Archives Mensuelles: février 2023

Différents contacts au salon de l’agriculture avec les producteurs finistériens de Saveol, les exploitants d’étangs et la filière aquaculture

27 février 2023

PARIS

Différents contacts au salon de l’agriculture avec les producteurs finistériens de Saveol, les exploitants d’étangs et la filière aquaculture.

Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro

27 février 2023

PARIS

Au salon de l’agriculture, échange avec les responsables de Terres Oléopro, la fédération française d’oléagineux (colza, tournesol, soja), et de protéagineux (poix, fèveroles, légumes secs). De nombreuses applications, notamment les biocarburants, en plus de l’alimentation humaine et animale peuvent être  déclinées autour de ces productions importantes pour la souveraineté française.

Patrick Tanguy, Maire du Juch, m’a présenté les projets en cours sur la commune pour valoriser le patrimoine

26 février 2023

LE JUCH

Patrick Tanguy, Maire du Juch, m’a présenté les projets en cours sur la commune pour valoriser le patrimoine. Après de gros travaux sur l’église, un bâtiment attenant à l’école est en cours de rénovation pour y aménager une garderie et un logement pour une famille. A suivre la rénovation d’un bâtiment emblématique du centre bourg pour y ouvrir un restaurant.

Rassemblement de soutien à la filière pêche à Pont l’Abbé avec la participation de 500 personnes dont de nombreux élus

25 février 2023

PONT L’ABBÉ

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Rassemblement de soutien à la filière pêche à Pont l’Abbé avec la participation de 500 personnes dont de nombreux élus.

Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »

22 février 2023

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Tribune « Oui, la filière pêche a de l’avenir chez nous. »

Liliana TANGUY – Députée
Michel CANEVET – Sénateur

Le Plan d’Accompagnement Individuel (PAI) annoncé par le Gouvernement impacte fortement la flottille du pays Bigouden au niveau des hauturiers qui pratiquaient tout ou partie de leur activité de pêche dans les eaux britanniques.

C’est cela qui a conduit la Commission européenne à autoriser les états membres de l’UE à financer, sur des fonds européens, le retrait de navires de pêche. Comptant plus de 43% du total des 2 860 navires de pêche français aujourd’hui, nous savions que la Bretagne serait impactée dans ce plan de sortie de flotte. 64 demandes de sortie de navires ont été adressées par les armateurs bretons pour 45 navires qui seraient retenus. Il s’agit donc bien d’une démarche menée par les armateurs, qu’ils soient pêcheurs artisans ou responsables d’armements à la pêche.

Nous le regrettons, mais les réalités économiques, elles existent même si certains ne veulent pas l’entendre, les obligeant à saisir les opportunités, nous l’espérons pour mieux rebondir.

Cela est possible car le secrétaire d’état à la mer Hervé Berville, devant les professionnels de la filière pêche et les élus du pays Bigouden lors de sa visite au port du Guilvinec, a rappelé que 70% des quotas de pêche des bateaux concernés par le PAI reviennent à l’Organisation de Producteurs (OP). Cela doit permettre de maintenir une activité très significative dans nos ports

De multiples facteurs expliquent la situation actuelle. En décembre dernier, nous (députée et sénateur) avons rencontré, successivement, les principaux armateurs à la pêche du pays Bigouden afin, par un dialogue direct avec eux, de bien comprendre et partager les enjeux futurs de la filière. Nous avons également reçu, en début d’année, d’autres acteurs locaux du secteur de la construction navale et du mareyage pour évoquer les solutions permettant d’assurer l’avenir de l’ensemble de la filière.

Tout d’abord, le manque de marins ne permet pas de faire sortir tous les navires, puisque plusieurs de ceux qui figurent dans le PAI sont à quai depuis de nombreux mois. Même l’appoint de marins étrangers n’a pas suffi jusqu’à présent : il y a donc un effort collectif à réaliser pour attirer des jeunes vers ces métiers, car on gagne bien sa vie à la pêche. Cela suppose de ne pas sombrer dans la sinistrose, de promouvoir les métiers, de permettre à des jeunes ou des adultes en reconversion de faire quelques marées pour tester le métier et l’aptitude à la mer. Cela implique également que la région Bretagne, responsable du lycée maritime du Guilvinec /Léchiagat-Treffiagat, y réalise des investissements pour l’accessibilité et l’hébergement des jeunes et des stagiaires.

