Archives Mensuelles: mars 2018

Langues régionales : Div Yezh mobilise les élus bretons

31 mars 2018

QUIMPER

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L’association des parents d’élèves des écoles publiques bilingues de Bretagne (Div Yezh Breizh) avait convié samedi les élus bretons (parlementaires, conseillers régionaux, départementaux et représentants des associations de maires) à une réunion de travail à
Quimper.

La réponse a été pour le moins limitée car seuls deux députés : Paul Molac (56) et Yannick Kerlogot (22) tous deux du groupe La République en Marche à l’assemblée nationale, un sénateur, Michel Canévet (UDI), la vice-présidente du Conseil départemental du Finistère chargé de la langue bretonne Solange Creignou (PS) et l’adjoint au maire quimpérois également en charge du dossier, Jean-Pierre Doucen (UDI), ont répondu.

Aucun député finistérien LREM n’a répondu à l’invitation, l’élue de la circonscription Annaig Le Meur se contentant de déléguer un attaché parlementaire. Généraliser l’offre Rémi Toulhoat, président de Div Yezh Breizh, a plaidé pour une généralisation de l’enseignement bilingue sur toute la Bretagne, à l’image de ce qui existe en Corse.

Car la dynamique est réelle. À la rentrée dernière, le taux de progression dans la filière bilingue publique a été de 7 %. « Il faudrait
une offre dans chaque commune bretonne ou des facilités pour les parents d’envoyer leurs enfants sur des sites proches, a-t-il expliqué.

C’est une question d’aménagement du territoire et de développement local ». Cette généralisation est, pour lui, indispensable pour l’avenir car elle porte ses fruits. « En Cornouaille jusqu’à la rentrée dernière, il y avait seulement un élève bilingue sur deux en primaire qui rejoignait une classe bilingue en 6e, faute d’offre suffisante.

L’an passé suite à l’ouverture de trois filières à Briec, Douarnenez, Pont-l’Abbé, on est passé à 90 %. Cela montre l’importance de l’offre de proximité pour la langue ». Il a ajouté que le Schéma pluriannuel départemental mis en place par le Finistère, devait être un modèle pour les autres départements.

Les parlementaires présents ont réaffirmé leur volonté d’agir pour que le gouvernement entende ces demandes.

Le Télégramme : Photo et texte Ronan Larvor

 

Journée des entreprises au Sénat autour de la simplification de la vie des entreprises

29 mars 2018

SENAT

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Journée des entreprises au Sénat autour de la simplification de la vie des entreprises, notamment avec le projet de loi Pacte préparé par Bruno Le Maire

Rencontre avec Patrick Sannino, président des chambres française et européenne des huissiers de justice pour évoquer les perspectives de cette profession

29 mars 2018

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Rencontre avec Patrick Sannino, président des chambres française et européenne des huissiers de justice pour évoquer les perspectives de cette profession (3300 en France) qui, dès 2022, sera transformée en commissaire  de justice après le regroupement avec les 350 commissaires priseurs. Le Finistère est l’un des départements de France ouvert à l’installation de nouveaux huissiers. Parmi les enjeux, la numérisation de la profession.

40 ans de la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978 célébrée au #Senat pour rappeler que l’informatique doit être au service de chaque citoyen

29 mars 2018

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40 ans de la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978 célébrée au #Senat pour rappeler que l’informatique doit être au service de chaque citoyen

Cérémonie d’hommage au colonel Arnaud Beltrame à l’école de gendarmerie de Châteaulin.

28 mars 2018

CHATEAULIN

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Cérémonie d’hommage au colonel Arnaud Beltrame à l’école de gendarmerie de Châteaulin. Le colonel Saulnier, commandant l’école, a rappelé aux élèves gendarmes le sens du dévouement et l’honneur de l’attitude du colonel Beltrame lors de la prise d’otages de Trèbes.

La rapporteure au Sénat présente la proposition de loi sur la protection des mineurs victimes d’infractions sexuelles

27 mars 2018

SENAT

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La rapporteure au Sénat présente la proposition de loi sur la protection des mineurs victimes d’infractions sexuelles. Annick Billon et Françoise Gatel vont intervenir en Séance publique pour affirmer la position du groupe de l’Union Centriste afin de soutenir le durcissement des textes permettant de protéger les enfants.

