULDREUZIC
Michel Canévet a conclu : « Je redeviendrai simple conseiller communautaire ».
« C’est la dernière séance de conseil communautaire que je préside ! ». Voilà comment Michel Canévet a officialisé auprès des élus communautaires le choix de son mandat parlementaire au Sénat. Un choix imposé par la loi. L’élection du nouveau président se fera jeudi 28 septembre, à 20 h, au siège de la communauté de communes à Pouldreuzic. Michel Canévet a conclu : « Je redeviendrai simple conseiller communautaire ». Dont acte, nul commentaire dans la salle, ni d’annonces de candidatures pour permettre la réflexion des élus communautaires.
Urbanisme :
À compter du 1er janvier 2018, le service « instruction des autorisations du droit des sols » pour les dix communes du Haut Pays bigouden sera assuré par la communauté du Pays bigouden sud. Du partenariat dans l’air. C’est ce qui a été acté mercredi soir à Plonéour
lors du conseil communautaire du Haut Pays bigouden. En 2015, pour faire face au désengagement de l’État dans ce domaine, les deux communautés de communes avaient décidé chacune de créer leur propre service « droit du sol ». Maintenant, pour plus de cohérence territoriale, les deux communautés ont décidé de fusionner leurs deux services pour les rendre plus efficients.
Tout est regroupé sur un même site à Pont-l’Abbé. Des élus se sont interrogés quant au coût : « Ce sera moins cher ! », a glissé Michel Canévet.
Allô, allô… ?
Le Haut Pays bigouden apportera 1.238.435 € à la deuxième tranche du déploiement de la fibre optique. Le territoire devrait être maillé entièrement pour 2030. « On voudrait que ça aille plus vite ! », ont pointé les élus. En attendant, le choix politique est de consacrer chaque année la somme perçue du Fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales 506.560 € (30.000 € de moins que prévu) à ce déploiement. Philippe Ronarc’h, vice-président chargé du numérique, a interpellé l’opérateur Orange sur « les grosses difficultés rencontrées par les usagers sur le territoire ». Il en appelle à une prise de conscience d’Orange sur l’état des circuits cuivre. Par ailleurs, Pierre Plouzennec a soulevé la question du black-out qui affecte actuellement à Plozévet le réseau des professionnels.
Chers frelons asiatiques… :
Le Haut Pays bigouden avait décidé pour lutter contre le frelon asiatique de financer la destruction des nids via des conventions avec des prestataires. Mais, aujourd’hui, le frelon asiatique s’est bien installé et ça devient « un gouffre sans fonds : 100.000 € par an rien que dans l’Ouest-Cornouaille », souligne Pierre Plouzennec. Le financement est renouvelé jusqu’à la fin mai 2018. Mais on s’engage ensuite vers des actions plus pertinentes : prévention, piégeage.
Modification des statuts :
Les élus ont décidé de reporter cette question à un prochain conseil pour se donner du temps dans la prise de compétences nouvelles. À noter que le Haut Pays bigouden a décidé de ne pas exercer la compétence plan local d’urbanisme intercommunal. « Wait and see ! », a conclu Michel Canévet.
Le Télégramme du 22 septembre 2017
Pays Bigouden : Une présentation dynamique de notre territoire emblématique de Bretagne
3 mai 2017
PAYS BIGOUDEN
Ça décoiffe en Pays Bigouden ce mercredi avec la présentation de la nouvelle marque touristique des 2 Communautés de communes du haut et du sud pays bigouden : Bigoudenjoy
Une présentation dynamique de notre territoire emblématique de Bretagne
Tourisme. Nouvelle marque, nouvelle stratégie
Des lettres noires et blanches sur fond jaune, un rappel discret de la coiffe bigoudène sur le « i » de bigoud et des codes de la marque Bretagne symbolisée par les trois traits : « Bigoudenjoy », la nouvelle marque du Pays bigouden, est le fruit d’un travail commun avec les élus, les socioprofessionnels et techniciens tourisme des deux territoires (Haut et Sud). La bannière est suivie du message « La Bretagne qui décoiffe », elle sera déclinée sur l’ensemble des supports de communication des offices de tourisme. Cette nouvelle marque a été dévoilée mardi soir, au centre culturel de Loctudy, par Raynald Tanter et Michel Canévet, présidents des deux communautés de communes.