Ensuite, il y a la question du prix du carburant : le Gouvernement a accompagné, bien au-delà de ce qui est fait pour chacun d’entre nous, la consommation de carburant par une subvention au litre, qui se poursuit parce que nous avons insisté pour cela auprès du Gouvernement, avec les professionnels. Mais, comme ce subventionnement ne peut perdurer indéfiniment, nous devons aussi réduire la dépendance du secteur aux énergies fossiles en trouvant rapidement des solutions technologiques permettant de s’orienter vers la décarbonation des navires. Le Ministre a déjà annoncé des enveloppes financières pour accompagner les projets : nous appuierons les initiatives en ce sens.

Nous soutenons également le Gouvernement et le président de la commission pêche au parlement européen, Pierre Karleskind, pour l’obtention des quotas de pêche et souhaitons la pluri annualité des quotas afin de donner de la visibilité aux pêcheurs.

L’accompagnement de cette transition vers la décarbonation nécessite de trouver d’autres moyens financiers permettant d’assurer le fonctionnement actuel des navires de pêche. C’est pourquoi, dès sa réélection en juin 2022, Liliana Tanguy a alerté la Première Ministre, Elisabeth Borne, sur les difficultés des pêcheurs du quartier du Guilvinec en proposant à Matignon un mécanisme de compensation du prix du gazole basé sur une contribution volontaire de la filière aval (dispositif présenté à l’initiative de Stéphane Pochic, patron d’armement à Loctudy). En décembre 2022, nous avons chacun proposé, dans le cadre du Projet de loi de finances rectificative, d’instituer une taxe sur les produits de la pêche maritime, au taux de 2%, perçue au profit de France Filière Pêche. Face au coût du carburant qui pèse fortement sur les charges d’exploitation de nombreux armements, il nous paraît, en effet, indispensable que s’exerce la solidarité au sein de la filière en instaurant une contribution volontaire obligatoire des distributeurs au bénéfice des pêcheurs.

Se pose également la question de la ressource halieutique : à ceux qui décrient l’Europe, nous disons « heureusement qu’elle se préoccupe des poissons », car ceux-ci n’ont pas de frontières, et si le continent britannique était si prisé, c’est parce que les eaux y sont très poissonneuses. Avec le Brexit, décidé par les britanniques eux-mêmes, rappelons-nous bien, l’accès à ces zones de pêche sont devenues plus difficiles, mais la négociation menée par le Gouvernement nous a permis de retrouver un grand nombre de licences de pêche. Nous savons que c’est par une gestion organisée que les stocks de poissons se renouvelleront et que nous pourrons en disposer pour nos enfants. Reste que le prix du poisson n’est pas toujours assez bien rémunéré. Quand on a vu, lors des fêtes de décembre dernier, le prix de la lotte, principal poisson pêché dans les ports Bigoudens, à 3€ le kg, il y a des efforts à faire pour faire connaître ce produit et mieux le valoriser. Le consommateur, par son acte d’achat, peut également influer sur le cours des produits de la mer et favoriser le poisson de pêche française.

Reste aussi, sur ce sujet des poissons, à intégrer les attentes sociétales, de respect des espèces et de la biodiversité. Les ONG sont très présentes dans le débat sur la pêche, parce que beaucoup de nos concitoyens sont mobilisés pour la préservation de la diversité animale sur la planète, y compris dans les océans. C’est le sens des discussions internationales pour sanctuariser 30% des océans et éviter que le pillage des ressources ne dégrade les stocks halieutiques. Cela doit nous permettre aussi d’assurer l’avenir de la pêche, en même temps que de lutter contre le réchauffement climatique, qui risque de modifier les espèces.

