Archives Mensuelles: novembre 2018

Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile : réponse de la ministre à la question écrite de Michel Canévet

29 novembre 2018

Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile : réponse de la ministre à la question écrite de Michel Canévet

Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile

Question n° 03748 adressée à M. le ministre de la cohésion des territoires transmis à Mme la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales 
Publiée le : 15/03/2018 

Texte de la question : M. Michel Canévet attire l’attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur les difficultés récurrentes liées à la couverture du territoire par les différents réseaux mobiles. Actuellement quatre grands opérateurs assurent le réseau mobile. En effet, Orange, SFR, Free et Bouygues ont déployé des antennes-relais desservant chacune une portion de territoire. Cependant, les usagers se retrouvent, malgré une couverture dépassant les quatre-vingt-dix pour cent, fréquemment dans l’impossibilité d’utiliser leurs terminaux en fonction des opérateurs qu’ils utilisent. De ce fait, un utilisateur ayant pour opérateur Orange, n’aura pas accès à la même couverture mobile qu’un utilisateur ayant pour opérateur SFR. L’utilisateur est incité, non plus par la qualité du réseau géré par l’opérateur, mais par la couverture dont il peut disposer s’il s’engage auprès du dit opérateur. De plus en plus concurrentielles, les offres présentes sur le marché sont quasiment identiques, néanmoins les couvertures réelles de chaque opérateur sont différentes.

Cette situation est préjudiciable pour l’utilisateur qui s’engage, bien souvent sur une longue période, avec un opérateur qui ne couvre pas la zone géographique voulue. Il est primordial que ce dernier puisse bénéficier d’une garantie de desserte au moment de souscrire à l’offre de l’opérateur. La toile que forme le réseau est connue des différents fournisseurs privés et sa disposition se doit d’être connue par les utilisateurs. Nombreuses sont les communes non desservies par la totalité des opérateurs, or malgré tout, ces derniers proposent des offres à la clientèle potentielle du territoire concerné. Une transparence totale en matière de couverture réelle réseau proposée par les opérateurs me semble donc être un objectif primordial. Aussi, il souhaite s’assurer que dans le cadre du plan gouvernemental de desserte en téléphonie mobile, les usagers ne seront pas contraints de souscrire un abonnement auprès de chacun des quatre opérateurs principaux afin de bénéficier d’une réelle desserte sur l’ensemble du territoire national.

Réponse de Mme la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales 
À publier le : 29/11/2018, page 6024 

Texte de la réponse : Le modèle français est celui de la concurrence par les infrastructures : les opérateurs investissent massivement pour améliorer au quotidien leur réseau mobile afin de se différencier des autres et séduire une nouvelle clientèle ou favoriser le passage d’un opérateur à un autre. En revanche, la mutualisation trouve son intérêt pour des territoires où les opérateurs n’ont trouvé, jusqu’à aujourd’hui, aucun intérêt à investir sur leurs fonds propres. Ainsi, les programmes de couverture mobile gouvernementaux ont conduit l’État à financer, avec les collectivités territoriales, des pylônes sur lesquels les opérateurs avaient l’obligation de mutualiser leurs équipements afin d’assurer une couverture du lieu. Les pouvoirs publics, conscients des difficultés pour les utilisateurs, ont mis en place plusieurs outils et plans d’action qui sont de nature à résorber ces difficultés que rencontrent nos concitoyens. Afin de renforcer la couverture mobile des territoires, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a fait le choix d’accroître la transparence de l’information sur les réseaux mobiles avec l’objectif d’orienter la concurrence du marché de la téléphonie mobile non plus seulement sur les prix mais aussi sur la performance et la couverture des réseaux. En particulier, des cartes de couverture des services mobiles permettent, pour un utilisateur, de déterminer quel opérateur est le plus approprié pour lui, en fonction de son lieu de vie, de travail ou encore des transports qu’il utilise, en fonction de la couverture des opérateurs sur un territoire donné. Ces cartes, offrant quatre niveaux d’évaluation pour mieux représenter la réalité du terrain (pas de couverture, couverture limitée, bonne couverture, très bonne couverture), sont consultables sur le site internet de l’Arcep monreseaumobile.fr