L’anglais ? « Un choix totalement assumé »
Signée par le cabinet « Cibles et Stratégies » sur la base d’un cahier des charges rédigé conjointement par les deux communautés de communes, la marque « Bigoudenjoy » reflète le positionnement touristique qui distingue le Pays bigouden des autres territoires. Elle s’appuie sur les éléments constitutifs du territoire et des Bigoudens : « vivre la mer intensément à la pointe marine de la Bretagne », « un concentré de Bretagne à raconter et à découvrir », « des retrouvailles en famille tout au long de la vie ». « Cette nouvelle marque doit être votre marque. Il est important que vous vous l’appropriez et que vous en soyez ambassadeurs. Nous comptons sur vous ! », a déclaré Raynald Tanter, même si quelques voix dans le public se sont élevées pour regretter le choix de l’anglais, comme élément de langage. « Un choix totalement assumé », pour Michel Canévet qui a rappelé que cette communication « visait le monde entier ».
Cette opération de communication s’inscrit dans un contexte plus large. Il s’agit en effet de porter, derrière cette marque, une nouvelle stratégie d’accueil et d’information des visiteurs. « L’activité
touristique du Pays bigouden est capitale car elle est génératrice d’emplois. Notre région est attractive et possède bien des atouts », a
rappelé Michel Canévet.
Office de tourisme : 90 % des voyageurs n’y vont pas
Cependant, à l’heure de la transformation numérique, de l’évolution des habitudes de consommation, de la mondialisation de l’information, l’improvisation n’est pas de mise et les anciennes recettes ne suffisent plus. Voilà, en substance, le message transmis par Jean-Baptiste Soubaigné, responsable des stratégies numériques à la Mona (Mission des offices de tourisme de Nouvelle-Aquitaine), en charge de la formation des acteurs des deux offices bigoudens. « 90 % des voyageurs ne poussent pas, ou plus, la porte de l’office de tourisme, constate-t-il. Cela doit obliger les territoires à repenser leur accueil, leurs services et leur diffusion d’information dans leurs murs et également – voire surtout – hors de leurs murs. Tout cela s’appuie sur un maillage territorial pertinent intégrant des services et des contenus à valeur ajoutée, son réseau de prestataires et aussi sur la population locale ». En d’autres termes, le challenge de l’accueil touristique n’est pas une affaire individuelle mais bien collective. Les offices de tourisme devront donner un cap, réinventer un ensemble de services mais aussi mailler le territoire de la meilleure des manières en s’appuyant sur tous leurs partenaires privés (socioprofessionnels, loueurs, associations, etc.), mais aussi sur les habitants, ambassadeurs de leur région, pour toucher tous les segments de clientèle.
Article (c) Le Télégramme
Plonéour-Lanvern, Aardeur : le manque de subventions inquiète
10 février 2017
PLONÉOUR-LANVERN
L’assemblée générale de l’Aardeur (Association agréée des riverains défenseurs et usagers des rivières) a eu lieu vendredi soir, à la cantine municipale, en présence d’Annick Le Loch, députée, Michel Canévet, sénateur-maire et Jean-François Le Bléis, conseiller départemental. Après avoir souhaité la bienvenue aux élus et à la quarantaine de membres présents, le président, Pierre Bilien, a rappelé que l’association rayonne désormais au niveau départemental. Il déplore donc l’arrêt des subventions du conseil départemental. Or, la situation financière, bien qu’encore saine, inquiète en raison des dépenses annuelles nettement supérieures aux recettes. « Cette situation a un impact direct sur le développement de l’association, les riverains hésitant à s’engager sans l’assurance d’être subventionnés », précise-t-il. L’espoir est cependant de mise avec, en 2018,
la possibilité d’engagement des communautés de communes et de la région Bretagne.
18,5 km de rivière restaurés en 2016
De juin à octobre 2016, onze chantiers ont permis de restaurer 18,5 km de rivières, dont le ruisseau de l’étang de Saint-Vio. En 2017, le programme restera chargé, avec l’entretien de la partie nord de la rivière de Pont-l’Abbé et de la partie sud du ruisseau de Lanvern. Les membres ont élu Hervé Bihan et Tanguy Kernoa au conseil d’administration et renouvelé le tiers sortant. Pour conclure, les élus ont pris la parole pour souligner l’importance de l’association pour la qualité des eaux, son utilité publique et pour remercier les riverains bénévoles pour leur implication.
Le Télégramme
CCHPB : ateliers prospectifs sur un projet de territoire entre les 10 communes
9 février 2017
POULDREUZIC
Durant toute la matinée de samedi, nous avons pensé le futur de notre belle intercommunalité.
De nombreux ateliers prospectifs nous ont permis d’élaborer un projet de territoire entre nos 10 Communes.
Un beau moment de partage et de réflexion entre citoyens.
SIOCA : Appréhender les nouvelles pratiques
7 février 2017
POULDREUZIC
Les élus ont interpelé le Sénateur Michel Canévet sur la loi littoral
Le Syndicat intercommunautaire Ouest-Cornouaille s’est retrouvé lundi soir pour aborder les projets de 2017 comme la loi Littoral, le PLU de Douarnenez ou encore le développement des transports doux.
