Archives de Catégorie: Transports

A Paris autour des constructeurs automobiles et de batteries, nous avons échangé sur la chaîne de valeur dans la filière automobile

13 mars 2024

PARIS

A Paris autour des constructeurs automobiles et de batteries, nous avons échangé sur la chaîne de valeur dans la filière automobile.

Réponse de la SNCF

26 février 2024

SNCF

La passerelle permettant de relier les 2 cotés de la gare de Quimper est enfin opérationnelle

19 janvier 2023

QUIMPER

La passerelle permettant de relier les 2 cotés de la gare de Quimper est enfin opérationnelle. Il faudra maintenant réfléchir à l’accroissement des places de stationnement et l’accessibilité du parking de la salle Michel Gloaguen pour répondre aux besoins des usagers de plus en plus nombreux à prendre le train. J’ai demandé au président de la SNCF d’accroître l’offre de transport à la pointe de Bretagne.

Triste jour pour l’aéroport de Quimper Pluguffan que le propriétaire, le Conseil Régional de Bretagne, abandonne en refusant de prolonger la liaison d’aménagement du territoire qui reliait la Cornouaille à Paris Orly

24 novembre 2023

QUIMPER

Triste jour pour l’aéroport de Quimper Pluguffan que le propriétaire, le Conseil Régional de Bretagne, abandonne en refusant de prolonger la liaison d’aménagement du territoire qui reliait la Cornouaille à Paris Orly. Il n’y a désormais plus de liaison entre la Bretagne Occidentale et Paris Orly. J’ai une pensée attristée pour le personnel de l’aéroport de Quimper Pluguffan qui s’est dévoué depuis très longtemps pour assurer un accueil chaleureux et professionnel des passagers et visiteurs. Dorénavant, c’est par train que l’on pourra se déplacer à Paris, mais là aussi les obstacles sont nombreux avec le manque de places : trop de trains complets entre Quimper et Paris. On espère que la région, responsable des transports et déplacements en Bretagne prendra la mesure de l’éloignement géographique des pointes du Finistère. Le désenclavement de la Bretagne ne doit pas s’arrêter à Rennes.

Aéroport de Quimper : « Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la gale »

24 mai 2023

Aéroport de Quimper :

« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la gale »

Suite aux nouvelles déclarations de Loïg Chesnais-Girard, le Président du conseil régional de Bretagne, parues dans l’édition de Ouest-France de ce mercredi, concernant l’aéroport de Quimper, le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste) lui répond.

« Une nouvelle fois, le Président de la région confirme son souhait de ne pas prolonger au-delà de novembre 2023 le soutien de la Région à l’aéroport de Quimper dans le cadre de l’Obligation de Service Public mise en place en 2019.

Il s’entête à considérer que cette ligne ne présenterait qu’un « intérêt limité » pour les entrepreneurs qui n’y ont plus recours et que la ligne Quimper-Paris/Orly serait « devenue essentiellement touristique ». Il insiste également sur une fréquentation en baisse.

Comme dit le proverbe, « Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la gale ». En prenant cette décision, Loig Chesnais-Girard sait bien qu’il porte un coup d’arrêt à cette ligne et sans doute, à terme, à l’aéroport.

Or, encore une fois, les arguments ne manquent pas pour prolonger cette OSP qui a évidemment subi les contrecoups du COVID, et même si les solutions envisagées depuis, y compris par les lignes aériennes elles-mêmes, ne sont pas toujours à la hauteur (avions trop petits et taux de remplissage trop rapidement atteints par exemple, impactant de fait la fréquentation).

Mais la pointe Bretagne doit être désenclavée, et ce ne sont, actuellement, ni le réseau routier, avec des engorgements fréquents sur la voie express, notamment à Lorient, ni la voie ferroviaire, avec des lignes en nombre souvent insuffisant ou des horaires inadaptés, -même en réservant deux semaines à l’avance il est difficile de trouver une place-, qui le permettent.

Je le répète, il y a donc une pertinence et une complémentarité à maintenir cette ligne aérienne qui reste un outil important de développement économique et touristique en reliant notre territoire à l’ensemble du territoire national, à l’Europe et au monde.

Je le redis encore une fois la situation reste complexe, mais Loïg Chesnais-Girard vient de passer par pertes et profits les efforts de tous ceux -y compris la Maire socialiste de Quimper, Isabelle Assih-, qui se battent depuis des mois pour maintenir cette liaison aérienne.

Maintenir cette OSP ? Suite à nos demandes, l’Etat n’exclut d’ailleurs pas d’y participer. Mais que fait la région pour la Cornouaille ?

Que l’on soit clair : il ne s’agit pas de maintenir artificiellement et éternellement cette ligne, mais d’évaluer dans des conditions « normales » et en toute objectivité sa fréquentation, son attractivité, les compléments d’activités actuellement à l’étude à la CCI et, alors seulement, l’on pourra parler de décider du maintien de cette ligne.