Elles permettent d’inciter les opérateurs et les pouvoirs publics à se saisir des problèmes rencontrés sur certaines zones en matière de couverture mobile. Pour autant, au-delà de ces informations, de nombreuses zones inégalement couvertes par les opérateurs existent encore, en particulier dans les zones rurales. C’est pour cela que le Gouvernement et l’Arcep ont obtenu, en janvier 2018, des opérateurs privés des engagements contraignants, vérifiables et sanctionnables visant à généraliser et à étendre une couverture mobile de qualité pour tous les Français. Ce New Deal renforce les obligations de couverture des opérateurs à travers différents volets, que l’Arcep est chargée de contrôler. Parmi les engagements contraignants pris par les opérateurs en janvier 2018, ces derniers auront l’obligation de couvrir chacun, sur fonds privés, 5 000 nouveaux sites dont au moins 2 000 pourront être mutualisés. Le Gouvernement a souhaité se reposer sur des diagnostics locaux afin de connaitre quels sites et quelles communes inclure dans le dispositif de couverture ciblée : ces sites seront identifiés par des équipes-projets locales. Ces dernières sont présidées par le préfet de département (ou de région) et le président de département (ou de région) et composées de représentants des préfectures de régions, des présidents des EPCI, des associations de collectivités territoriales locales (maires et maires ruraux) et du porteur de projet de réseaux d’initiative publique du plan France Très Haut Débit. Sur la base du travail réalisé par ces équipes-projets, une liste de 600 à 800 sites par an sera établie et transmise à chaque opérateur. Ces derniers auront entre 12 et 24 mois maximum pour couvrir ces sites. Dans le cadre de ce dispositif, les opérateurs se sont engagés à mutualiser davantage leurs sites afin qu’une couverture mobile de qualité soit assurée par plusieurs opérateurs. Une première liste de 485 sites pour l’année 2018 a été publiée au Journal officiel le 8 juillet dernier [1]. En accord avec les collectivités territoriales, les premiers sites remontés sont ceux identifiés dans le cadre des précédents programmes de couverture mobile ayant choisi de basculer dans ce nouveau dispositif. Ils seront tous mutualisés et desservis par les quatre opérateurs. Du fait de la logique de co-construction entre l’État et les collectivités, nous laissons aux équipes-projets locales l’appréciation de choisir quels opérateurs devront couvrir à l’avenir un site qu’elles auront identifié. Grâce à leur expertise du terrain, elles devront veiller à bâtir une politique publique cohérente et harmonieuse au niveau local afin de garantir à chaque utilisateur la meilleure expérience possible en matière de connectivité mobile. Ainsi, avec ces nouveaux engagements des opérateurs, les zones du territoire où seuls certains opérateurs sont disponibles se réduiront progressivement. [1] Arrêté du 4 juillet 2018 définissant la liste des zones à couvrir par les opérateurs de radiocommunications mobiles au titre du dispositif de couverture ciblée pour l’année 2018 

La lettre de Michel Canévet, n° 18 – novembre 2018

28 novembre 2018

La lettre de Michel Canévet, n° 18 – novembre 2018

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Conférence d’Alain Duhamel pour le groupe Centriste du Sénat

27 novembre 2018

PARIS

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Conférence d’Alain Duhamel pour le groupe Centriste du Sénat

J’interviens dans l’hémicycle du Sénat à l’occasion de l’examen de projet de loi de finances rectificative pour 2018

27 novembre 2018

NAT

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J’interviens dans l’hémicycle du Sénat à l’occasion de l’examen de projet de loi de finances rectificative pour 2018 en saluant la réduction du déficit prévisionnel de 5,7 milliards € mais en m’inquiétant de l’absence de réponses dans ce budget à la crise sociale qui traverse notre pays.

Réunion du groupe de l’Union Centriste au Sénat avec un long débat sur la situation sociale dans notre pays et la préparation d’une question d’actualité au Gouvernement à ce sujet

27 novembre 2018

SÉNAT

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Réunion du groupe de l’Union Centriste au Sénat avec un long débat sur la situation sociale dans notre pays et la préparation d’une question d’actualité au Gouvernement à ce sujet.