Le comité syndical du Sioca était réuni lundi soir à Pouldreuzic. L’heure des comptes et du lancement des projets 2017 pour l’Ouest Cornouaille avec la prise en compte de nouvelles pratiques.
Baisse des cotisations
Les comptes du Sioca sont dans le vert avec un excédent global de 92.000 €. Ce qui permet cette année encore une baisse de la cotisation des quatre communautés de communes. Elle sera, pour 2017, de 0,80 € par habitant, soit 17.265 € pour Douarnenez, 15.864 € pour le Cap-Sizun, 16.209 € pour le Haut Pays bigouden et 38.196 € pour le Pays bigouden sud. Une baisse de 20 % en deux ans. Le budget total du Sioca pour 2017 est de 198.182 €. Avec des projets inscrits comme la refonte du site (opérationnel fin 2017), le projet de schéma vélo et celui de la cohérence de la signalétique directionnelle et touristique.
Schéma vélo, utile ou pas ?
L’étude sur le schéma vélo a soulevé des interrogations du côté d’Henri Goardon, maire de Goulien « Encore une étude ? À 45.000 € ! » Ce à quoi Florence Crom, présidente du Sioca a répondu : « C’est la déclinaison du schéma vélo départemental sur notre territoire. On a besoin de faire un recensement et une cartographie. Les communautés de communes et les communes le déclineront ensuite -ou pas- sur leur territoire. » C’est la cohérence territoriale qui est ici recherchée. « Par les temps qui courent, je crois qu’on n’a pas les moyens. Des études on n’en a plein les placards ! », a néanmoins fait remarquer Henri Goardon. Pour Pierre Plouzennec, maire de Plozévet, les futures révisions du PLU devront comporter un volet déplacements doux, « le schéma vélo nous sera alors utile. »
Dynamiser les centres
Pour accompagner la redynamisation des centres-villes, suite au constat récurrent de délocalisations en périphérie de différents services publics, santé, banques, assurances…, le Sioca va rencontrer, durant le mois de mars, les commerçants de l’Ouest-Cornouaille.
Télétravail pour du dynamisme
Une formule qui se développe. Vincent Gaonac’h a évoqué l’idée de placer ces espaces de télétravail dans les centres bourgs pour les dynamiser. Deux projets privés émergent déjà sur le territoire, l’un sur Audierne où la communauté de communes a mis à disposition un espace où seront accueillis 25 candidats déjà sur les rangs ; l’autre à Douarnenez, où un privé entend également créer un espace de coworking sur le site SuperGel.
Amendements loi Littoral
Les élus du Sioca ont profité de la présence du sénateur Michel Canévet pour l’interpeller sur l’avancée des amendements déposés dans la loi Littoral pour notamment la notion de « dents creuses » dans les hameaux. Pour les élus, « il n’est pas question ici de bétonnage de côte… on est loin de la situation de la Côte d’Azur en Bretagne » ! Pour Michel Canévet, ces amendements arrivent « au mauvais moment », toutefois il espère un vote « avant la fin de la législature le 24 février », car celle-ci ne reprendra que fin juin avec, peut-être, de nouvelles donnes. Toujours est-il que cette loi Littoral a des impacts sur le développement économique, comme l’a souligné le sénateur : « Il ne se passe plus rien sur les cultures marines, parce qu’on ne peut rien développer » !
PLU Douarnenez
Sur le PLU de Douarnenez, qui diminue de moitié ses zones constructibles, le Sioca a émis un avis favorable assorti de quelques recommandations. Elles portent sur le tracé du linéaire commercial (où il est interdit de changer d’affectation) jugé trop long, sur l’implantation possible d’hôtels en périphérie qui ne généreront pas de flux en centralité, sur la densification de la zone du Ris dans la perspective d’une future déviation.
Le Télégramme
Communauté de communes bigoudènes : la fusion ? Une question de tempo
24 janvier 2017
Communauté de communes bigoudènes : la fusion ? Une question de tempo
Raynald Tanter, président de la Communauté de communes du Pays bigouden sud, voudrait avancer côté fusion des deux com’com bigoudènes. Michel Canévet est moins pressé.
« Je veux ici exprimer mon regret que le préfet du Finistère de l’époque, Jean-Luc Videlaine, ait été trop frileux sur cette affaire. Je regrette que ce même préfet n’ait pas souhaité réunir le Pays bigouden en un seul. Vouloir aller vers une fusion ne relève pas à mon sens d’une pression technocratique mais bien de la seule légitimité des élus en place et par définition de leur véritable volonté politique. » Lors de ses vœux, lundi 16 janvier, Raynald Tanter avait joué franco sur le sujet d’une éventuelle fusion entre Haut Pays bigouden et sud.