Enfin, il y a les sujets du renouvellement des flottilles et de l’installation de nouveaux patrons de pêche. Le coût des investissements est tel que c’est un réel frein à l’amélioration des outils de travail. C’est pourquoi nous souhaitons que la mobilisation du maximum d’épargne puisse s’effectuer afin de favoriser l’installation de jeunes, de conserver chez nous les navires dont les patrons partent à la retraite. Comme les Bigouden Makers ont su le faire pour transformer l’hôtel de Bretagne, l’épargne disponible des bigoudens, attachés au dynamisme de la pêche, pourrait s’orienter en partie vers la construction de bateaux neufs. Nous appelons également, et espérons que les Comités des Pêches l’inciteront, les patrons pêcheurs et armements ayant bénéficié du PAI, s’élevant à 20 millions d’euros de fonds publics injectés sur le territoire, à réinvestir dans l’économie locale afin de sauver les emplois et préserver l’identité du pays Bigouden.

Interrogé le 14 février dernier par la députée Liliana Tanguy sur les conséquences du PAI, Hervé Berville a répondu en réaffirmant la transparence concernant la réattribution des quotas et droits de pêches, la préservation des équilibres entre les ports et, surtout, l’importance de continuer à investir pour développer la pêche, secteur essentiel pour la souveraineté alimentaire française.

A ces conditions, nous sommes persuadés que le pays Bigouden et la Bretagne continueront à être les lieux emblématiques de la pêche française et confirmer, ainsi, l’ambition maritime de la France.

Visite de la licorne Ledger à Vierzon (avec des antennes à Paris et San Francisco) par la délégation sénatoriale aux entreprises

20 février 2023

VIERZON

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Visite de la licorne Ledger à Vierzon (avec des antennes à Paris et San Francisco) par la délégation sénatoriale aux entreprises. Cette société créée par des français est aujourd’hui leader mondial de la sécurité des crypto-actifs. De petits composants électroniques qui permettent à ceux qui adoptent les cryptomonnaies ou achètent des actifs par voie dématérialisée de détenir leur propre coffre fort.

En commission des finances, nous avons examiné le rapport sur les risques de gonflement argile

16 février 2023

SÉNAT

En commission des finances, nous avons examiné le rapport sur les risques de gonflement argile, des dégradations de plus de 10 millions d’habitations en France

Le club bois et Forêt s’est réuni pour débattre avec le PDG de l’institut national de la recherche agricole, alimentaire et environnementale (INRAE)

16 février 2023

PARIS

Le club bois et Forêt s’est réuni pour débattre avec le PDG de l’institut national de la recherche agricole, alimentaire et environnementale (INRAE) sur les enjeux de la forêt et des filières bois en France.

Audition du Président du conseil d’orientation des retraites (COR) en commission des finances du Sénat

16 février 2023

SÉNAT

Audition du Président du conseil d’orientation des retraites (COR) en commission des finances du Sénat

À Quimper inauguration des nouveaux locaux du centre de formation de la SNSM

16 février 2023

QUIMPER

À Quimper inauguration des nouveaux locaux du centre de formation de la SNSM, en présence de la députée Liliana Tanguy et de la Sénatrice Nadège Havet.

L’école d’informatique Algosup s’installe en plein centre de Vierzon dans les anciens locaux de la fabrique de tracteurs

16 février 2023

VIERZON

L’école d’informatique Algosup s’installe en plein centre de Vierzon dans les anciens locaux de la fabrique de tracteurs. Un beau challenge pour cette école formant les futurs acteurs du numérique.

Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré à Bourges Olivier Monin, Président des sirops Monin

16 février 2023

BOURGES

Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré à Bourges Olivier Monin, Président des sirops Monin. Une très belle entreprise de 1000 salariés, réalisant 500 millions € de chiffre d’affaires, dont 80% à l’export, engagée dans la production de produits de façon naturelle.

Assemblée Générale de « Produit en Bretagne » à Saint Malo qui a démarré avec l’analyse du géographe Jean Ollivro

10 février 2023

SAINT MALO

Assemblée Générale de « Produit en Bretagne » à Saint Malo qui a démarré avec l’analyse du géographe Jean Ollivro.