 

 

 

J’interviens à l’assemblée générale de la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère

26 novembre 2018

QUIMPER

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J’interviens à l’assemblée générale de la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère notamment pour me réjouir de l’engagement dans les prochaines semaines du projet de restructuration des locaux pour créer un pôle économique départemental et pour échanger sur le projet de lo PACTE.

Pourvoi en Cassation pour le petit Fañch : Le sénateur Michel Canévet sollicite en urgence la Ministre de la Justice

23 novembre 2018

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Pourvoi en Cassation pour le petit Fañch :

Le sénateur Michel Canévet sollicite en urgence la Ministre de la Justice

Lundi, la Cour d’Appel de Rennes revenait sur la décision du Tribunal de Grande Instance de Quimper, rendue en septembre 2017, en autorisant que le prénom Fañch soit écrit avec un « tilde ». Ce jeudi, le Parquet général de la Cour d’Appel de Rennes a décidé de se pourvoir en Cassation.

« Le Parquet n’aura donc pas trainé pour réagir, constate le Sénateur du Finistère Michel Canévet (Union Centriste), particulièrement impliqué dans ce dossier et qui vient d’écrire à Nicole Belloubet, la Ministre de la Justice.

« L’adjointe au Maire de Quimper, Isabelle Le Bal m’avait, dès le départ, informé de ce dossier et après avoir écrit et sollicité le Ministère de la Justice, j’avais interpellé directement la Ministre, le 3 juillet dernier, dans le cadre des questions orales au Gouvernement. L’argument avancé par le Gouvernement à l’époque semble le même que celui du Parquet général ». Si le principe de liberté de choix du prénom d’un enfant est effectivement consacré par la loi n° 93-22 du 8 janvier 1993, il n’est pas permis de retenir un prénom comportant des signes diacritiques non connus de la langue française.

« Concrètement tant que la circulaire du 23 juillet 2014 relative à l’état civil, qui détaille la liste officielle des signes diacritiques, et dans laquelle ne figure pas le « tilde », ne sera pas modifiée, l’administration pourrait rester sur une stricte application des textes.

La Cour de Cassation qui « ne juge qu’en Droit », pourrait ne pas prendre en compte le contexte du dossier (comme l’a fait semble-t-il la Cour d’Appel), en procédant uniquement à une stricte application des textes ».

Pour le Sénateur Michel Canévet, il est donc « urgent que le Ministère de la Justice complète enfin cette circulaire en y inscrivant le « tilde », qui est un usage courant de la langue française et qui est par ailleurs utilisé dans le nom de l’un des derniers membres nommé au gouvernement. C’est le sens du courrier que je viens de lui transmettre».

 

 

Le Sénateur Union Centriste du lot et Garonne Jean Pierre Moga appelle le gouvernement à éviter la fermeture de lits dans les hôpitaux sur les territoires

22 novembre 2018

SÉNAT

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Le Sénateur Union Centriste du lot et Garonne Jean Pierre Moga appelle le gouvernement à éviter la fermeture de lits dans les hôpitaux sur les territoires

 

Nassimah Dindar, Sénatrice Centriste de la Réunion interpelle le Gouvernement sur la situation de la Réunion

22 novembre 2018

SÉNAT

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Nassimah Dindar, Sénatrice Centriste de la Réunion interpelle le Gouvernement sur la situation de la Réunion, objet de nombreuses manifestations du fait du chômage touchant près de 25% de la population de l’île et et la pauvreté qui s’accroît pour une part de la population

À l’occasion du Congrès des Maires, les parlementaires ont reçu collectivement les élus finistériens

22 novembre 2018

PALAIS DU LUXEMBOURG

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À l’occasion du Congrès des Maires, les parlementaires ont reçu collectivement les élus finistériens au palais du Luxembourg afin d’échanger sur les problématiques des collectivités locales avant d’aborder l’examen du projet de loi de finances pour 2019.

SMUR de Douarnenez : Le Directeur de l’ARS répond à la Députée Liliana Tanguy et au Sénateur Michel Canévet

20 novembre 2018

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SMUR de Douarnenez : Le Directeur de l’ARS répond à la Députée Liliana Tanguy et au Sénateur Michel Canévet

A la suite de leur rencontre à Rennes, le 8 octobre dernier, avec Olivier de Cadeville, le Directeur Général de l’Agence Régionale de Santé Bretagne, la Députée de la 7ème circonscription Liliana Tanguy et le Sénateur Michel Canévet lui avaient rapidement transmis un courrier commun dans lequel ils lui faisaient à nouveau part de leur très vive inquiétude quant à la baisse, depuis le mois de juin 2018, de la prise en charge urgente de la population du territoire de Douarnenez, et notamment celle du Cap Sizun.