Choix « démocratique »
La Communauté de communes du Pays bigouden sud, c’est 12 communes, plus de 38 000 habitants ; le Haut Pays bigouden, 10 communes, 18 000 habitants. « Pourquoi vouloir grossir ? » répond Michel CANÉVET, sénateur-maire de Plonéour-Lanvern et président de la communauté de communes du Haut Pays bigouden. Pour lui, cette évolution doit se faire « par choix démocratique, pas technocratique ». Une fusion qui, selon l’élu, doit s’intégrer dans le Schéma départemental de coopération intercommunale, « qui est revu après chaque élection municipale ». À échéance 2020 donc.
Avant de mettre en marche la fusion, une harmonie des compétences entre les deux communautés est nécessaire aux yeux de Michel Canévet. Et dans le cadre d’une fusion, la représentativité des communes est également source d’inquiétude : « Plus on grossit, moins les communes sont représentées. Cela freine les maires du Haut Pays bigouden », rapporte Michel CANÉVET. Dans un contexte de baisse de ses dotations, l’État pourrait imposer, assez rapidement, une fusion des deux Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI). « Je ne le pense pas, explique le président du Haut Pays bigouden. Les élus, au niveau national, ont demandé une pause dans les réformes territoriales. »
D’abord les communes nouvelles
La situation géographique du territoire haut bigouden permet aussi une ouverture vers d’autres territoires que le Pays bigouden sud : Cap-Sizun, Douarnenez ou Quimper… « Le sujet d’un groupement à une échelle différente mérite aussi d’être étudié, propose Michel CANÉVET. Tout en mettant en garde : Attention au risque de démantèlement du Pays bigouden ». Avant de se projeter dans une éventuelle fusion, le président de la Communauté de communes du Haut Pays Bigouden mise sur les regroupements de communes. En émettant quelques idées de mariages : Le Guilvinec-Treffiagat, Pouldreuzic-Plovan, Landudec-Guiler, mais aussi Plonéour-Tréguennec « que j’ai déjà proposé aux élus tréguennécois ». La commune nouvelle ? « Un préalable à d’autres évolutions », avance Michel CANÉVET, président d’une communauté de communes dont le futur siège est en construction, à Pouldreuzic. « Un acte de foi en l’avenir », estime-t-il.
« Ce n’est pas un sujet de discorde personnelle entre Michel CANÉVET et moi, mais chacun à sa façon de voir. » Raynald Tanter en est sûr : pour peser davantage, il faut s’unir. « Les communes nouvelles ? Elles n’empêchent pas la fusion. » Le président de la Communauté de communes du Pays bigouden sud estime que, vu le temps nécessaire à la concrétisation d’une fusion, il faut d’ores et déjà y travailler « avant qu’on nous l’impose ». Des compétences disparates ? « Ça se travaille, mais pas en un jour ». L’ouverture vers l’extérieur du Pays bigouden ? : « Il ne faut pas brûler les étapes. À l’échelle de notre territoire et de son identité, la fusion est pertinente. » Attendre l’échéance 2020 et l’avis des électeurs ? « En tant qu’élu, on est légitime. Le travail peut déjà commencer. Sans précipitation. »
Article Ouest-France 24 janvier 2017
Haut Pays Bigouden. Réunion taxe de séjour
28 décembre 2016
POULDREUZIC
La communauté de communes du Haut Pays bigouden exerce la compétence tourisme depuis dix ans et organise une rencontre autour de la taxe de séjour, mercredi, à 17 h 30 à la salle Avel-Dro de Plozévet. Histoire de faire le point et de se renseigner sur les nouveautés. Mais aussi de lancer un appel à ceux qui auraient « oublié » de la régler !
De 0,20 à 0,70 €
La taxe de séjour est exigible pour toute personne majeure séjournant à titre payant sur le territoire. Le vacancier la règle directement au logeur, à l’hôtelier ou au propriétaire qui la reverse ensuite à la communauté de communes. Pour chaque catégorie d’hébergement, la même taxe de séjour est appliquée sur le territoire. De 0,20 € la nuitée en terrain de camping une à deux étoiles à 0,70 € la nuitée en hôtels cinq étoiles. Le tarif est volontairement bas pour garder l’attractivité. Quatre cents acteurs reversent actuellement leur taxe de séjour. « Mais un certain nombre de personnes ont oublié de le faire ! », souligne Michel Canévet.
Une procédure de taxation d’office ?
