Archives de Catégorie: Agriculture et pêche
A l’invitation de la chambre d’agriculture du Finistère, une réflexion entre élus consulaires et quelques élus
13 mars 2023
QUIMPER
A l’invitation de la chambre d’agriculture du Finistère, une réflexion entre élus consulaires et quelques élus comme les conseillers départementaux Jacques Gouérou et Marie Christine Lainez, la députée Graziella Melchior ont permis des échanges sur la souveraineté alimentaire de la France.
Interdiction du chalutage dans les aires marines protégées : Le gouvernement y est « totalement, clairement et fermement opposé »
8 mars 2023
Interdiction du chalutage dans les aires marines protégées :
Le gouvernement y est « totalement, clairement et fermement opposé »
Lors de la séance des Questions au Gouvernement, ce mercredi, le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste) a interrogé le secrétaire d’Etat en charge de la Mer, Hervé Berville, concernant les difficultés rencontrées par le secteur de la pêche. Le ministre lui a rappelé son refus « total, clair et ferme » du Plan d’interdiction du chalutage dans les aires marines protégées que la Commission européenne souhaite mettre en œuvre.
« La France est un grand pays maritime et nous tenons à ce qu’il le demeure », a tout d’abord souligné le sénateur Michel Canévet avant de rappeler les difficultés de la filière pêche : le Plan d’Accompagnement Individualisé, autrement dit la déconstruction de près de 90 navires de pêche français, le prix du carburant, les prises accessoires dont sont rendus coupables les pêcheurs…
« Mais la principale source d’inquiétude est le projet d’interdiction du chalutage dans les aires maritimes protégées, proposé par la commission européenne le 21 février dernier. Comment imaginer demain ne plus pouvoir pêcher les coquilles Saint-Jacques à Saint-Brieuc, la langoustine ou la lotte au large des Glénan ou les huitres de pleine mer… ».
« Merci pour votre mobilisation pour le maintien et le développement de la filière pêche française. Je le dis très clairement, et cela a été rappelé par la Première Ministre et le Président de la République lors du salon de l’agriculture : la France et le gouvernement sont totalement, clairement et fermement opposés à la mise en œuvre de cette interdiction d’engins de fond dans les aires marines protégées, a souligné le secrétaire d’État, Hervé Berville avant d’expliquer cette position pour trois raisons.
Ça ne reconnaît absolument pas et méconnaît même les efforts des pêcheurs, ces dernières années, qui ont permis la reconstitution de nombreux stocks, dont ceux de coquilles Saint-Jacques.
C’est aussi une prime aux mauvais élèves puisque tous les Etats qui ont créé des aires marines protégées sont désormais sanctionnés et obligés d’interdire ces engins de fond.
Enfin, c’est une folie pour la souveraineté alimentaire de notre pays, qui dépend déjà à plus de 80% des importations pour les produits de la pêche.
Il faut arrêter d’opposer le développement de la filière halieutique à la question de la protection de la biodiversité marine. Depuis des années, nous menons les deux de front. Notre priorité est de continuer à avoir des capacités de production, d’entraîner la filière sur la décarbonation et la réduction des énergies fossiles : nous l’avons démontré cet hiver en soutenant par quatre fois la prolongation des aides au carburant et le soutien à cette filière ».
« Merci de cet engagement fort du gouvernement attendu par les marins pêcheurs. Il convient d’être particulièrement actif, c’est une question de souveraineté », lui a répondu le sénateur.
Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro
27 février 2023
PARIS
Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro, la fédération française d’oléagineux (colza, tournesol, soja), et de protéagineux (poix, fèveroles, légumes secs). De nombreuses applications, notamment les biocarburants, en plus de l’alimentation humaine et animale peuvent être déclinées autour de ces productions importantes pour la souveraineté française.
Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »
22 février 2023
Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »
Liliana TANGUY – Députée
Michel CANEVET – Sénateur
Le Plan d’Accompagnement Individuel (PAI) annoncé par le Gouvernement impacte fortement la flottille du pays Bigouden au niveau des hauturiers qui pratiquaient tout ou partie de leur activité de pêche dans les eaux britanniques.
C’est cela qui a conduit la Commission européenne à autoriser les états membres de l’UE à financer, sur des fonds européens, le retrait de navires de pêche. Comptant plus de 43% du total des 2 860 navires de pêche français aujourd’hui, nous savions que la Bretagne serait impactée dans ce plan de sortie de flotte. 64 demandes de sortie de navires ont été adressées par les armateurs bretons pour 45 navires qui seraient retenus. Il s’agit donc bien d’une démarche menée par les armateurs, qu’ils soient pêcheurs artisans ou responsables d’armements à la pêche.