Intervention en hémicycle le 21/03/2018 : Débat préalable à la réunion du conseil européen des 22 et 23 mars 2018

22 mars 2018

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Intervention en hémicycle le 21/03/2018 : Débat préalable à la réunion du conseil européen des 22 et 23 mars 2018

Michel Canévet : Nous pouvons nous réjouir des avancées constatées dans la construction d’une Europe plus intégrée et plus harmonieuse. Il n’en demeure pas moins qu’un certain nombre de difficultés persistent, en particulier dans le secteur primaire.

Dans ce secteur, où les politiques européennes sont importantes, on constate un certain nombre de distorsions de concurrence. Je pense notamment aux secteurs du porc et du lait, pour lesquels le Gouvernement est en train de chercher des solutions permettant de rémunérer correctement les producteurs. Dans le domaine porcin, par exemple, on s’aperçoit que les exploitations allemandes sont indûment aidées par les pouvoirs publics. Aux Pays-Bas, on a identifié un certain nombre d’exploitations fantômes, et l’on s’étonne ensuite de dénombrer 360 000 tonnes de poudre de lait stockées au niveau européen, qu’il faudrait pouvoir évacuer au plus vite !

Le Gouvernement doit faire en sorte que les conditions de concurrence soient les mêmes sur l’ensemble du territoire européen, de façon à ne pas désavantager nos producteurs.

On peut également se réjouir qu’un accord puisse être trouvé dans le cadre du Brexit. J’appelle toutefois l’attention du Gouvernement sur la situation de nos marins pêcheurs.

La France est la deuxième puissance mondiale si l’on considère l’étendue de son domaine maritime. Mais on sait que les zones de pêche sont pour l’essentiel dans les eaux britanniques. Il importe que nos professionnels ne soient pas laissés pour compte et que, dans l’accord avec les Britanniques, le Gouvernement prenne effectivement en compte cette question des zones de pêche.

Lire le débat en cliquant sur le lien ci-dessous :

http://www.nossenateurs.fr/seance/17442#inter_08c1327adc644bdb9a0167a51a98ab0c

 

Difficultés de réception de la TNT à Penmarc’h, au Guilvinec et à Plomeur

21 mars 2018

COMMUNIQUE DE PRESSE

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Difficultés de réception de la TNT à Penmarc’h, au Guilvinec et à Plomeur :

L’ANFR confirme au sénateur Michel CANEVET le versement d’aides

Alerté par les problèmes rencontrés par les habitants de Penmarc’h, du Guilvinec et de Plomeur pour recevoir la TNT, le sénateur Michel CANEVET (Union centriste) avait saisi en novembre dernier Gilles BREGANT, le Directeur Général de l’Agence Nationale des Fréquences. Celui-ci vient de lui confirmer que, depuis le 12 mars 2018, des aides financières versées par cet organisme sont désormais ouvertes aux habitants afin de modifier leur équipement de réception de télévision.

Situées en limite de réception de l’émetteur de Brest-Roc-Trédudon, voire en zone blanche, les communes du Guilvinec, de Plomeur et de Penmarc’h connaissent depuis longtemps des difficultés de réception de la TNT. Une situation qui avait amené le Sénateur Michel Canévet à contacter l’Agence Nationale des Fréquences.

Dans un courrier reçu ce mercredi, le Directeur Général de l’ANFR vient de lui confirmer que depuis le 12 mars 2018, l’ANFR a décidé d’ouvrir des aides financières lorsque les habitants de ces trois communes subissent des perturbations de façon pérenne.

Elles sont accordées pour une période de six mois, jusqu’au 11 septembre 2018, sans condition de ressources, en habitat individuel (résidence principale uniquement) ou collectif. Abondé en décembre 2017, le fonds d’accompagnement de la réception télévisuelle permettra à l’ANFR d’octroyer des aides allant jusqu’à 250 € TTC maximum pour les particuliers et 500 € TTC maximum pour les gestionnaires d’immeubles.