En attendant, il est urgent de réunir très rapidement les principaux intéressés pour trouver des solutions ».

Aéroport de Quimper : Les socialistes abandonnent la Cornouaille

12 mai 2023

Aéroport de Quimper : Les socialistes abandonnent la Cornouaille

Suite aux déclarations de Loïg Chesnais-Girard, le Président du conseil régional de Bretagne, tenues lors de sa visite à Quimper, ce jeudi, annonçant la fin du soutien de la Région à la ligne aérienne Quimper/Paris-Orly, le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste) lui répond.

« Après les propos déjà très alarmistes qu’il avait tenus en janvier dernier, le Président de la Région Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, vient d’annoncer, en catimini, lors d’une visite dans deux lycées quimpérois, que la région se désengagera du financement de l’obligation de service public (OSP) dès le mois de novembre prochain, signant par la même la fin de la ligne Quimper/Paris-Orly et, par la suite, l’arrêt de toute activité à l’aéroport.

Au-delà de la forme, plus que surprenante pour ne pas dire désinvolte, de cette annonce, ce sont surtout les raisons de ce désengagement qui interpellent.

Rappelons tout d’abord qu’en février 2019, la Préfète de la région Bretagne et le Président du Conseil régional de Bretagne avaient signé, en présence du Premier ministre, le Pacte d’accessibilité et de mobilité pour la Bretagne, qui stipule que « l’État et la Région valident le principe d’une OSP pour la liaison Quimper-Paris Orly ». Conformément à cet engagement, une convention de délégation de service public ad hoc avait été signée le 25 novembre 2019, pour une durée de 4 ans. Mais, dès mars 2020, la crise sanitaire a profondément bouleversé le fonctionnement de la ligne Quimper/Paris-Orly (majoritairement utilisée par les entreprises) et les difficultés liées au contexte n’ont pas permis de retrouver, depuis cette date, des fréquences journalières nécessaires à sa rentabilité. Contrairement à ce qui est dit, le coût pour le conseil régional n’est pas de 4 millions mais moins à sa charge (1,5 Million) car l’État participe également. N’oublions pas que la région met 10 millions pour les TGV arrivent à la pointe de la Bretagne.

Je reconnais que la situation est toujours complexe, mais Loïg Chesnais-Girard vient de passer par pertes et profits les efforts de tous ceux qui se battent depuis des mois pour maintenir cette liaison permettant d’assurer le désenclavement de la pointe bretonne. Un désenclavement que ni le réseau routier, avec des engorgements fréquents sur la voie express, notamment à Lorient, ni par voie ferroviaire, avec des lignes en nombre souvent insuffisant ou des horaires inadaptés, -même en réservant deux semaines à l’avance il est difficile de trouver une place-, ne favorisent. Cette ligne aérienne reste donc aujourd’hui un outil important et complémentaire de développement économique et touristique qui relie notre territoire à l’ensemble du territoire national, à l’Europe et au monde.

C’est pourquoi, avec plusieurs de mes collègues parlementaires et le Président de la CCIMBO, Jean-François Garrec, nous nous sommes mobilisés pour que cette OSP soit maintenue deux ans, compte tenu du contexte exceptionnel de ces dernières années. Suite à nos demandes, l’État n’exclut d’ailleurs pas d’y participer. Que fait la région pour la Cornouaille ? Que l’on soit clair : il ne s’agit pas de maintenir artificiellement et éternellement cette ligne, mais d’évaluer dans des conditions « normales » et en toute objectivité sa fréquentation, son attractivité, les compléments d’activités actuellement à l’étude à la CCI et, alors seulement, l’on pourra parler de décider du maintien de cette ligne.

Les conséquences de la décision de la région sont dramatiques en termes d’aménagement du territoire : moins de capacités de désenclavement, moins d’attractivité pour maintenir les sièges de décisions en Cornouaille, un risque de fermeture des activités annexes à l’aéroport et, à l’avenir, l’incapacité de s’adapter aux évolutions technologiques de l’aérien décarboné. Car l’enjeu est bien celui du désenclavement de la pointe de Bretagne, tant économique que touristique.

Aéroport de Quimper : Le sénateur Michel Canévet répond au Président de la Région

24 janvier 2023

Aéroport de Quimper :

Le sénateur Michel Canévet répond au Président de la Région

Suite aux propos du Président de la Région Bretagne, Loïg Chesnais Girard (Ouest-France du 21 janvier 2023), concernant l’aéroport de Quimper, le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste) lui répond.

« Je suis surpris par la teneur des propos du Président de la Région qui explique que l’Obligation de Service Public (OSP) n’a pas été relancée pour le moment et s’arrêterait donc en novembre prochain.

C’est un très mauvais signe envoyé à l’ensemble des habitants et des acteurs économiques de la Cornouaille et de façon plus large aux finistériens.