Nous le regrettons, mais les réalités économiques, elles existent même si certains ne veulent pas l’entendre, les obligeant à saisir les opportunités, nous l’espérons pour mieux rebondir.
Cela est possible car le secrétaire d’état à la mer Hervé Berville, devant les professionnels de la filière pêche et les élus du pays Bigouden lors de sa visite au port du Guilvinec, a rappelé que 70% des quotas de pêche des bateaux concernés par le PAI reviennent à l’Organisation de Producteurs (OP). Cela doit permettre de maintenir une activité très significative dans nos ports
De multiples facteurs expliquent la situation actuelle. En décembre dernier, nous (députée et sénateur) avons rencontré, successivement, les principaux armateurs à la pêche du pays Bigouden afin, par un dialogue direct avec eux, de bien comprendre et partager les enjeux futurs de la filière. Nous avons également reçu, en début d’année, d’autres acteurs locaux du secteur de la construction navale et du mareyage pour évoquer les solutions permettant d’assurer l’avenir de l’ensemble de la filière.
Tout d’abord, le manque de marins ne permet pas de faire sortir tous les navires, puisque plusieurs de ceux qui figurent dans le PAI sont à quai depuis de nombreux mois. Même l’appoint de marins étrangers n’a pas suffi jusqu’à présent : il y a donc un effort collectif à réaliser pour attirer des jeunes vers ces métiers, car on gagne bien sa vie à la pêche. Cela suppose de ne pas sombrer dans la sinistrose, de promouvoir les métiers, de permettre à des jeunes ou des adultes en reconversion de faire quelques marées pour tester le métier et l’aptitude à la mer. Cela implique également que la région Bretagne, responsable du lycée maritime du Guilvinec /Léchiagat-Treffiagat, y réalise des investissements pour l’accessibilité et l’hébergement des jeunes et des stagiaires.
Ensuite, il y a la question du prix du carburant : le Gouvernement a accompagné, bien au-delà de ce qui est fait pour chacun d’entre nous, la consommation de carburant par une subvention au litre, qui se poursuit parce que nous avons insisté pour cela auprès du Gouvernement, avec les professionnels. Mais, comme ce subventionnement ne peut perdurer indéfiniment, nous devons aussi réduire la dépendance du secteur aux énergies fossiles en trouvant rapidement des solutions technologiques permettant de s’orienter vers la décarbonation des navires. Le Ministre a déjà annoncé des enveloppes financières pour accompagner les projets : nous appuierons les initiatives en ce sens.
Nous soutenons également le Gouvernement et le président de la commission pêche au parlement européen, Pierre Karleskind, pour l’obtention des quotas de pêche et souhaitons la pluri annualité des quotas afin de donner de la visibilité aux pêcheurs.
L’accompagnement de cette transition vers la décarbonation nécessite de trouver d’autres moyens financiers permettant d’assurer le fonctionnement actuel des navires de pêche. C’est pourquoi, dès sa réélection en juin 2022, Liliana Tanguy a alerté la Première Ministre, Elisabeth Borne, sur les difficultés des pêcheurs du quartier du Guilvinec en proposant à Matignon un mécanisme de compensation du prix du gazole basé sur une contribution volontaire de la filière aval (dispositif présenté à l’initiative de Stéphane Pochic, patron d’armement à Loctudy). En décembre 2022, nous avons chacun proposé, dans le cadre du Projet de loi de finances rectificative, d’instituer une taxe sur les produits de la pêche maritime, au taux de 2%, perçue au profit de France Filière Pêche. Face au coût du carburant qui pèse fortement sur les charges d’exploitation de nombreux armements, il nous paraît, en effet, indispensable que s’exerce la solidarité au sein de la filière en instaurant une contribution volontaire obligatoire des distributeurs au bénéfice des pêcheurs.
Se pose également la question de la ressource halieutique : à ceux qui décrient l’Europe, nous disons « heureusement qu’elle se préoccupe des poissons », car ceux-ci n’ont pas de frontières, et si le continent britannique était si prisé, c’est parce que les eaux y sont très poissonneuses. Avec le Brexit, décidé par les britanniques eux-mêmes, rappelons-nous bien, l’accès à ces zones de pêche sont devenues plus difficiles, mais la négociation menée par le Gouvernement nous a permis de retrouver un grand nombre de licences de pêche. Nous savons que c’est par une gestion organisée que les stocks de poissons se renouvelleront et que nous pourrons en disposer pour nos enfants. Reste que le prix du poisson n’est pas toujours assez bien rémunéré. Quand on a vu, lors des fêtes de décembre dernier, le prix de la lotte, principal poisson pêché dans les ports Bigoudens, à 3€ le kg, il y a des efforts à faire pour faire connaître ce produit et mieux le valoriser. Le consommateur, par son acte d’achat, peut également influer sur le cours des produits de la mer et favoriser le poisson de pêche française.