Certains propriétaires louent leur bien, via des plateformes communautaires de location de logements entre particuliers ou des sites de petites annonces. Rien qu’à Plonéour, à titre d’exemple, 67 locations sont inscrites à l’Office de tourisme du Haut Pays bigouden et règlent leur taxe de séjour quand 41 y échappent. Christian Jolivet tient à avertir les propriétaires que le Haut Pays bigouden ne s’interdit pas d’aller vers « une procédure de taxation d’office pour recouvrer cette taxe de séjour. »
Objectif : 100.000 euros chaque année
Le Haut Pays bigouden se fixe pour objectif d’atteindre les 100.000 € de taxe de séjour chaque année. 78.849 € ont été perçus en 2015, et 66.625 € pour le moment pour 2016. « On va atteindre la même somme qu’en 2015 », analyse Christian Jolivet. La taxe de séjour sert à financer les actions de promotions et de développement touristiques. « Chaque euro est réinvesti sur le territoire ! », insiste Liesbeth Van Horne, présidente de l’Office de tourisme du Haut Pays Bigouden (OTHPB). Le budget de l’OTHPB est de 168.000 € : 76 % sont versés par le Haut Pays bigouden, 19 % viennent des cotisations des adhérents et 5 % des ventes et services. La taxe de séjour, perçue par le Haut Pays Bigouden, ne reste pas dans le giron communautaire. Elle repart en intégralité à l’OTHPB, « notre outil territorial de promotion touristique », rappelle Michel Canévet. Le Haut Pays Bigouden verse 125.000 € de dotation à l’OTHPB dont la taxe de séjour. « Le reste est pris sur les ressources propres du Haut Pays Bigouden. » Les élus reconnaissent toutefois « qu’il y a du mieux en matière de taxe de séjour. En 2008 on ne percevait que 40.000 € ».
Nouveauté en 2017, les loueurs pourront régler en ligne leur taxe de séjour. Toutes les explications seront données lors de la réunion.
Primaire : Premier rendez-vous dimanche
15 novembre 2016
Primaire : Premier rendez-vous dimanche
Liste des bureaux de vote dans le secteur Pays Bigouden
Le premier tour de la primaire de la droite et du centre c’est dimanche.
Sept candidats sont en lice dont Alain Juppé vers qui, de Michel Canévet à Nathalie Tanneau, se tournent une majorité d’élus bigoudens. En Pays bigouden, huit bureaux seront ouverts et accueilleront les électeurs.
La primaire de la droite et du centre c’est une première, notamment pour Christian Jolivet. Le maire de Guiler-sur-Goyen, délégué Les Républicains de la 7e circonscription est en charge de l’organisation de ce rendez-vous citoyen.
Dès lors, pas question pour lui d’afficher une quelconque sensibilité. Il entend garder une neutralité. « Je ne prends pas position. Il faut respecter la sensibilité de tous ». Alors qui de Nathalie Kosciusko-Morizet à Jean-Frédéric Poisson en passant par Bruno Le Maire, Nicolas Sarkozy, François Fillon, Alain Juppé ou Jean-François Copé a la faveur des élus bigoudens de la droite et du centre ?
Alain Juppé en rassembleur
Parmi ceux qui nous ont répondu, les soutiens à Alain Juppé ne manquent pas. Il obtient la voix de Nathalie Tanneau, conseillère départementale du canton de Pont-l’Abbé. « Ce n’est pas un choix facile, il y a plusieurs candidats qui ont une stature de présidentiable et un programme proche ». C’est le fait d’avoir pu discuter avec le maire de Bordeaux lors de la campagne des élections départementales qui a aiguillé son choix. « On avait échangé sur l’économie, les ports de Cornouaille, l’islam radical ». Lui aussi conseiller départemental du canton de Pont-l’Abbé, Thierry Mavic soutient l’ancien collaborateur et Premier ministre de Jacques Chirac. « C’est un homme d’expérience, de sagesse, dont le projet est bien bâti pour l’avenir du pays. Il saura rassembler et fédérer ». Même sentiment du côté de Jocelyne Plouhinec, conseillère départementale du canton de Plonéour-Lanvern. Selon elle, « c’est l’homme de la situation » et elle le résume en trois verbes : « apaiser, rassembler et réformer ». Jean François Le Bléis? conseiller départemental du Canton de Plonéour-Lanvern soutient également Alain Juppé, dans la ligne directrice de l’UDI.
Philippe Méhu, vice-président à la communauté de communes du Pays bigouden sud voit en Alain Juppé « le candidat qui pourra rassembler largement au-delà de son camp et qui n’aura pas de position clivante ». Pour l’élu, cette capacité au rassemblement est primordiale. « Dans le contexte difficile, avec les événements sociétaux, l’heure est au rassemblement ». Pourtant, c’est à Nathalie Kosciusko-Morizet que le Bigouden a donné son parrainage. « Je voulais qu’il y ait une femme ».