« L’absence d’une unité du SMUR au centre hospitalier de Douarnenez présente, dans un contexte de détérioration de l’accès au soin et d’affectation de la desserte territoriale du Finistère, un risque médical certain. Cette absence prive, en effet, les habitants des zones blanches du Cap-Sizun, de Porzay et de la Presqu’île de Crozon de précieuses minutes d’intervention en cas d’urgences vitales », écrivaient les deux parlementaires dans leur courrier, estimant par ailleurs que « l’utilisation de l’hélicoptère médicalisé ne représente pas, dans ce contexte, une solution pérenne au regard de ses capacités limitées d’intervention au cours de la période hivernale ».

Dans sa réponse, le Directeur de l’ARS rappelle tout d’abord que le contexte démographique défavorable en médecine d’urgence, « L’Union Hospitalière de Cornouaille est plus particulièrement affectée sur le plan de la démographie médicale des urgentistes avec la difficulté de Douarnenez à recruter ce type de praticiens et le départ de médecins du CHIC ». Cette situation l’a incité à demander aux établissements et Groupes Hospitaliers de Territoire bretons des organisations adaptées, plus particulièrement en période de grande tension. Les solutions mises en œuvre ont été une délocalisation des SMUR de Douarnenez et Concarneau de 21h à 8h tous les jours et la couverture de la « zone blanche » du cap Sizun par l’hélicoptère du SMUR du CHU de Brest. Une « expérimentation » dont les enseignements, « très positifs » selon lui, ont convaincu le Directeur de l’ARS d’en pérenniser le dispositif depuis le 1er novembre dernier, compte tenu de « la démographie médicale actuelle sur le site de quimper qui ne permet pas encore de revenir à ce stade à un fonctionnement normal, ce que je déplore ».

A terme, Olivier de Cadeville souhaite lancer une réflexion permettant de mieux répondre aux besoins de la population en termes de prise en charge des soins urgents. Des propositions seront formalisées par le Directeur du CHIC de Quimper, détenteur de l’autorisation du SMUR de Douarnenez, avec l’accompagnement d’un expert extérieur. « En partant des besoins de santé de la population en soins urgents, et de l’activité actuellement constatée dans les différentes structures, il s’agira d’établir des propositions d’organisation médicale entre les différents établissements permettant de conforter l’offre actuelle. L’ARS est tout à fait disposée à accompagner financièrement cette démarche », et Olivier de Cadeville de renouveler son souhait de « poursuivre nos efforts communs pour que l’ensemble de la population bretonne ait accès à des soins urgents en moins de trente minutes ».

« Nous prenons acte de cette réponse, expliquent Liliana Tanguy et Michel Canévet, en attendant un premier point d’étape, que le Directeur de l’ARS souhaite organiser en début d’année prochaine ».

« n tilde» dans les actes d’état civil : Le sénateur Michel Canévet se félicite du jugement de la Cour d’Appel

19 novembre 2018

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Communiqué de pressecanevet1

 

« n tilde» dans les actes d’état civil :

Le sénateur Michel Canévet se félicite du jugement de la Cour d’Appel

Ce lundi, la cour d’appel de Rennes est revenue sur la décision du Tribunal de Grande Instance de Quimper, rendue en septembre 2017, en donnant raison aux parents du petit Fañch, qui pourra officiellement garder son prénom écrit avec un tilde.

« Cette décision va dans le bon sens, se félicite le Sénateur du Finistère Michel Canévet (Union Centriste) qui s’était particulièrement impliqué dans ce dossier. Après avoir écrit et sollicité le Ministère de la justice, j’avais interpellé directement la Ministre, le 3 juillet dernier, dans le cadre de la séance des questions au Gouvernement.