Reste aussi, sur ce sujet des poissons, à intégrer les attentes sociétales, de respect des espèces et de la biodiversité. Les ONG sont très présentes dans le débat sur la pêche, parce que beaucoup de nos concitoyens sont mobilisés pour la préservation de la diversité animale sur la planète, y compris dans les océans. C’est le sens des discussions internationales pour sanctuariser 30% des océans et éviter que le pillage des ressources ne dégrade les stocks halieutiques. Cela doit nous permettre aussi d’assurer l’avenir de la pêche, en même temps que de lutter contre le réchauffement climatique, qui risque de modifier les espèces.
Enfin, il y a les sujets du renouvellement des flottilles et de l’installation de nouveaux patrons de pêche. Le coût des investissements est tel que c’est un réel frein à l’amélioration des outils de travail. C’est pourquoi nous souhaitons que la mobilisation du maximum d’épargne puisse s’effectuer afin de favoriser l’installation de jeunes, de conserver chez nous les navires dont les patrons partent à la retraite. Comme les Bigouden Makers ont su le faire pour transformer l’hôtel de Bretagne, l’épargne disponible des bigoudens, attachés au dynamisme de la pêche, pourrait s’orienter en partie vers la construction de bateaux neufs. Nous appelons également, et espérons que les Comités des Pêches l’inciteront, les patrons pêcheurs et armements ayant bénéficié du PAI, s’élevant à 20 millions d’euros de fonds publics injectés sur le territoire, à réinvestir dans l’économie locale afin de sauver les emplois et préserver l’identité du pays Bigouden.
Interrogé le 14 février dernier par la députée Liliana Tanguy sur les conséquences du PAI, Hervé Berville a répondu en réaffirmant la transparence concernant la réattribution des quotas et droits de pêches, la préservation des équilibres entre les ports et, surtout, l’importance de continuer à investir pour développer la pêche, secteur essentiel pour la souveraineté alimentaire française.
A ces conditions, nous sommes persuadés que le pays Bigouden et la Bretagne continueront à être les lieux emblématiques de la pêche française et confirmer, ainsi, l’ambition maritime de la France.
André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole
10 février 2023
BRETAGNE
André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole, en présence des préfet et président de la région Bretagne. Les premiers échanges montrent déjà la pluralité et l’importance de l’agriculture bretonne au sein des 30000 exploitations de la région.
À Quimper, le secrétaire d’État chargé de la mer, Hervé Berville, a fait le point avec les élus et les services de l’État sur la lutte contre les pollutions marines
27 janvier 2023
QUIMPER
À Quimper, le secrétaire d’État chargé de la mer, Hervé Berville, a fait le point avec les élus et les services de l’État sur la lutte contre les pollutions marines. Il a également échangé avec les élus et le comité départemental des pêches sur le plan de sortie de flotte des navires.
CERFRANCE a présenté à Brest l’agroscopie du Finistère, les réalités économiques de la ferme Finistère, une activité majeure de notre département
27 janvier 2023
BREST
CERFRANCE a présenté à Brest l’agroscopie du Finistère, les réalités économiques de la ferme Finistère, une activité majeure de notre département. En lait, on peut se réjouir, enfin, d’une augmentation significative du prix payé aux producteurs, en porc également d’un prix moyen proche des 2€ en 2022, tandis qu’en production légumière, les prix sont demeurés bas accentués par la sécheresse.
Présentation des vœux aux chambres consulaires de Métiers et de l’Artisanat et de l’Agriculture
27 janvier 2023
QUIMPER
Cérémonie de vœux conjointe de la chambre d’agriculture, présidée par Jean Hervé Caugant, et de la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère, présidée par Fabienne Le Poitevin, à l’hôtel interconsulaire de Quimper en présence du Ministre breton Hervé Berville et des députées Liliana Tanguy, Annaïg Le Meur et Graziella Melchior.