Marge de manoeuvre
Il n’est pas le seul. Sénateur UDI, Michel Canévet a lui aussi soutenu la candidature de Nathalie Kosciusko-Morizet considérant qu’elle était légitime et qu’il fallait qu’une femme soit présente. Mais c’est à Alain Juppé qu’il va, dès dimanche, donner sa voix. « C’est celui qui est le plus proche des convictions que je défends et dont les perspectives me semblent le plus à même de faire face à la situation à laquelle la France est confrontée ». Le sénateur bigouden loue son sérieux et met en avant ses capacités à rassembler. « Il est à l’écoute, il a la carrure d’un présidentiable et la maturité pour rassembler l’ensemble des Français ». Michel Canévet est signataire, derrière Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI, de l’appel à soutenir Alain Juppé.
Interrogé sur l’absence de centriste à cette primaire, Michel Canévet explique que ces derniers « n’ont pas voulu s’engager pour se laisser toute marge de manoeuvre ». Notamment si le candidat ne passait pas la primaire.
De Fillon à Sarkozy
Les deux premiers débats télévisés ont parfois fait bouger les lignes. C’est le cas pour Stéphane Le Doaré, maire LR de Pont-l’Abbé qui, de Bruno Le Maire (parrainé), a finalement glissé vers François Fillon. « Je trouvais le programme de Bruno Le Maire intéressant et, avec son âge, il promettait un renouvellement des forces politiques en place ». Un discours qui convenait au maire pont-l’abbiste jusqu’à ce que les débats ne le fassent changer d’avis. « Son projet est ambitieux, réaliste et sincère mais François Fillon a un discours plus posé, des idées claires que je partage.
Il a la stature pour être président». Jean-Luc Tanneau, maire du Guilvinec, n’a pas eu besoin des débats pour se positionner. Après avoir parrainé « à titre personnel » Nicolas Sarkozy, c’est pour ce dernier qu’il ira voter. « Il faut quelqu’un qui soit capable de redresser la France ». Il voit en l’ancien Président de la République une personne de caractère, capable selon lui « de conduire une politique forte » et non pas « une politique molle comme actuellement ».
Un troisième débat pour se décider
Le troisième débat entre les sept candidats c’est jeudi soir. L’occasion pour les indécis de se déterminer. Noël Cozic (Landudec) est de ceux-là. Il explique n’être « pas arrivé au terme de (sa) réflexion » et n’avoir « pas de position bien arrêtée ». L’élu rappelle aussi avoir été élu sur une liste « apolitique » et qu’il lui est difficile de s’exprimer. Ronan Crédou (Plomeur) précise que son choix est « d’ordre privé » et qu’il n’est « pas défini ». Le débat de jeudi devrait l’aider à se faire une idée. « Mais j’irai voter ».
Article Télégramme
Visite d’exploitants agricoles du Pays Bigouden
31 octobre 2016
PAYS BIGOUDEN
Visite d’exploitants agricoles du Pays Bigouden qui investissent pour valoriser leur production et développer la vente directe avec Jean François Le Bléis et Jocelyne Plouhinec, conseillers départementaux du Finistère : Manu et Christine Conan à la ferme de Pendréo en Plogastel Saint Germain, producteurs de lait qui se sont lancés dans la production d’excellentes crèmes glacées.
Nelly et Hervé Loussouarn, le champ du coq à Plovan qui investissent dans un nouvel atelier de production et de commercialisation à la ferme.
Des acteurs économiques dynamiques et innovants en haut pays bigouden.
Travaux de réparations sur la route de Quimper à Plonéour-Lanvern
6 octobre 2016
PLONÉOUR-LANVERN
La Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden a dû effectuer des réparations sur la route départementale, de la sortie du bourg de Plonéour-Lanvern allant vers Quimper, les services du département n’intervenant guère pour entretenir cette voie de leur responsabilité, dans l’attente d’une refonte indispensable de la chaussée.
Extension des locaux de la communauté de communes du haut pays bigouden
2 septembre 2016
POULDREUZIC
Extension des locaux du siège de la Communauté de communes du Haut Pays Bigouden en cours.
Créée au 1er janvier 1994, comptant 10 Communes pour 18000 habitants, la Communauté étend ses locaux pour rassembler ses services administratifs sur 1 seul site, disposer de salles de réunions et équipements compte tenu du rôle central de la Communauté pour l’ouest Cornouaille, et accueillir les entrepreneurs par la mise à disposition de locaux partagés de travail.