Pour tout renseignement : www.recevoirlatnt.fr et remplir un formulaire en ligne ou appeler le 0970.818.818 (appel non surtaxé).

Réponse ANFR 1.jpg

Réponse ANFR 2

 

 

 

 

Paris, Porte de Versailles : Assises du transport aérien

20 mars 2018

PARIS

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En ce 1er jour du printemps, la Ministre des transports à lancé porte de Versailles les assises du transport aérien. Tables rondes et groupes de travail pour échanger sur ces questions où les entreprises françaises perdent ses parts de marché sur les 160 millions de passagers transportés en 2017. Entre les optimistes sur l’évolution du trafic et ceux qui misent sur la baisse de ce mode de transport, alors que l’homme a toujours voulu dialoguer en direct avec ses semblables par le passé. Une certitude : les questions environnementales deviennent de plus en plus fortes.

Plonéour-Lanvern : présentation du Sénat à 2 classes de l’école élémentaire publique

19 mars 2018

PLONEOUR-LANVERN

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Intervention pour présenter le Sénat devant 2 classes de l’école élémentaire publique de Plonéour-Lanvern afin de préparer leur visite du palais du Luxembourg en avril. Des élèves attentifs et curieux de mieux connaître nos institutions.

A l’ARENA de Brest ce week-end, devant 3800 spectateurs et une ambiance survoltée, les handballeuses du Brest Handball Club

18 mars 2018

BREST

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A l’ARENA de Brest ce week-end, devant 3800 spectateurs et une ambiance survoltée, les handballeuses du Brest Handball Club, présidé par Gérard Le Saint, ont réalisé un score de 24 contre 24 buts à Paris Issy. Le match fut empreint de suspens avec une remontée au score des brestoises, menée 9 à 14 à la mi-temps. Les Brestoises sont secondes au classement général du plus haut niveau national. Le Club est aussi un lieu de réseaux où se retrouvent beaucoup de chefs d’entreprises de la région.

En Mairie de Saint Jean Trolimon, Corinne et Daniel Primot ont été décorés de la médaille de bronze de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif

17 mars 2018

SAINT JEAN TROLIMON

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En Mairie de Saint Jean Trolimon, Corinne et Daniel Primot ont été décorés de la médaille de bronze de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif pour leur action au service de la prévention de la santé au sein de l’association en hommage à Erwann. Des bénévoles dévoués qui mobilisent autour d’eux pour former aux premiers secours et installer des défibrillateurs dans les Communes. J’ai épinglé la médaille à Corinne en saluant son action.

Remise de la médaille d’acte de courage et de dévouement à 2 jeunes de 15 et 16 ans de Chateaulin

16 mars 2018

CHATEAULIN

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Remise de la médaille d’acte de courage et de dévouement à 2 jeunes de 15 et 16 ans de Chateaulin. Matthieu et Matteo ayant permis, l’été dernier sur la plage de Pentrez, de sauver un septuagénaire qui allait se noyer.

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Remise des prix des trophées de la jeune licorne à Euronext Paris La Défense en présence de la Secrétaire d’Etat à l’économie

15 mars 2018

PARIS LA DEFENSE

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Remise des prix des trophées de la jeune licorne à Euronext Paris La Défense en présence de la Secrétaire d’Etat à l’économie. Les acteurs économiques ressentent un climat favorable aux entreprises dans notre pays et quelques belles start up récompensées.
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Question écrite le 15 mars 2018 : Réglementation applicable aux moulins situés sur des cours d’eau classés en liste 2

15 mars 2018

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Question soumise le 15 mars 2018

M. Michel Canévet attire l’attention de M. le ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire concernant la réglementation applicable aux moulins situés sur des cours d’eau classés en liste 2.

