Archives de Catégorie: Numérique
Rencontre entre les parlementaires du Finistère et l’équipe d’Accenture
29 novembre 2022
BREST
Rencontre entre les parlementaires du Finistère et l’équipe d’Accenture, autour de son Président, pour évoquer l’implantation à Brest. Accenture, groupe international dans les services numériques aux entreprises, emploie 10000 personnes en France dont 800 à Nantes. L’entreprise s’implante à la pointe de la Bretagne avec déjà 20 personnes à Brest et prévoit d’y porter ses effectifs à 500 en 2025. Avis aux candidats !
À Châteaulin remise de la distinction de chevalier du mérite agricole, à Jo Dréau, fondateur de l’entreprise de services informatiques Kerhis et à son assistante Nadine Le Marc
17 novembre 2022
CHATEAULIN
A Châteaulin, Jo Dréau, fondateur de l’entreprise de services informatiques Kerhis et son assistante Nadine Le Marc se sont vus remettre par moi même et le Président de la chambre régionale d’agriculture de Bretagne André Sergent, la distinction de chevalier du mérite agricole.
Le groupe d’études sénatorial sur le numérique a reçu les responsables d’Orange en charge du plan de fermeture, à l’horizon 2030, du réseau cuivre
12 mai 2022
SENAT
Le groupe d’études sénatorial sur le numérique a reçu les responsables d’Orange en charge du plan de fermeture, à l’horizon 2030, du réseau cuivre. Alors que 29 millions de locaux sont aujourd’hui raccordés à la fibre optique, ce qui fait de la France le pays le plus fibré d’Europe, il reste près de 20 millions de lignes cuivre actives. Dès 2026 Orange arrêtera la commercialisation de lignes cuivre et préparera l’enlèvement progressif des lignes, tout en gardant les supports pour la fibre optique aérienne, selon le déploiement effectif de la fibre.
Le groupe d’études numérique du Sénat à auditionné le Président de la fédération française des télécoms
11 février 2022
SÉNAT
Le groupe d’études numérique du Sénat à auditionné le Président de la fédération française des télécoms qui a évoqué parmi ses préoccupations la desserte ses communes littorales où 2000 projets sont en attente. Ceci conforte ma proposition de loi pour gommer les incohérences de la loi littoral tout en continuant à préserver nos espaces côtiers
Avec le groupe d’études numérique du Sénat, nous avons visité l’open center de Huawei à Paris
20 janvier 2022
PARIS
Avec le groupe d’études numérique du Sénat, nous avons visité l’open center de Huawei à Paris. L’occasion de faire le point sur les 1000 emplois en France et le projet d’usine en Alsace, et d’évoquer les usages à venir autour de la 5G. Dans la production, la logistique ou la gestion urbaine des exemples d’usages associant la 5G et la robotisation permettent d’améliorer la productivité et réduire la pénibilité pour les personnels.
Au Sénat, je participe à la commission mixte paritaire réunissant 7 députés et 7 sénateurs
22 octobre 2020
SÉNAT
Au Sénat, je participe à la commission mixte paritaire réunissant 7 députés et 7 sénateurs afin de tenter de se mettre d’accord sur le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne. Le seul point de désaccord sur ce texte de 34 articles a porté sur la régulation des opérateurs du numérique afin d’éviter leur emprise toujours plus forte.
Lors de l’assemblée générale de l’association Relais Citoyens, sensibilisation aux dangers des écrans pour les jeunes enfants
29 février 2020
PLONÉOUR-LANVERN
Lors de l’assemblée générale de l’association Relais Citoyens, sensibilisation aux dangers des écrans pour les jeunes enfants. Aux oppositions à l’installation des compteurs électriques Linky, je plaide pour un libre choix du type de compteurs tout en soulignant la nécessité de disposer d’informations pour ajuster la production d’électricité, de plus en plus diffuse, à la consommation.
Visite des Ministres Jacqueline Gourault et Julien Denormandie à Concarneau au Konk ar fab, espace numérique pour les entrepreneurs
3 février 2020
CONCARNEAU
Visite des Ministres Jacqueline Gourault et Julien Denormandie à Concarneau au Konk ar fab, espace numérique pour les entrepreneurs utilisant les nouvelles technologies. Le député Erwan Balanant soutient les entrepreneurs qui y débute leurs activités.