Hervé Berville, Secrétaire d’État chargé de la mer, a initié les jeudis de l’innovation afin d’accélérer la décarbonation du secteur maritime
26 janvier 2023
PARIS
Hervé Berville, Secrétaire d’État chargé de la mer, a initié les jeudis de l’innovation afin d’accélérer la décarbonation du secteur maritime. Différentes tables rondes ont présenté les dispositifs et objectifs publics et professionnels, un fonds d’investissement Go capital doté de 70 millions €, et différentes entreprises innovantes comme Zephir et borée, concevant des navires véliques, H2F pour les solutions hydrogènes, seatech pour le biofouling marin, neptech pour la propulsion électrohydrogène pour navires à passagers, airseas ajoutant des ailes de kite et syroco pour des jumeaux numériques optimisant l’efficience des déplacements. Beaucoup d’initiatives qui émergent en France.
Cérémonie des vœux de la Présidente de VALHOR, l’interprofession de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage
18 janvier 2023
GUICLAN
A l’issue de la cérémonie des vœux de la Présidente de VALHOR, l’interprofession de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage, l’ancien président national et pépiniériste à Guiclan en Finistère, Mickael Mercier a été reçu au grade de chevalier de l’Ordre National du Mérite.
Le 2 janvier 1973, le Kérisnel réalisait son premier voyage depuis Roscoff vers l’Angleterre
13 janvier 2023
ROSCOFF
Le 2 janvier 1973, le Kérisnel réalisait son premier voyage depuis Roscoff vers l’Angleterre. En 50 ans, Brittany Ferries est devenu le 1er employeur de marins français. Un sacré pari engagé par les paysans du Léon menés par Alexis Gourvennec, pour acheminer les légumes sur le continent britannique, aujourd’hui poursuivi autour de Jean Marc Roué et Christophe Mathieu vers l’Angleterre, l’Irlande et l’Espagne.
À Châteaulin remise de la distinction de chevalier du mérite agricole, à Jo Dréau, fondateur de l’entreprise de services informatiques Kerhis et à son assistante Nadine Le Marc
17 novembre 2022
CHATEAULIN
A Châteaulin, Jo Dréau, fondateur de l’entreprise de services informatiques Kerhis et son assistante Nadine Le Marc se sont vus remettre par moi même et le Président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne André Sergent, la distinction de chevalier du mérite agricole.
La fédération nationale des CUMA regroupe 11500 coopératives d’utilisation des matériels agricoles et 200000 exploitants agricoles en France
17 novembre 2022
PARIS
La fédération nationale des CUMA regroupe 11500 coopératives d’utilisation des matériels agricoles et 200000 exploitants agricoles en France. Sachant que les charges de mécanisation représentent 30 à 50% des coûts de production, la mutualisation des investissements est importante pour l’équilibre économique et l’optimisation des moyens.
En commission des finances du Sénat, j’interpelle le ministre des comptes publics sur la situation des ruraux ayant besoin de leur véhicule pour aller travailler,En commission des finances du Sénat, j’interpelle le ministre des comptes publics sur la situation des ruraux
3 novembre 2022
SÉNAT
En commission des finances du Sénat, j’interpelle le ministre des comptes publics sur la situation des ruraux ayant besoin de leur véhicule pour aller travailler, l’aide de l’état au carburant passant de 30 à 10 cent à la mi novembre, et sur la situation des navires de pêche, qui n’ont pas d’autres alternatives que l’utilisation de carburant pour les navires.
Dumping social et liaisons trans-Manche : Le sénateur Michel Canévet interroge le Gouvernement
2 novembre 2022
Dumping social et liaisons trans-Manche :
Le sénateur Michel Canévet interroge le Gouvernement
Dans le cadre de la séance des Questions d’Actualité au Gouvernement, ce mercredi, le sénateur Michel Canévet (Union Centriste) a interrogé Hervé Berville, le secrétaire d’État chargé de la Mer, sur le dumping social dont souffrent les armateurs français assurant les liaisons trans-Manche. Une problématique qui résonne particulièrement en Bretagne où se trouve le siège de la Brittany Ferries, le premier armateur-employeur de marins en France.
A l’approche des 4èmes rencont tre exigence de protection sociale de nos marins. J’ai également mandaté en août une mission de l’inspection des Affaires maritimes pour mettre sur la table toutes les options d’ici Noël, notamment la loi de Police qui interdirait l’accès aux bateaux -à l’arrivée ou au départ des ports français- qui n’appliqueraient pas un niveau social élevé. Enfin, dans le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables, nous avons étendu des mesures sociales ». Et le Ministre d’annoncer qu’il s’entretiendra prochainement avec son homologue anglais pour renforcer les contrôles et développer « une politique bilatérale efficace pour lutter contre ces pratiques déloyales et inacceptables ». « Ces orientations sont importantes, s’est félicité Michel Canévet, car l’enjeu est de faire respecter les conditions de concurrence. Il faut pouvoir convaincre les britanniques, les italiens et les espagnols et être exigeants avec eux. Il en va de l’avenir de nos compagnies dont la Brittany Ferries ».