Réunion de travail à la résidence Parc an Id EHPAD de Pouldreuzic
30 août 2016
POULDREUZIC
Réunion de travail à la résidence Parc an Id EHPAD de Pouldreuzic avec la Vice-présidente du Conseil départemental en charge des personnes âgées, Albert Le Berre, Vice-président du Haut Pays Bigouden, et les Conseillers départementaux du canton de Plonéour-Lanvern, Jocelyne Plouhinec et Jean-Francois Le Bléis, sur le projet de restructuration de l’établissement.
Fête de la crêpe à Plonéour-Lanvern, 21ème édition
12 août 2016
PLONÉOUR-LANVERN
Ce vendredi 12 août 2016, 21ème fête de la crêpe qui a réuni plus de 1 200 personnes, à la Halle Raphalen à Plonéour-Lanvern. Un succès toujours grandissant chaque année. Michel CANÉVET, Sénateur Maire de Plonéour-Lanvern ouvre la fête en tenue avec la marinière et le tablier comme les crêpières sur la droite de la photo. La soirée se termine par un Fest-Noz avec le cercle celtique Ar Vro Vigoudenn.
Universités d’été de Bretagne de l’UDI
10 août 2016
QUIMPER
Ce mercredi 10 août 2016, réunion préparatoire des Universités de Bretagne de l’UDI qui auront lieu cette année à Landerneau le dimanche 25 septembre 2016, de 10h à 16h, sous la présidence de Michel CANÉVET, Sénateur du Finistère. D’ores et déjà il faut retenir cette date. Le programme sera établi dans les prochains jours
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Landudec
11 juillet 2016
LANDUDEC
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden à Landudec pour examiner les rapports d’activités déchets, eau et assainissement, les subventions et diverses questions économiques et budgétaires.
Communautés de Communes : Pays Bigouden
31 mai 2016
Communautés de Communes
Lundi soir à Pouldreuzic, les bureaux communautaires des Communautés de communes du haut pays bigouden et du pays bigouden sud se sont réunis pour la seconde fois du mandat (2014-2020). « On souhaite continuer à travailler ensemble sur un certains nombre de sujets. Et on essaye de croiser nos regards sur ces sujets » indique Michel Canévet, président du haut pays bigouden. Ce dernier précise qu’il existe déjà des coopérations entre les deux collectivités : SIOCA, déchets ou encore habitat. Mais sur d’autres sujets, comme l’instruction des permis de construire, « on réfléchit à optimiser le fonctionnement entre les deux collectivités » complète Raynald Tanter, président du pays bigouden sud. Lors de cette réunion, quelques décisions ont été prises : Gens du voyage : la compétence sera obligatoire pour les intercommunalités à compter du premier janvier 2017. Les élus bigoudens ont manifesté le souhait d’avancer ensemble pour la création d’une aire conjointe d’accueil des gens du voyage de 30 places. Une réponse doit être apportée avant 2020. Pour ce qui est des grands rassemblements: « on va regarder ensemble comment les accueillir ses grands rassemblement, il n’y a pas de raison que ce soit toujours au même endroit. L’idée est d’avoir une proposition d’accueil qui change pour répondre aux sollicitations » indique le président du haut pays bigouden. Volet économique : les deux présidents disent avoir prix acte de la position de la CNAC qui a donné un avis défavorable au projet de Super U à Kerganet. Jusqu’à présent on n’a pas travaillé ensemble rapporte Raynald Tanter. « On va faire en sorte de se donner les outils pour travailler ensemble ». Les deux commissions économiques devraient se rencontrer au sujet des zones économiques. Plus globalement, Michel Canévet annonce l’élaboration d’un diagnostic territorial de l’offre en zone d’activité pour voir ce qui manque. « Notre objectif commun est que les entreprises restent sur le territoire ». « On va aussi regarder si le parcours de la création d’entreprise est suffisamment accompagné sur le territoire » ajoute l’élu. Tourisme : la loi NOTRe impose aux intercommunalités de se doter de la compétence tourisme au premier janvier 2017. L’occasion d’un mariage entre les deux structures sur ce thème ? Et quid d’une éventuelle fusion des deux communautés de communes ? Pour Michel Canévet, « pour que l’on puisse être ensemble sur un certain nombre de sujets, il faut que l’on exerce exactement les mêmes compétences (…) En 2017, 2018, un saut va être fait avec la prise des nouvelles compétences imposées par la loi NOTRe, mais c’est le préalable. Deuxièmement, il faut que ces évolutions soient démocratiques plutôt qu’imposées de là-haut. Nous, on préfère qu’elles soient voulues plutôt qu’imposées. Voulues c’est quand on sent que pour la population ce sera plus intéressant et plus profitable d’être ensemble. A ce moment-là, on l’envisage. Mais tant que ce n’est pas avéré que c’est plus intéressant, on souhaite conserver pour l’instant une démocratie de proximité sur le territoire ». Si le mariage entre les deux collectivités bigoudènes n’est pas pour demain, ces dernières avancent l’une vers l’autre. Et pour citer une source proche de l’une des deux collectivités en question : « les relations n’ont jamais été aussi bonnes ». |
Article paru sur Bigouden TV : http://www.bigouden.tv/Actualites-4285-Les_relations_n_ont_jamais_ete_aussi_bonnes.html |
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden
26 février 2016
PLOZEVET
Conseil Communautaire du Haut Pays Bigouden au centre culturel Avel Dro de Plozévet, dédié aux orientations budgétaires 2016. En perspective l’aménagement numérique du territoire. Après les 1200 prises en cours de raccordement à la fibre optique sur Pouldreuzic, nous engageons le raccordement de 2700 nouvelles prises sur plusieurs Communes. Autres dossiers: le projet de salle multi fonctions de Plogastel Saint Germain et l’extension du siège communautaire à Pouldreuzic.