Réponse de M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargé du numérique : soutien à la digitalisation des très petites, petites et moyennes entreprises
5 décembre 2019
SÉNAT
Soutien à la digitalisation des très petites, petites et moyennes
entreprises : Réponse de M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargé du numérique
Question n° 00342 adressée à M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargé du numérique Publiée le : 13/07/2017
Texte de la question : M. Michel Canévet attire l’attention de M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargé du numérique sur les problématiques liées à la digitalisation des petites, très petites et moyennes entreprises (TPE-PME), et sur les moyens accordés à celle-ci. La révolution numérique constitue un bouleversement pour les petites et moyennes entreprises françaises, amenées, sous son effet, à faire évoluer leurs modes de production, leur fonctionnement interne et leurs produits. Véritable opportunité pour la compétitivité de nos entreprises, la digitalisation des TPE-PME reste pourtant insuffisamment développée en France. Selon une étude de Cap Gemini menée, en collaboration avec le MIT (Massachusetts Institute of Technology), auprès de 400 entreprises, les entreprises les plus avancées numériquement présentent ainsi une rentabilité supérieure de 26 % par rapport aux entreprises n’ayant pas procédé à la digitalisation de leur modèle économique. Pour faire face aux investissements élevés que celle-ci comprend, il conviendrait de disposer d’un outil incitatif, peut-être sous la forme d’amortissement accéléré. En même temps, il paraît opportun de faciliter, pour les prestataires concepteurs de services digitalisés, le recours à un dispositif de soutien tel que le crédit d’impôt recherche (CIR) permettant d’accroître l’offre de produits innovants et adaptés. Les régions, à commencer par la Bretagne, cherchent déjà à répondre aux besoins des entreprises, en proposant par exemple les « chèques numériques », subventions permettant de financer des prestations de cabinet de conseils en matière de digitalisation. Mais ces accompagnements restent insuffisants et les entreprises manquent de moyens pour réaliser cette transition. Il manque donc une réponse nationale et unifiée à la question de la digitalisation. Seulement 14 % des sociétés françaises ont ainsi reçu des commandes « numériques », contre 26 % en Allemagne, illustrant ainsi le retard français en la matière. Une réforme du statut des jeunes chemins de halage aux cyclistes, à la stricte condition qu’une telle décision du 30 décembre 2004, prévoyant un allégement de leurs charges, pourrait ainsi être envisagée. Au-delà de ce dispositif, il est urgent de penser des dispositifs efficaces et ambitieux favorisant la digitalisation de nos entreprises, prioritairement les plus petites, afin que le numérique constitue une réelle opportunité pour nos entreprises. Aussi, il souhaite connaître les mesures que compte prendre le Gouvernement
afin de faciliter la digitalisation des petites et moyennes entreprises françaises et faire de la révolution numérique un atout pour nos acteurs économiques.
Réponse de M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargédu numérique. À publier le : 01/02/2018, page 445
Texte de la réponse : Ainsi que l’indique l’honorable parlementaire, le numérique bouleverse le paysage économique et recèle un potentiel considérable de croissance et d’emplois, tout particulièrement pour les TPE-PME qui constituent l’essentiel du tissu économique national. Il est aujourd’hui indispensable que les dirigeants d’entreprises prennent conscience qu’ils doivent repenser leur stratégie, leur modèle économique et faire évoluer leur organisation pour assurer leur pérennité dans un contexte économique basé sur des technologies ou des services de plus en plus numérisés. L’action en faveur de la transformation numérique des entreprises vise donc à améliorer les méthodes de fonctionnement traditionnelles de l’entreprise, au service d’une compétitivité accrue, mais également à favoriser l’utilisation du numérique comme catalyseur d’innovation. Il y a un paradoxe français en termes de numérisation. Si nos concitoyens, en tant que particuliers sont très connectés, avec 82 % de la population qui utilise internet, et si la France a vu naître des entreprises devenues des leaders mondiaux dans le domaine du numérique, comme Criteo, spécialiste du reciblage publicitaire, ou bien encore Blablacar, force est de constater que nos TPE-PME sont en retard. En effet, la France est à la 16ème place européenne sur les usages du numérique en entreprise. Elle est particulièrement en retrait en ce qui concerne la détention d’un site internet : au niveau européen, la Finlande est le pays où la proportion de PME détenant un site internet est la plus élevée (95 %), avec la Suède (90 %) et l’Allemagne (87 %). Au contraire, avec 66 %, la France dispose du taux le plus faible, suivi par l’Italie (70 %) et l’Espagne (74 %). Il est donc urgent d’agir. Le Conseil national du numérique a présenté en mars 2017 une série de recommandations destinées à favoriser la transformation numérique des TPE-PME. Le Gouvernement a initié la mise en œuvre des recommandations principales de ce rapport dans le cadre de la refonte de son programme d’accompagnement à la transformation numérique. Les orientations de ce nouveau programme reposent sur : d’une part, la création d’un nouveau cadre d’action autour d’une marque nationale fédératrice et d’un nouveau portail fédérant les initiatives de l’ensemble des acteurs privés ou publics de la sensibilisation et de l’accompagnement à la transformation numérique. Ce portail est actuellement en cours de développement sous le pilotage de la direction générale des entreprises, en liaison avec l’ensemble des acteurs ; d’autre part, des actions d’animation de l’écosystème de la transformation numérique via notamment un pilotage régional plus fort et une prise en compte sectorielle des besoins des entreprises, ainsi que le développement, en partenariat avec les régions volontaires, d’une aide financière régionale à destination des petites entreprises. Ce programme sera détaillé au printemps 2018. Il a par ailleurs confié à M. Philippe Arraou une mission, dont les conclusions sont attendues pour janvier 2018 sur le rôle que pourraient jouer les offreurs privés dans le cadre de ce programme.