Laisser entendre que cette OSP n’aurait d’ores et déjà plus d’avenir, c’est condamner définitivement l’aéroport de Quimper, pourtant le seul en Bretagne à disposer aujourd’hui d’une ligne avec Orly, avec deux rotations quotidiennes et des horaires adaptés aux besoins, notamment des professionnels.

C’est également passer par pertes et profits les efforts de tous ceux qui se battent depuis des années pour maintenir la liaison Quimper-Orly qui permet d’assurer le désenclavement de la pointe bretonne.

Je suis le premier à reconnaître que la situation est complexe et que l’aéroport a dû subir les crises sanitaires et énergétiques.

Attention aux conséquences de l’arrêt de l’exploitation de la ligne Quimper/Orly sur l’écosystème aéroportuaire, l’entretien des équipements, les conséquences sur l’emploi dans nos entreprises. Car l’enjeu est bien celui du désenclavement de la pointe de Bretagne.

Et l’avion, à cet égard, demeure le moyen le plus rapide pour cela. Il y a en Cornouaille de nombreuses Petites et Moyennes entreprises qui doivent aller chercher, à l’est, vers l’Europe, les marchés pour leur développement.

Si le train est un outil important pour le désenclavement, nous devons subir l’éloignement, les retards et bien souvent le manque de places : il est donc complémentaire de l’avion et pas concurrentiel.

De même, le très haut débit est attendu en Bretagne Occidentale mais, hélas, n’a pas fait l’objet par la région d’un plan de desserte prioritaire et subit des retards de déploiement par rapport aux délais prévus.

La Bretagne ne peut et ne doit pas s’équiper et s’aménager uniquement à l’est, autour de Rennes.

La pointe de Bretagne a aussi besoin d’une attention particulière : c’est le sens de ce que devrait être une réelle politique d’aménagement du territoire.

 

Avenir desserte aérienne Brest/Orly

8 septembre 2022

BREST

Ce jeudi matin, à Brest, une vingtaine de représentants institutionnels et politiques (Brest Métropole, CCIMBO, Investir en Finistère, le département du Finistère et la Région Bretagne ainsi que les parlementaires) se sont réunis pour évoquer l’avenir de la desserte aérienne Brest/Orly. Si une première avancée a été obtenue avec l’annonce de la prolongation de six mois de cette ligne, la vigilance reste de mise.

Retrouvez ici le courrier transmis en ce sens à Madame la Première Ministre, Elisabeth Borne, en cliquant sur le lien ci-dessous :

lettre à PM

Le port Brest-Roscoff intégré dans le réseau RTE-T : « L’union des forces bretonnes a payé » pour le sénateur Michel Canévet

15 décembre 2021

Le port Brest-Roscoff intégré dans le réseau RTE-T :

« L’union des forces bretonnes a payé » pour le sénateur Michel Canévet

« C’est avec une très grande satisfaction que j’ai appris que la Commission européenne a décidé d’intégrer le port de Brest-Roscoff dans le Réseau TransEuropéen de Transport (RTE-T), c’est-à-dire le « réseau central » des flux, se félicite le sénateur du Finistère Michel Canévet (Union centriste). Cette décision devrait permettre de recevoir de très importants financements fléchés par l’Europe. Et cela passera également par une amélioration des voies ferroviaires sur la Bretagne Nord. Il reste encore à obtenir l’aval du Parlement européen et celui des Etats membres, mais assurément, le plus gros obstacle a été franchi. »

« Ce résultat est le fruit de la mobilisation de tous les élus bretons, à tous les niveaux, sans oublier l’action incontournable de la Chambre de Commerce et d’Industrie Métropolitaine Bretagne Ouest (CIMBO) et de son ancien Président Frank Bellion. L’union des forces bretonnes a payé », souligne Michel Canévet, qui avait pour sa part écrit et alerté Annick Girardin, dès les premiers jours de la nomination de cette dernière au poste de Ministre de la Mer, en juillet 2020.

Débat sur « l’avenir des entreprises assurant les liaisons trans-Manche » : Le sénateur Michel Canévet interroge Annick Girardin, la Ministre de la Mer

24 mars 2021

Débat sur « l’avenir des entreprises assurant les liaisons trans-Manche »

Le sénateur Michel Canévet interroge Annick Girardin, la Ministre de la Mer

Dans le cadre de la semaine de contrôle du Sénat, le groupe de l’Union Centriste a souhaité organiser, ce mardi, un débat sur « l’avenir des entreprises assurant les liaisons trans-Manche ». Mobilisé depuis plusieurs mois sur ce sujet, le Sénateur Michel CANÉVET (Finistère) l’a ouvert et a interrogé Annick GIRARDIN, la Ministre de la Mer qui lui a répondu, avant que les sénateurs ne poursuivent cette discussion à travers une série de questions-réponses.