Sans surprise, le débat d’orientations budgétaires de la Communauté de communes, mené vendredi soir à Plozévet, a suivi la réflexion de la commission Finances. Il est temps « de marquer une pause dans les investissements d’équipements communautaires » pour pérenniser le niveau de services existants. Tout en augmentant modérément la pression fiscale sur les habitants du Haut Pays. Pour faire des économies, la mutualisation est la clef qui se déclinera au travers d’un schéma. Lire la suite
Le Haut Pays Bigouden engage des travaux d’extension de son siège administratif de Pouldreuzic
15 février 2016
POULDREUZIC
Le Haut Pays Bigouden engage des travaux d’extension de son siège administratif de Pouldreuzic #Bretagne afin de permettre le développement de ses activités, d’accueillir les réunions de l’ouest #cornouaille et d’y prévoir un espace de co-working pour des travailleurs individuels qui souhaitent une connexion au très haut débit. La maison mitoyenne est en cours de déconstruction.
Question au premier ministre, au Sénat, réponse du ministre et réaction de Michel Canévet
11 février 2016
Question au premier ministre
En direct du Sénat, Michel Canévet, interpelle le premier ministre sur la crise agricole.
Réponse du ministre chargé des relations avec le parlement puis réaction de Michel Canévet
Cliquez sur la vidéo pour écouter Michel Canévet, la réponse du ministre et la réaction de Michel Canévet
http://www.dailymotion.com/video/x3t4ifx
Question au premier ministre, Michel Canévet au Sénat
11 février 2016
Question au premier ministre
En direct du Sénat, Michel Canévet, interpelle le premier ministre sur la crise agricole
Cliquez sur la vidéo pour écouter Michel Canévet
CCHPB : Le siège va tripler de volume
1er février 2016
POULDREUZIC
La communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB), dix communes et 18.000 habitants, agrandit son siège à Pouldreuzic,avec un choix architectural audacieux pour affirmer une identité etune présence. Les travaux font permettrede tripler la surface deslocaux. Les 376 m² existants seront réaménagés et l’extension sera de812 m², soit une surface totale portée à 1.188 m².
Label Passive House
Ce bâtiment, totalement passif, sera le premier bâtiment tertiaire du Finistère à obtenir le label Passive House.La démolition de la maison dite d’Anatoline, jouxtant le bâtiment existant de la CCHPB, va démarrer. La rue Hent Kreiz Ker sera fermée à la circulation du 8 février jusqu’auxvacances d’été incluses. La grue se déploiera fin février. Le chantier de quatorze mois devrait être achevé fin avril 2017.
Vingt places de stationnement
Concomitamment, la propriété Prigent, 1.800 m², achetée par le Haut Pays bigouden, va voir son jardin aménagé avec une vingtaine de places de stationnement. Un stationnement obligatoirement prévu dans le permis de construire. « Rien n’a encore été décidé pour la maisonelle-même », indique Michel Canévet, président de la CCHPB. Le coût de cette extension est de 1,83 M€ HT avec des subventions de l’État (180.000 €) et du Département (60.000 €). Le reste est en auto-financement.
Maison des serviceset co-working
Quand le siège de la CCHPB a été construit à Pouldreuzic, en 2002, il comptait sept agents. Aujourd’hui, ils sont plus de 20 collaborateurs à y travailler. L’extension, réfléchie depuis 2014, va répondre à plusieurs besoins. Outre augmenter la place pour les agents, elle va accueillir une maison des services (emploi, parentalité, chambres consulaires, énergies, social…) et un espace de co-working à la demande pour les entrepreneurs. Ce nouveau bâtiment sera aussi un centre de coopérations pour les actions à l’échelle de l’Ouest-Cornouaille, « coopérations entre communautés de communes qui vont se développer encore plus à l’avenir », souligne Michel Canévet.