Je n’avais pas du tout été convaincu par l’argumentation du Ministère. Refuser ce prénom au motif que le « n tilde » ne figure pas dans la circulaire du 23 juillet 2014 relative à l’état civil, qui détaille la liste officielle des signes diacritiques, ne me paraissait vraiment pas pertinent. En la circonstance, ce n’était pas compliqué et n’entrainait pas d’implication extrêmement forte que de reconnaître le « n tilde» et ainsi permettre à un prénom breton, comme à un prénom basque, de pouvoir être utilisé, conformément au choix des parents. Peut-être que dans leur grande sagesse, les magistrats de la Cour d’Appel se sont souvenus que le nouveau secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, portait un nom de famille orné d’un Tildé… Peut-être au contraire que le Ministère public voudra porter cette affaire devant la Cour de Cassation. Quoi qu’il en soit, il s’agit aujourd’hui d’une victoire qui ne peut qu’inciter le Gouvernement à compléter cette fameuse circulaire du 23 juillet 2014 relative à l’état civil, en y rajoutant le « tilde » et ainsi clore définitivement cette affaire ».

Les 10 ans de Sabella fêtés à Quimper

16 novembre 2018

QUIMPER

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Les 10 ans de Sabella fêtés à Quimper. Le 1er concepteur européen d’hydroliennes raccordé au réseau public. Un grand bravo à Jean François Daviau pour sa ténacité et son équipe pour une grande ambition de transition énergétique.

1500 jeunes rassemblés à Quimper sur le site de l’ancienne caserne militaire de la tour d’Auvergne pour commémorer les 214 concitoyens de cette caserne morts pour la France entre 1914 et 1918

16 novembre 2018

QUIMPER

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1500 jeunes rassemblés à Quimper sur le site de l’ancienne caserne militaire de la tour d’Auvergne pour commémorer les 214 concitoyens de cette caserne morts pour la France entre 1914 et 1918.

Les forces vives de Cornouaille sont rassemblées au centre des congrès du chapeau rouge à Quimper pour échanger autour de l’attractivité du territoire

16 novembre 2018

QUIMPER

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Les forces vives de Cornouaille sont rassemblées au centre des congrès du chapeau rouge à Quimper pour échanger autour de l’attractivité du territoire.

Question orale : Évolution des ports français et notamment bretons après la mise en œuvre du Brexit

15 novembre 2018

Question orale N° 526 du 15/11/18 (Ministère auprès du Ministère de la transition écologique et solidaire)

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Évolution des ports français et notamment bretons après la mise en œuvre du Brexit

Question soumise le 15 novembre 2018

M. Michel Canévet attire l’attention de Mme la ministre, auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports sur l’évolution des ports français et notamment bretons après la mise en œuvre du Brexit.

À partir du 30 mars 2019, date d’entrée en vigueur du Brexit, le Royaume-Uni deviendra un pays tiers, potentiellement écarté de l’union douanière. Des barrières douanières seront mises en place dans les ports britanniques (Liverpool, Southampton et Douvres) nécessitant pour les Irlandais, dont une large partie du transport de marchandises passait par le Royaume-Uni, de nouveaux itinéraires directs de fret maritime entre l’Irlande et l’Europe continentale.

La Commission européenne, par la voix de la commissaire chargée des transports, a annoncé vouloir modifier le corridor de navigation maritime « mer du Nord-Méditerranée ». En seraient exclus les ports français et plus particulièrement les ports bretons de Brest et Roscoff, alors qu’ils se trouvent être les plus proches de l’Irlande. Seuls seraient éligibles aux fonds européens de réseau transeuropéen de transport (RTE-T) les ports de Rotterdam, d’Anvers et de Zeebrugges, qui pourraient bénéficier de 30,6 milliards d’euros pour améliorer leurs capacités d’accueil.

L’ensemble des acteurs, tant économiques (chambre de commerce et d’industrie de Bretagne, et celles de Bretagne occidentale et d’Ille-et-Vilaine, entreprises…) que politiques (députés européens, parlementaires de l’Ouest, conseillers régionaux et départementaux de la région Bretagne, du Finistère, des Côtes-d’Armor et d’Ille-et-Vilaine, élus de Brest métropole et membres du Conseil économique, social et environnemental régional de Bretagne…), se sont mobilisés pour s’opposer à cette décision qui, si elle devait être appliquée, exclurait l’ensemble des ports français et donc bretons, du réseau transeuropéen de transport.