André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole

10 février 2023

BRETAGNE

André Sergent, président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne a ouvert la concertation de 2 mois sur la vision bretonne de la future loi d’orientation agricole, en présence des préfet et président de la région Bretagne. Les premiers échanges montrent déjà la pluralité et l’importance de l’agriculture bretonne au sein des 30000 exploitations de la région.

L’agriculture c’est le tiers du PIB breton rappelle Jean Ollivro à « Produit en Bretagne »

10 février 2023

SAINT MALO

L’agriculture c’est le tiers du PIB breton rappelle Jean Ollivro à « Produit en Bretagne »

La banque de France a organisé une conférence sur les perspectives économiques

10 février 2023

PARIS

La banque de France a organisé une conférence sur les perspectives économiques présentées par le directeur général des études et statistiques Olivier Garnier et le directeur régional Bretagne Hervé Mattéi qui montre une résilience de l’économie française et des perspectives plus favorables énoncées par les chefs d’entreprises bretons pour ce début d’année 2023

Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré au siège de l’INPI, la direction générale

9 février 2023

PARIS

Avec la délégation sénatoriale aux entreprises, nous avons rencontré au siège de l’INPI, la direction générale afin de faire le point sur les difficultés de mise en œuvre du registre dématérialisé des formalités des entreprises. Des cyber-attaques du système informatique ont perturbé l’accès au site dédié aux formalités de création et modifications des statuts des entreprises ainsi qu’une mise en route très laborieuse du nouveau dispositif ayant enregistré seulement 100000 formalités en janvier 2023. J’avais pourtant prévenu le Gouvernement en décembre dernier qu’il y aurait de nombreux problèmes d’accès. Le pire serait de devoir revenir aux déclarations papier !

Audition au Sénat de Nicolas Dufourcq, Directeur Général de BPIFRANCE

9 février 2023

SÉNAT

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Audition au Sénat de Nicolas Dufourcq, Directeur Général de BPIFRANCE, avant le vote pour le renouvellement de son 3ème mandat quinquennal. J’ai soutenu son renouvellement en soulignant la qualité du travail réalisé pour accompagner les entreprises et du réseau territorial, à l’image de celui implanté en Bretagne.

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Vernissage de l’expo Willy Ronis, photographe du XXème siècle, au musée de Pont Aven

6 février 2023

PONT AVEN

Vernissage de l’expo Willy Ronis, photographe du XXème siècle, au musée de Pont Aven, en présence du député Erwan Balanant, du Maire-président de CCA Olivier Bellec et du Maire de Pont Aven Christian Dautel. A cours jusqu’à fin mai.

Au réseau d’imagerie médicale attenant à la polyclinique de Kerlic à Quimper, l’association des 8 médecins radiologues a acquis un appareil d’imagerie 3D à faible dose

6 février 2023

QUIMPER

Au réseau d’imagerie médicale attenant à la polyclinique de Kerlic à Quimper, l’association des 8 médecins radiologues a acquis un appareil d’imagerie 3D à faible dose permettant de réaliser des examens corpus entiers en position debout, EOSedge permettant de compléter le parc de scanner et d’IRM pour disposer d’outils de diagnostic très performants. Avec la députée Annaïg Le Meur, nous avons salué cet investissement technologique qui est le 1er en Bretagne.

L’URSSAF de Bretagne a convié les parlementaires du Finistère à une matinée d’échanges sur son activité

4 février 2023

BREST

L’URSSAF de Bretagne a convié les parlementaires du Finistère à une matinée d’échanges sur son activité en présence de la Sénatrice Nadège Havet et des députés présents ou représentés Liliana Tanguy, Jean Charles Larsonneur, Annaig Le Meur, Didier Le Gac et Graziella Melchior.

Dans l’hémicycle du Sénat, après le discours d’accueil du Président Gérard Larcher, le Président de la Rada d’Ukraine, Rouslan STEFANTCHOUK rappelle l’attachement du peuple ukrainien à sa terre

1er février 2023

SÉNAT

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Dans l’hémicycle du Sénat, après le discours d’accueil du Président Gérard Larcher, le Président de la Rada d’Ukraine, Rouslan STEFANTCHOUK rappelle l’attachement du peuple ukrainien à sa terre, la nécessité de riposter face aux agresseurs.