Rappelant tout d’abord que la France dispose du second espace maritime le plus étendu au monde et sa satisfaction qu’un Ministère soit spécifiquement dédié à la Mer, le sénateur Michel CANÉVET a souligné la longue histoire que notre pays entretient avec la mer, « que ce soit la pêche commerciale du port de Penmarc’h au 15ème siècle, la création de la Marine d’État « sous Louis XIII » ou plus récemment l’arrivée du Vendée Globe.

Et des Johnnies de Roscoff au tunnel sous la Manche en passant par la création de la BAI en 1972, les exemples ne manquent pas d’échanges créés avec les britanniques. Mais en 2016, avec les incertitudes liées au Brexit puis la pandémie que l’on connaît, tous les opérateurs ont été très fortement impactés, souvent dans des proportions très importantes, a rappelé le Sénateur. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui à travers ce débat car tous les territoires de la façade nord de notre pays sont concernés par ces échanges avec le Royaume-Uni ».

Pour Michel CANÉVET, il est nécessaire de « restaurer des conditions de viabilité économique de l’ensemble des opérateurs qui sont, en outre, confrontés à une concurrence internationale. Ils ne doivent pas être accablés de charges. C’est certes fait pour les charges patronales, mais il faut aller plus loin car les opérateurs mettront beaucoup de temps pour absorber leurs pertes, et cela malgré l’aide déjà fournie par le Gouvernement », et de proposer une série de mesures face à cette crise : la prise en compte des charges sociales salariales et « cela sur plusieurs années », la formation des marins, « car pour avoir un Pavillon, il faut des marins formés », les investissements portuaires et les « corridors » européens « pour y intégrer certains ports français à vocation internationale comme Brest, Roscoff ou Saint Malo ». Enfin, Michel CANÉVET a souhaité que l’on profite du Plan de Relance pour agir tant au niveau des ports pour qu’ils développent une vraie stratégie, qu’au niveau des flottilles.

Dans sa réponse, la Ministre de la Mer a approuvé l’analyse faire par Michel Canévet concernant l’importance de ce secteur mis à rude épreuve, « avec des baisses d’activités de 80% et de chiffres d’affaire de 75% pour certains opérateurs sous pavillon français par rapport à 2019. Le gouvernement est actif et le restera, aux côtés des opérateurs et cela « quoi qu’il en coûte ». Politique d’aides d’urgence, prêts garantis, implication des régions « que je tiens à saluer », procédure d’activités réduites de longue durée sous conditions, les exemples ne manquent pas selon Annick GIRARDIN pour qui « l’État a porté une attention toute particulière aux activités de ferries, touchées de plein fouet, avec des aides en matière de cotisations sociales d’un montant de 20-25 millions d’euros pour l’ensemble des compagnies de ferries. Il sera nécessaire d’avoir des infrastructures adaptées aux contrôles aux frontières, mais la France a su anticiper ce moment bien en amont à hauteur de 20 millions d’euros et la réserve spéciale d’ajustement au Brexit contribue à ce financement ».

Et de poursuivre en évoquant les réponses à l’appel d’offres britannique de 10 ports francs, le renforcement des zones industrialo-portuaires et la création d’une Mission en ce sens, sans oublier le transport ferroviaire. « Le Brexit amène aussi de nouvelles opportunités, économiques, avec l’Irlande, avec la création de nouvelles lignes et le renforcement de celles existantes ou la création de zones de vente hors taxes ». Concernant enfin Eurostar, le plan de sauvetage passe, selon la Ministre, par des efforts des actionnaires et une plus grande implication des banques « et le Gouvernement français est prêt à prendre sa part, dans un effort partagé avec le Royaume-Uni ». En conclusion de son intervention, la Ministre a rappelé trois sujets majeurs : le lancement de la seconde phase du « Fontenoy du Maritime » pour la compétitivité de la Marine Marchande, « pour aboutir avant l’été à un Pacte de performance », faire de la France une grande puissance maritime « grâce une vraie politique publique du shipping » (transport maritime), et enfin le Plan de relance, maritime notamment, de 650 millions d’euros, « pensé pour répondre concrètement aux attentes des acteurs économiques, et la très attendue » stratégie portuaire qui doit toucher, plus et mieux les ports décentralisés ».

Débat au Sénat : l’avenir des entreprises assurant les liaisons trans-Manche

23 mars 2021

SÉNAT

Amélioration des dessertes ferroviaires à la pointe bretonne : Michel Canévet interroge le gouvernement sur cet « enjeu majeur »

9 mars 2021

Amélioration des dessertes ferroviaires à la pointe bretonne : Michel Canévet interroge le gouvernement sur cet « enjeu majeur »

Lors de la séance des questions orales au Sénat, ce mardi matin, le sénateur du Finistère Michel CANEVET (Union Centriste) a interrogé le gouvernement sur l’amélioration de la desserte ferroviaire entre Rennes et Brest, d’une part et entre Rennes et Quimper d’autre part. C’est Bérangère ABBA, secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité qui lui a répondu.