Elle a très rapidement réagi, en indiquant après sa rencontre avec la commissaire européenne, le 18 septembre 2018, que la proposition de la Commission était inacceptable. Elle a également répondu, le 2 octobre 2018, lors des questions d’actualité au Sénat, que les ports qui figuraient jusqu’à présent dans le corridor « mer du Nord-Méditerranée » y resteraient et que, pour les autres ports, il fallait faire en sorte que l’ensemble des ports de la façade maritime soient bien intégrés dans ces futurs échanges. En outre, un coordonnateur interministériel pour le Brexit devait être nommé pour mener ce travail.

Aussi, il la remercie de bien vouloir lui indiquer l’état d’avancement de ses discussions avec la Commission européenne. De même, il lui demande si un premier bilan du coordonnateur interministériel a déjà été dressé.

Le palais du Luxembourg a accueilli lors de leur séjour à Paris 12 stagiaires Taïwanais du CFA de la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère avec leurs 2 formateurs

13 novembre 2018

SÉNAT

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Le palais du Luxembourg a accueilli lors de leur séjour à Paris 12 stagiaires Taïwanais du CFA de la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère avec leurs 2 formateurs.

Évelyne Perrot, Sénatrice du groupe Union Centriste a interrogé le Ministre des comptes publics sur les orientations proposées par le Gouvernement suite à la suppression de la taxe d’habitation

13 novembre 2018

SÉNAT

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Évelyne Perrot, Sénatrice du groupe Union Centriste a interrogé le Ministre des comptes publics sur les orientations proposées par le Gouvernement suite à la suppression de la taxe d’habitation.mcperrot

Le groupe de l’Union Centriste du Sénat reçoit le Ministre chargé des relations avec le Parlement Marc Fesneau

13 novembre 2018

SÉNAT

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Le groupe de l’Union Centriste du Sénat reçoit le Ministre chargé des relations avec le Parlement Marc Fesneau. J’appelle son attention sur la colère des territoires ruraux relativement à la forte hausse en cours et prévisible du carburant.

 

En Préfecture du Finistère réunion du comité de suivi pour la labellisation du Cap Sizun et de la Pointe du Raz en grand site de France

12 novembre 2018

QUIMPER

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En Préfecture du Finistère réunion du comité de suivi pour la labellisation du Cap Sizun et de la Pointe du Raz en grand site de France.

Journée d’échanges autour du programme alimentaire territorial organisé à la maison du département à Quimper

12 novembre 2018

QUIMPER

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Journée d’échanges autour du programme alimentaire territorial organisé à la maison du département à Quimper. Un excellent relais des démarches à mener pour favoriser l’émergence des circuits courts.

Philippe Bonnecarrere, Sénateur Centriste du Tarn a interrogé le Gouvernement sur la position de la France suite aux décisions de rétablissement des sanctions américaines contre l’Iran

8 novembre 2018

SÉNAT

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Philippe Bonnecarrere, Sénateur Centriste du Tarn a interrogé le Gouvernement sur la position de la France suite aux décisions de rétablissement des sanctions américaines contre l’Iran le 5 novembre. La ministre des affaires européennes a évoqué la mise en place d’un fonds commun des créances à l’échelle européenne pour soutenir nos entreprises continuant à commercer avec l’Iran, dans la mesure où l’Iran poursuit la mise en oeuvre de l’accord international sur le nucléaire (Joint Comprehensive Plan of Action).

Denise Saint Pé, Sénatrice Centriste des Pyrénées-Atlantiques a interrogé le Gouvernement sur les flux migratoires arrivant des Pyrénées

8 novembre 2018

SÉNAT

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Denise Saint Pé, Sénatrice Centriste des Pyrénées-Atlantiques a interrogé le Gouvernement sur les flux migratoires arrivant des Pyrénées. Le ministre de l’intérieur a répondu avoir renforcé les moyens de police aux frontières espagnoles et se rendra au Maroc dans quelques jours.

A Esquibien, cérémonie en hommage aux 102 morts pour la France

2 novembre 2018

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A Esquibien, cérémonie en hommage aux 102 morts pour la France.