La question de la continuité écologique, qui est caractérisée par l’absence de perturbations de la migration des poissons et du transport sédimentaire n’est pas récente puisque les premiers textes concernant la migration des poissons datent de 1865. La législation sur l’eau, notamment la loi n° 2006-1772 du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques, définit ainsi un classement des cours d’eau selon deux listes, déterminées à l’article L 214-17 du code de l’environnement. La première n’autorisant aucune construction si celle-ci crée un obstacle à la continuité, la seconde (liste 2) obligeant la mise en conformité des ouvrages qui font obstacle à cette continuité avec pour échéance initiale juillet 2017.

Deux lois sont venues compléter ce cadre juridique : la loi n° 2016-1087 du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages accorde un délai supplémentaire de cinq ans aux propriétaires engagés dans une démarche de mise en conformité et la loi n° 2017-227 du 24 février 2017 ratifiant les ordonnances n° 2016-1019 du 27 juillet 2016 relative à l’autoconsommation d’électricité et n° 2016-1059 du 3 août 2016 relative à la production d’électricité à partir d’énergies renouvelables. Ce dernier texte introduit dans le code de l’environnement l’article L. 214-18-1, qui restreint le champ d’application de l’article 214-17 et instaure une dérogation au principe de restauration de la continuité, les moulins produisant de l’électricité à la date de la loi n’étant plus soumis aux règles liées à la liste 2 des cours d’eau.

Or, les services de l’État semblent interpréter de manière particulièrement restrictive cette disposition législative, ce qui ne correspondrait ni à la lettre, ni à l’esprit de la loi.

Plus particulièrement, la direction de l’eau et de la biodiversité et les associations de sauvegarde des moulins apprécient de façon très différente le champ d’application de l’article L. 214-18-1, ces dernières considérant que tout moulin doit être affranchi et exonéré de mise en conformité.

Outre des enjeux financiers particulièrement importants – les mises en conformité pouvant dépasser plusieurs milliers d’euros pour chaque moulin -, il se pose un problème d’interprétation des textes. Les services de la direction de l’eau et de la biodiversité du ministère de la transition écologique et solidaire ont en effet transmis aux services déconcentrés de l’État une note relative à « l’application de l’article L. 214-18-1 du code de l’environnement dans les dossiers d’instruction loi sur l’eau ». Celle-ci sert désormais de référence pour les préfets et les services concernés, mais n’a jamais été signée, ni même publiée au Journal officiel, ce qui peut poser la question de sa légalité formelle. De plus, il y est indiqué que selon l’article L. 210-1 du code de l’environnement, l’utilisation et la valorisation de la ressource en eau, dans le respect des équilibres naturels, est d’intérêt général. Enfin, selon l’article L. 211-1 de ce même code, la gestion équilibrée et durable de l’eau vise la préservation et la restauration des écosystèmes aquatiques, des sites et zones humides et fait de l’obligation d’assurer la continuité écologique sur les bassins versants un objectif de la gestion équilibrée et durable de l’eau dont l’autorité administrative doit assurer le respect sur l’ensemble des cours d’eau. Il y aurait donc une opposition entre les objectifs fixés par ces deux articles et ceux posés par l’article L. 214-18-1, issus d’une loi postérieure.

Aussi, face à ce problème d’interprétation, il souhaite connaître son analyse et son avis sur cette situation.

Question écrite le 15 mars 2018 : Transparence des opérateurs téléphoniques en matière de couverture réelle du réseau mobile

15 mars 2018

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Question soumise le 15 mars 2015

M. Michel Canévet attire l’attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur les difficultés récurrentes liées à la couverture du territoire par les différents réseaux mobiles.

Actuellement quatre grands opérateurs assurent le réseau mobile. En effet, Orange, SFR, Free et Bouygues ont déployé des antennes-relais desservant chacune une portion de territoire.

Cependant, les usagers se retrouvent, malgré une couverture dépassant les quatre-vingt-dix pour cent, fréquemment dans l’impossibilité d’utiliser leurs terminaux en fonction des opérateurs qu’ils utilisent. De ce fait, un utilisateur ayant pour opérateur Orange, n’aura pas accès à la même couverture mobile qu’un utilisateur ayant pour opérateur SFR.