Pour le sénateur Michel CANÉVET, il s’agit là d’un « enjeu majeur d’aménagement du territoire, car si la voie nouvelle entre Rennes et Connerré, dans la Sarthe, inauguré par le Président Macron, permet demettre la capitale régionale de Bretagne à 1 h 20 de Paris, mais l’objectif est bien de mettre Brest et Quimper à 3 heures de Paris. Pour ce faire, soit l’on réalise des investissements importants, nécessitant du temps pour mobiliser les fonds aujourd’hui, soit des opérations plus ponctuelles pour à la fois améliorer la sécurité routière et l’accessibilité de la Bretagne Occidentale. Le Gouvernement a-t-il donc l’intention d’engager et de soutenir des opérations de dénivellations des voies de chemin de fer permettant tout à la fois une meilleure sécurité routière et d’éviter que les trains ne ralentissent près des passages à niveau « , a demandé le Sénateur.

Et de citer la situation du Relecq-Kerhuon, où une opération est en attente depuis de nombreuses années, suggérant l’utilisation du plan de relance comme moyen de financement.

Rappelant tout d’abord le Pacte d’accessibilité signé en 2018 par l’État et la Région Bretagne, et son objectif d’accessibilité confirmé dans la Loi Mobilité de 2019, la secrétaire d’Etat à la biodiversité, Bérangère ABBA, aévoqué les deux axes bretons Rennes/Quimper et Rennes/Quimper.  » Une  » feuille de route  » Ouest-Bretagne/Pays de la Loire, demandée par le Ministre en charge des transports en février 2020, sera réalisée sur la base d’actualisation du débat public 2014-2015 et des études complémentaires de 2016 et 2017 et des études préliminaires lancées pour une ligne nouvelle Rennes/Redon. Pour l’axe nord Rennes/Brest, un schéma directeur visant l’amélioration progressive des infrastructures est en cours avec notamment à terme des relèvements de vitesse à plus de 160 kilomètres heure sur certaines sections de la ligne classique ce qui nécessitera la suppression de passages à niveau « .

Enfin, évoquant celui du Relecq-Kerhuon, la Ministre a rappelé qu’il avait été  » retiré en 2001 du plan de sécurisation des passages à niveau, condition pour que l’Etat envisage de participer financièrement à sa suppression, mais l’instance nationale des passages à niveau peut à tout moment étudier l’opportunité de l’inscrire à nouveau dès lors qu’il remplit
les conditions de trafic et d’accidentologie ».

« Il faut que l’on puisse lancer un grand nombre d’opérations et impulser les choses pour mettre Brest et Quimper à 3 heures de Paris : c’est une question d’aménagement du territoire« , a une nouvelle fois insisté Michel CANÉVET, qui a mis en exergue « le plan de relance en cours -et la volonté de réaliser des investissements pour l’avenir- qui doit servir de moyen de financement et d’engagement des opérations« . Quant au Relecq-Kerhuon, il est selon lui, important que cette opération se fasse au vu de la circulation et du danger potentiel : « Les élus l’attendent ».

Secondes rencontres du transmanche à Armateurs de France

11 février 2021

FINISTERE

Secondes rencontres du transmanche à Armateurs de France et par visio conférence afin d’échanger avec les opérateurs (BAI, DFDS, Getlink) du trafic transmanche sur les difficultés actuelles et la préparation du post Covid.

Question écrite sur l’avenir de la liaison Brest/Quimper – Paris : Le ministre des Transports répond au sénateur Michel Canévet

12 novembre 2020

Question écrite sur l’avenir de la liaison Brest/Quimper – Paris

Le Ministre des transports répond au sénateur Michel Canévet

Dans le cadre des questions écrites posées au Gouvernement, le Sénateur Michel Canévet (Union centriste) avait interrogé Jean-Baptiste DJEBBARI, le Ministre délégué chargé des Transports concernant la durée du trajet entre Quimper et Brest d’une part, et Paris d’autre part, en train à grande vitesse (TGV). Le sénateur soulignait la mobilisation des élus bretons et la volonté des Finistériens de pouvoir, depuis les deux plus grandes villes du Finistère, rejoindre Paris en trois heures de trains. « Or, cela est actuellement impossible. Bien que la desserte de Rennes, depuis Paris, s’effectue désormais en TGV, les Finistériens demeurent éloignés de la capitale. Bien souvent, ils sont obligés de passer par Paris afin de rejoindre une autre région de France. Ainsi, il est impossible pour eux de se rendre à Bordeaux sans passer par la capitale, ce qui porte le temps global du trajet à environ six heures. Certes, l’avion est souvent proposé comme alternative, mais la ligne en partance de Quimper est aujourd’hui menacée. De plus, le prix du vol peut constituer un frein pour nombre de nos concitoyens. Ceux-ci doivent alors se rabattre sur le train, qui ne permet pas d’effectuer un aller-retour dans la journée, obérant ainsi le développement des entreprises finistériennes, et de demander au Ministre les solutions envisagées pour permettre aux Finistériens d’être désenclavés.