Le Secrétaire d’État à la mer est venu vendredi à la rencontre des professionnels de la filière pêche au Guilvinec, premier port de pêche de France en valeur
28 octobre 2022
GUILVINEC
Le Secrétaire d’État à la mer est venu vendredi à la rencontre des professionnels de la filière pêche au Guilvinec, premier port de pêche de France en valeur. L’inquiétude demeure avec le prix du gasoil, notamment le perspective de suppression de l’aide de 30 centimes, le prix du carburant demeurant élevé. Le manque de marins, en particulier pour remplacer ceux qui partent en retraite est également un sujet de préoccupation.
A l’initiative de la Sénatrice d’Ille et Vilaine Françoise Gatel, nous avons dégusté, en entrée, plat et dessert, les tomates produites par la coopérative Solarenn et ses 30 maraîchers en Ille et Vilaine
27 septembre 2022
SÉNAT
A l’initiative de la Sénatrice d’Ille et Vilaine Françoise Gatel, nous avons dégusté, en entrée, plat et dessert, les tomates produites par la coopérative Solarenn et ses 30 maraîchers en Ille et Vilaine. Une belle valorisation de la tomate par le chef du restaurant du Sénat et son équipe, qui montre que ce produit se déguste avec plaisir à toutes les étapes d’un excellent repas.
À Kernilis, le Gaec Jestin a construit en 2019 un méthaniseur
19 septembre 2022
KERNILIS
À Kernilis, le Gaec Jestin a construit en 2019 un méthaniseur qui permet de valoriser différents déchets afin de produire de l’électricité et de sécher du fourrage et des algues de rive. Le potentiel méthanier de la Bretagne est conséquent et utile en ces temps de transition énergétique, comme me l’a rappelé Jean Marc Onno, président des méthaniseurs bretons.
Jean Hervé Caugant, président de la chambre d’agriculture du Finistère a réuni les parlementaires et représentants des collectivités territoriales
12 septembre 2022
QUIMPER
Jean Hervé Caugant, président de la chambre d’agriculture du Finistère a réuni les parlementaires et représentants des collectivités territoriales afin d’évoquer le contexte de l’activité des 7000 exploitants agricoles du département, les enjeux environnementaux et d’urbanisme. Une présentation riche et des échanges intéressants pour promouvoir une agriculture dynamique en Finistère.
Marc Pointud Médaillé du Mérite Maritime
3 septembre 2022
DOUARNENEZ
Marc Pointud Médaillé du Mérite Maritime
Expert maritime, président-fondateur de l’association Phares et Balises, Marc Pointud, 71 ans, s’est vu décorer de la Médaille du Mérite Maritime, samedi 3 septembre 2022 à bord du balisier Roi Gradlon, situé au Port Rhu.
La société nationale des phares et balises est une association qui œuvre pour la sauvegarde de ce patrimoine depuis 2002. La médaille a été remise à Marc Pointud en présence du Sénateur Michel CANÉVET et de la députée Liliana Tanguy, par Marcel Carpentier, président de la fédération régionale pour la culture et le patrimoine pour le Nord-Pas-de-Calais et la Picardie.
(c) Article Le Télégramme
L’exploration, la protection et l’exploitation des fonds marins : quelle stratégie pour la France ?
21 juin 2022
SÉNAT
Après cinq mois de travail, près de 70 auditions, une trentaine de contributions écrites et deux déplacements (à Brest et en Norvège), je présente, avec mon collègue de la Polynésie française Teva Rohfritsh (rapporteur), le rapport de la Mission d’information que j’ai présidée sur « L’exploration, la protection et l’exploitation des fonds marins : quelle stratégie pour la France ? ». Notre attention s’est concentrée sur les « grands » fonds marins, et plus particulièrement sur les milieux abritant des ressources minérales, essentiellement en-deçà de 1000 m en zone aphotique c’est-à-dire dépourvue de lumière. La mission s’est également intéressée à la colonne d’eau attenante, à la vie qui est hébergée et aux risques environnementaux induits par une éventuelle activité anthropique non maîtrisée dans les fonds marins. Notre rapport propose 20 recommandations pour donner un nouveau départ à la politique des grands fonds marins.