Aux questions d’actualité au Sénat, le Sénateur Jean François Longeot interpelle le Gouvernement sur l’urgence de la desserte des territoires en très haut débit
26 mars 2019
SÉNAT
Aux questions d’actualité au Sénat, le Sénateur Jean François Longeot interpelle le Gouvernement sur l’urgence de la desserte des territoires en très haut débit.
À la Tribune du Sénat, le Ministre Julien Denormandie rappelle les ambitions de l’État pour le très haut débit 30 mégas pour tous à l’horizon 2020
20 février 2019
SÉNAT
À la Tribune du Sénat, le Ministre Julien Denormandie rappelle les ambitions de l’État pour le très haut débit 30 mégas pour tous à l’horizon 2020.
Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile : réponse de la ministre à la question écrite de Michel Canévet
29 novembre 2018
Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile : réponse de la ministre à la question écrite de Michel Canévet
Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile
Question n° 03748 adressée à M. le ministre de la cohésion des territoires transmis à Mme la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales
Publiée le : 15/03/2018
Texte de la question : M. Michel Canévet attire l’attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur les difficultés récurrentes liées à la couverture du territoire par les différents réseaux mobiles. Actuellement quatre grands opérateurs assurent le réseau mobile. En effet, Orange, SFR, Free et Bouygues ont déployé des antennes-relais desservant chacune une portion de territoire. Cependant, les usagers se retrouvent, malgré une couverture dépassant les quatre-vingt-dix pour cent, fréquemment dans l’impossibilité d’utiliser leurs terminaux en fonction des opérateurs qu’ils utilisent. De ce fait, un utilisateur ayant pour opérateur Orange, n’aura pas accès à la même couverture mobile qu’un utilisateur ayant pour opérateur SFR. L’utilisateur est incité, non plus par la qualité du réseau géré par l’opérateur, mais par la couverture dont il peut disposer s’il s’engage auprès du dit opérateur. De plus en plus concurrentielles, les offres présentes sur le marché sont quasiment identiques, néanmoins les couvertures réelles de chaque opérateur sont différentes.
Cette situation est préjudiciable pour l’utilisateur qui s’engage, bien souvent sur une longue période, avec un opérateur qui ne couvre pas la zone géographique voulue. Il est primordial que ce dernier puisse bénéficier d’une garantie de desserte au moment de souscrire à l’offre de l’opérateur. La toile que forme le réseau est connue des différents fournisseurs privés et sa disposition se doit d’être connue par les utilisateurs. Nombreuses sont les communes non desservies par la totalité des opérateurs, or malgré tout, ces derniers proposent des offres à la clientèle potentielle du territoire concerné. Une transparence totale en matière de couverture réelle réseau proposée par les opérateurs me semble donc être un objectif primordial. Aussi, il souhaite s’assurer que dans le cadre du plan gouvernemental de desserte en téléphonie mobile, les usagers ne seront pas contraints de souscrire un abonnement auprès de chacun des quatre opérateurs principaux afin de bénéficier d’une réelle desserte sur l’ensemble du territoire national.