Dans sa réponse, le Ministre souligne que « l’objectif de relier la pointe finistérienne à 3h de Paris est pleinement partagé par l’État et est confirmé dans le Pacte d’accessibilité et de mobilité pour la Bretagne, signé le 8 février 2019 entre le Premier ministre et le Président de la région Bretagne. Afin de concrétiser à terme cet objectif, l’État et les élus bretons partagent deux engagements distincts permettant d’améliorer significativement la desserte à grande vitesse du Finistère.

L’engagement n° 3 du pacte prévoit l’examen d’une nouvelle desserte ferroviaire, portant sur les conditions d’une augmentation des TGV « bolides » vers Brest, en visant une offre quotidienne. Actuellement, cette desserte est assurée le vendredi soir, avec un temps de parcours de 3h13 entre Brest et Paris, sans arrêt à Rennes. Une étude confiée à SNCF Réseau et SNCF Mobilités doit permettre d’évaluer la possibilité d’augmenter le nombre de TGV bolides tout en ne remettant pas en cause les fondements de la desserte TGV et TER du territoire breton. <

L’engagement n° 4 porte sur le projet de Liaisons Nouvelles Ouest Bretagne Pays de la Loire (LNOBPL). Dans ce cadre, l’État et la Région Bretagne confirment le lancement des études sur la section nouvelle Rennes-Redon et d’expertises complémentaires sur l’axe Nord. Conformément à cet engagement, le comité de pilotage s’est réuni le 1er juillet 2019. Il a permis de valider le processus des études de la nouvelle étape du grand projet LNOBPL. Ainsi, à travers l’analyse des besoins de mobilités, les partenaires du projet partagent la démarche d’études en vue d’une trajectoire d’amélioration à la fois de l’axe Nantes – Rennes – Bretagne Sud et de la desserte Rennes Brest.

Concernant plus précisément l’accessibilité du Finistère, l’engagement des études préliminaires d’une ligne nouvelle entre Rennes et Redon permettra d’améliorer à terme significativement le temps de parcours pour l’ensemble de la ligne à l’ouest de Redon jusqu’à Quimper. Par ailleurs, l’élaboration d’un schéma directeur d’axe entre Rennes et Brest permettra de viser une amélioration progressive des infrastructures en cohérence avec l’objectif de mettre Brest à 3h de Paris à long terme. L’État est ainsi mobilisé, avec les partenaires régionaux, pour ainsi concrétiser une meilleure accessibilité du Finistère ».

 Site HOP! – Morlaix 

30 juillet 2020

Site HOP! – Morlaix 

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 Site HOP! – Morlaix 

Le sénateur Michel Canévet a saisi, le 3 juin dernier, le Président de HOP!, Pierre-Olivier Bandet, puis, Jean-Baptiste Djebbari, Ministre des Transport, il y a un mois au Sénat, et ce jeudi 29 juillet, la direction d’Air France, en visioconférence et en présence de Jean-Marc Puchois, Conseiller départemental connaissant parfaitement le problème de l’aéronautique.

L’occasion pour Michel Canévet de rappeler l’importance du maintien du site historique de HOP! à Morlaix en spécifiant que les considérations d’aménagement du territoire devaient être prises en compte dans la réflexion de réorganisation de l’entreprise. « Le siège social de HOP! peut facilement être déménagé de la métropole nantaise, qui connaît déjà une dynamique forte, pour être transféré dans les locaux de Morlaix appartenant à HOP! ».

Avec Jean-Marc Puchois, il a insisté « pour la préservation des services de maintenance considérant qu’il y a là un écosystème favorable au maintien d’une activité avec notamment la présence du Lycée Tristan Corbière ».

Michel Canévet a également rappelé le rôle qu’assurent les collectivités territoriales dans le maintien de la plateforme aéroportuaire de Morlaix, y consacrant des moyens significatifs.

Il souhaite que ces éléments puissent être intégrés dans la réflexion en cours au sein d’Air France dans le cadre de sa réorganisation et demeure vigilant à ce sujet.

Proposition de loi pour améliorer les droits des usagers des transports en cas de grève

4 février 2020

SÉNAT

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Lors de l’examen d’une proposition de loi pour améliorer les droits des usagers des transports en cas de grève, je défends l’idée d’étendre les droits des usagers trop souvent pris en otage par des grévistes.

A Landivisiau, la région Bretagne, la Mairie et la Communauté de Communes ont investi pour améliorer l’accueil des voyageurs

22 octobre 2019

LANDIVISIAU

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A Landivisiau, la région Bretagne, la Mairie et la Communauté de Communes ont investi pour améliorer l’accueil des voyageurs : démolition des locaux vétustes de l’ancienne gare, aménagement d’un nouveau hall d’attente, extension des parkings y compris installation d’emplacements sécurisés pour les vélos. De quoi consolider les 7 liaisons quotidiennes de plus en plus utilisées.

Réunion de travail de la mission sénatoriale sur les transports aériens à l’aéroport de Quimper-Pluguffan

24 juin 2019

QUIMPER

mcaeroports

Réunion de travail de la mission sénatoriale sur les transports aériens à l’aéroport de Quimper-Pluguffan avec les représentants de la Région, du Département, de Quimper et de la chambre de commerce et de l’industrie du Finistère.

Pour la Conseillère régionale Isabelle Le Bal et le Sénateur Michel Canévet : « Maintenir l’aéroport de Quimper, c’est s’ouvrir au monde »

6 juin 2019

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Pour la Conseillère régionale Isabelle Le Bal et le Sénateur Michel Canévet : « Maintenir l’aéroport de Quimper, c’est s’ouvrir au monde »

« Contrairement à Daniel Le Bigot (conseiller municipal de Quimper) qui se prononce pour la fermeture de l’Aéroport de Quimper, nous réaffirmons très clairement notre engagement pour le maintien et le développement de l’aéroport de Quimper, à la desserte aérienne régulière vers Paris, au développement des usages comme par exemple l’hélicoptère ou l’aviation d’affaires ou de loisirs et, nous le souhaitons, à l’ouverture demain vers d’autres destinations européennes », ont tenu à réagir la Conseillère régionale Isabelle Le Bal (Modem) et le Sénateur Michel Canévet (Union centriste).

« Interdire l’avion là où un train parcourt le même trajet en moins de cinq heures, c’est avoir une vision incomplète, voire « déconnectée », de la réalité. Comme le définissait le rapport Brundtland en 1987, « le développement durable doit être à la fois économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement tolérable. Le social doit être un objectif, l’économie un moyen et l’environnement une condition ».
Le développement durable, ce n’est donc pas que la protection de l’environnement, à laquelle nous sommes d’ailleurs tous attachés, c’est aussi notre façon de vivre et de travailler. L’économie et la mobilité sont au cœur de notre avenir commun.

La Bretagne est éloignée des centres de décisions de l’Europe. Le Finistère ne peut être laissé pour compte en raison d’un développement de la métropole rennaise et son arrière-pays qui, eux, bénéficient d’un TGV ultra performant.

Le décalage risque encore de se creuser entre l’est et l’ouest de la Bretagne si l’on supprime l’avion avant d’avoir eu la garantie d’une desserte ferroviaire du Finistère à 3h de Paris. Sans TGV rapide, l’avion restera incontournable. N’en déplaise à Daniel Le Bigot, il n’y a pas d’alternative viable pour la Cornouaille aujourd’hui.

Faut-il d’ailleurs rappeler que l’arrêt de l’aéroport de Notre Dames des Landes comportait un engagement de rééquilibrage pour les autres aéroports de Bretagne ?

L’obligation de service public soutenue unanimement par l’État et les collectivités bretonnes est un engagement fort de solidarité, d’équilibre et d’aménagement des territoires. C’est aussi pour la jeunesse qui voyage beaucoup une ouverture sur le monde.

La Cornouaille doit rester une terre d’emplois, d’innovation et de mobilité et l’avion est une nécessité. Nous souhaitons que cette solution de service public porte ses fruits et fasse plus tard l’objet d’une évaluation pragmatique, responsable et partagée par tous les acteurs. Soutenir la proposition du député RUFFIN, c’est condamner quasiment toutes les liaisons aériennes en France vers Paris. C’est un non-sens pour les acteurs économiques qui ont besoin de rencontrer leurs clients, même éloignés, et pour les finistériens qui ont le droit de choisir leur mode de déplacement », estiment les deux élus cornouaillais.

Isabelle Le Bal,
Conseillère régionale
Michel Canévet,
Sénateur du Finistère

Installation au Sénat de la mission d’information sur les transports aériens et l’aménagement des territoires

15 mai 2019

SÉNAT

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Installation au Sénat de la mission d’information sur les transports aériens et l’aménagement des territoires présidée par Vincent Capo-Canellas (UC Seine Saint Denis) dont la rapporteure sera Josiane Costes (RDSE Cantal), au sein de laquelle j’entends examiner la desserte aérienne du Finistère.

Aéroport de Quimper et Arrêté d’Obligations de service public : La Ministre des Transports répond au sénateur Michel Canévet

6 mars 2019

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Aéroport de Quimper et Arrêté d’Obligations de service public : La Ministre des Transports répond au sénateur Michel Canévet

La liaison aérienne entre Quimper et Paris (Orly) est actuellement exploitée en dehors de toute obligation de service public par la société HOP ! qui, devant les difficultés financières rencontrées ces dernières années sur l’exploitation de cette ligne, a récemment fait savoir qu’elle souhaitait interrompre ses services à compter d’octobre 2019.