Réponse de Mme la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales
À publier le : 29/11/2018, page 6024
Texte de la réponse : Le modèle français est celui de la concurrence par les infrastructures : les opérateurs investissent massivement pour améliorer au quotidien leur réseau mobile afin de se différencier des autres et séduire une nouvelle clientèle ou favoriser le passage d’un opérateur à un autre. En revanche, la mutualisation trouve son intérêt pour des territoires où les opérateurs n’ont trouvé, jusqu’à aujourd’hui, aucun intérêt à investir sur leurs fonds propres. Ainsi, les programmes de couverture mobile gouvernementaux ont conduit l’État à financer, avec les collectivités territoriales, des pylônes sur lesquels les opérateurs avaient l’obligation de mutualiser leurs équipements afin d’assurer une couverture du lieu. Les pouvoirs publics, conscients des difficultés pour les utilisateurs, ont mis en place plusieurs outils et plans d’action qui sont de nature à résorber ces difficultés que rencontrent nos concitoyens. Afin de renforcer la couverture mobile des territoires, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a fait le choix d’accroître la transparence de l’information sur les réseaux mobiles avec l’objectif d’orienter la concurrence du marché de la téléphonie mobile non plus seulement sur les prix mais aussi sur la performance et la couverture des réseaux. En particulier, des cartes de couverture des services mobiles permettent, pour un utilisateur, de déterminer quel opérateur est le plus approprié pour lui, en fonction de son lieu de vie, de travail ou encore des transports qu’il utilise, en fonction de la couverture des opérateurs sur un territoire donné. Ces cartes, offrant quatre niveaux d’évaluation pour mieux représenter la réalité du terrain (pas de couverture, couverture limitée, bonne couverture, très bonne couverture), sont consultables sur le site internet de l’Arcep monreseaumobile.fr
Elles permettent d’inciter les opérateurs et les pouvoirs publics à se saisir des problèmes rencontrés sur certaines zones en matière de couverture mobile. Pour autant, au-delà de ces informations, de nombreuses zones inégalement couvertes par les opérateurs existent encore, en particulier dans les zones rurales. C’est pour cela que le Gouvernement et l’Arcep ont obtenu, en janvier 2018, des opérateurs privés des engagements contraignants, vérifiables et sanctionnables visant à généraliser et à étendre une couverture mobile de qualité pour tous les Français. Ce New Deal renforce les obligations de couverture des opérateurs à travers différents volets, que l’Arcep est chargée de contrôler. Parmi les engagements contraignants pris par les opérateurs en janvier 2018, ces derniers auront l’obligation de couvrir chacun, sur fonds privés, 5 000 nouveaux sites dont au moins 2 000 pourront être mutualisés. Le Gouvernement a souhaité se reposer sur des diagnostics locaux afin de connaitre quels sites et quelles communes inclure dans le dispositif de couverture ciblée : ces sites seront identifiés par des équipes-projets locales. Ces dernières sont présidées par le préfet de département (ou de région) et le président de département (ou de région) et composées de représentants des préfectures de régions, des présidents des EPCI, des associations de collectivités territoriales locales (maires et maires ruraux) et du porteur de projet de réseaux d’initiative publique du plan France Très Haut Débit. Sur la base du travail réalisé par ces équipes-projets, une liste de 600 à 800 sites par an sera établie et transmise à chaque opérateur. Ces derniers auront entre 12 et 24 mois maximum pour couvrir ces sites. Dans le cadre de ce dispositif, les opérateurs se sont engagés à mutualiser davantage leurs sites afin qu’une couverture mobile de qualité soit assurée par plusieurs opérateurs. Une première liste de 485 sites pour l’année 2018 a été publiée au Journal officiel le 8 juillet dernier [1]. En accord avec les collectivités territoriales, les premiers sites remontés sont ceux identifiés dans le cadre des précédents programmes de couverture mobile ayant choisi de basculer dans ce nouveau dispositif. Ils seront tous mutualisés et desservis par les quatre opérateurs. Du fait de la logique de co-construction entre l’État et les collectivités, nous laissons aux équipes-projets locales l’appréciation de choisir quels opérateurs devront couvrir à l’avenir un site qu’elles auront identifié. Grâce à leur expertise du terrain, elles devront veiller à bâtir une politique publique cohérente et harmonieuse au niveau local afin de garantir à chaque utilisateur la meilleure expérience possible en matière de connectivité mobile. Ainsi, avec ces nouveaux engagements des opérateurs, les zones du territoire où seuls certains opérateurs sont disponibles se réduiront progressivement. [1] Arrêté du 4 juillet 2018 définissant la liste des zones à couvrir par les opérateurs de radiocommunications mobiles au titre du dispositif de couverture ciblée pour l’année 2018
Le Pierre de Fermât, l’un des 6 navires câbliers de la flotte d’Orange à quai à Brest vient d’installer 1800 kms de câbles sous marins entre la Martinique et la Guyane
5 octobre 2018
BREST
Le Pierre de Fermât, l’un des 6 navires câbliers de la flotte d’Orange à quai à Brest vient d’installer 1800 kms de câbles sous marins entre la Martinique et la Guyane. Équipe d’un robot capable de travailler à 2000 mètres de profondeur, il peut poser et réparer des câbles à toute profondeur. Un véritable savoir faire français d’Orange.
Questions d’actualité au Sénat. Catherine Fournier Sénatrice Union Centriste du Pas de Calais interpelle la Ministre des transports sur la place des ports français pour le fret maritime dans le cadre du Brexit
2 octobre 2018
SENAT
Questions d’actualité au Sénat. Catherine Fournier Sénatrice Union Centriste du Pas de Calais interpelle la Ministre des transports sur la place des ports français pour le fret maritime dans le cadre du Brexit
Soirée des lauréats du #reseauentreprendre
4 mai 2018
PARIS