Dans le prolongement de l’engagement du pacte d’accessibilité de la Bretagne, signé en février dernier par le Premier Ministre et le Président du Conseil régional du Bretagne, de créer une Ligne d’Aménagement du Territoire (LAT) pour conforter et sécuriser la ligne Quimper-Paris, le Sénateur du Finistère Michel Canévet (Union Centriste) avait alerté Elisabeth Borne, la Ministre en charge des Transports, sur ce dossier vital.

Celle-ci vient de lui annoncer avoir signé, ce mardi 5 mars, un arrêté imposant des obligations de service public sur les services aériens réguliers entre Quimper et Paris (Orly), ainsi que la décision portant délégation d’organisation des services aériens réguliers entre Quimper et Paris (Orly) au Conseil Régional de Bretagne, permettant ainsi de garantir la continuité de l’exploitation de cette liaison sur la base d’un niveau de service permettant d’offrir au territoire une accessibilité efficiente et régulière.

« Il s’agit d’une étape essentielle pour le maintien de la ligne », se félicite Michel Canévet.

Question écrite N° 9190 au Ministère auprès du Ministère de la transition écologique et solidaire

28 février 2019

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Réglementation relative à la circulation sur les chemins de halage des voies navigables et canaux

Question soumise le 28 février 2019

M. Michel Canévet attire l’attention de Mme la ministre, auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports sur la réglementation relative à la circulation sur les chemins de halage des voies navigables et canaux.

Ces canaux, autrefois propriété exclusive de l’État, sont régis par l’article R. 4241-68 du code des transports, selon lequel, sous réserve de l’article R. 4241-70, « nul ne peut circuler ou stationner avec un véhicule sur les digues et chemins de halage des canaux, des dérivations, des rigoles et des réservoirs, non plus que sur les chemins de halages et d’exploitation construits le long des cours d’eau domaniaux appartenant à l’État, s’il n’est porteur d’une autorisation écrite délivrée par l’autorité gestionnaire du domaine ».

En 2008, la région Bretagne est devenue propriétaire de la majorité des voies navigables situées sur son territoire. Ainsi, selon une stricte lecture du droit, l’article R. 4241-68 précité ne devrait pas s’appliquer aux voies navigables devenues propriétés de la région, ces voies n’étant plus des cours d’eau domaniaux appartenant à l’État. Cependant, le service des voies navigables de la région Bretagne oppose une fin de non-recevoir à toute demande d’apposer des panonceaux « sauf vélos » sous les panneaux B0 (« Accès interdit à tous véhicules ») disposés le long de ces cours d’eau, ou de remplacer ces panneaux B0 par des panneaux B7b (« Accès interdit à tous véhicules motorisés »).

Il lui demande ainsi si les collectivités territoriales propriétaires de canaux, dérivations, rigoles, réservoirs ou cours d’eau peuvent généraliser de leur propre initiative un droit d’accès aux cyclistes sur les digues et chemins de halage et d’exploitation construits le long de ces cours d’eau, n’étant pas ou plus soumis aux dispositions de l’article R. 4241-68 du code des transports.

Réponse de la Ministre des transports

5 février 2O19

SÉNAT

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Dans sa réponse, la Ministre a répondu son attachement à la desserte des villes moyennes, évoqué le triplement de l’enveloppe dédiée aux lignes d’aménagement du territoire (LAT), déplore la baisse de la qualité de service de la compagnie HOP amenant à des remises en cause de l’attribution des LAT à cette compagnie lors des mises en concurrence. Elle s’est dite attentive à rechercher une solution sur Quimper dans le cadre des LAT.

Audition de la Ministre des transports au Sénat

5 février 2019

SÉNAT

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Audition de la Ministre des transports au Sénat. Je l’interroge sur le projet de suppression des lignes entre Orly et Quimper en lui demandant d’agir auprès de Hop Air France

Questions d’actualité au Sénat. Catherine Fournier Sénatrice Union Centriste du Pas de Calais interpelle la Ministre des transports sur la place des ports français pour le fret maritime dans le cadre du Brexit

2 octobre 2018

SENAT

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Questions d’actualité au Sénat. Catherine Fournier Sénatrice Union Centriste du Pas de Calais interpelle la Ministre des transports sur la place des ports français pour le fret maritime dans le cadre du Brexit

Jean Marc Roué, Président d’armateurs de France a interpellé le Gouvernement, lors du shipping day

10 avril 2018

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Jean Marc Roué, Président d’armateurs de France a interpellé le Gouvernement, lors du shipping day, sur le souhait d’organiser des états généraux du transport et des services maritimes dans les meilleurs délais. Il a aussi rappelé que dans l’objectif de la transition énergétique, le Gaz naturel liquéfié  (GNL) était aujourd’hui la seule alternative au pétrole dans le transport maritime appelant au soutien de L’ÉTAT pour favoriser l’évolution des navires. Il a enfin appelé à 1 réflexion sur la compétitivité économique des entreprises, dans un secteur fortement concurrentiel au plan international, à une baisse des charges sociales, afin d’affirmer la place maritime de la France.