L’utilisateur est incité, non plus par la qualité du réseau géré par l’opérateur, mais par la couverture dont il peut disposer s’il s’engage auprès du dit opérateur. De plus en plus concurrentielles, les offres présentes sur le marché sont quasiment identiques, néanmoins les couvertures réelles de chaque opérateur sont différentes.

Cette situation est préjudiciable pour l’utilisateur qui s’engage, bien souvent sur une longue période, avec un opérateur qui ne couvre pas la zone géographique voulue. Il est primordial que ce dernier puisse bénéficier d’une garantie de desserte au moment de souscrire à l’offre de l’opérateur.

La toile que forme le réseau est connue des différents fournisseurs privés et sa disposition se doit d’être connue par les utilisateurs. Nombreuses sont les communes non desservies par la totalité des opérateurs, or malgré tout, ces derniers proposent des offres à la clientèle potentielle du territoire concerné. Une transparence totale en matière de couverture réelle réseau proposée par les opérateurs me semble donc être un objectif primordial.

Aussi, il souhaite s’assurer que dans le cadre du plan gouvernemental de desserte en téléphonie mobile, les usagers ne seront pas contraints de souscrire un abonnement auprès de chacun des quatre opérateurs principaux afin de bénéficier d’une réelle desserte sur l’ensemble du territoire national.

Question orale du 15 mars 2018 – Enjeux du recyclage du plastique

15 mars 2018

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M. Michel Canévet attire l’attention de M. le ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire, sur la position du Gouvernement quant aux bénéfices environnementaux, économiques et sociaux du recyclage.

Alors que les taux de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) viennent d’être augmentés, début 2018, afin de rendre le recyclage plus compétitif que la mise en décharge, il est nécessaire aujourd’hui d’établir une ligne de conduite s’inscrivant dans la perspective de réduction de nos déchets.

Il est important que notre pays progresse en termes de déploiement du tri des déchets. Ainsi, la TGAP incite au recyclage, ce qui permet une réduction des déchets. Cependant, il convient de se demander si cela sera suffisant afin d’atteindre les objectifs de réduction des déchets fixés par le Président de la République.

Des solutions simples, sans taxation, sont pourtant envisageables et applicables. Les deux plastiques recyclables présents sur le marché, le polyéthylène téréphthalate (PET) et le polyéthylène haute densité (PeHD), ont des caractéristiques identiques en matière de production d’objets. Un même objet peut être créé avec deux types de plastiques différents. Il faut prendre conscience que le mécanisme de recyclage est différent pour chaque type de plastique, ce qui complique fortement la tâche des entreprises spécialisées.

La mise en place d’une réglementation désignant une matière plastique par catégorie d’objet permettrait ainsi aux entreprises spécialisées de pouvoir recycler la totalité des déchets ayant pour matière première le plastique imposé. De ce fait, les autres plastiques non recyclables pourraient le devenir si une réglementation plus stricte était mise en place. Les entreprises spécialisées, s’adaptant à la norme, seraient équipées pour la transformation de ces différentes matières.

En France, le circuit dont dispose le verre permet un recyclage presque complet. La matière première unique facilite sa transformation et ce à l’infini. Les différents types de plastiques impliquent pour les entreprises, mais aussi pour les collectivités, de disposer d’outils et de mécanismes spécifiques, ce qui est de fait contre-productif.

De plus, en ce qui concerne le plastique, les fabricants ne sont pas assez incités à utiliser des produits recyclés. Il en va de la responsabilité du Gouvernement d’imposer à ces derniers la norme adéquate qui répondra aux attentes fixées.

Aussi, il souhaite connaître sa position quant à son intention d’édicter une réglementation conduisant les metteurs en marché à utiliser des produits aisément recyclables et incitant les fabricants à utiliser des produits recyclés, permettant ainsi une valorisation des déchets égale à celle de nos voisins européens.

Entretien au Sénat avec les représentants des pêcheurs de La Réunion, en présence de la Sénatrice Nassimah Dindar

14 mars 2018

SENAT

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Entretien au Sénat avec les représentants des pêcheurs de La Réunion, en présence de la Sénatrice Nassimah Dindar. Les organisations professionnelles de la pêche à la légine sont inquiets d’éventuelles autorisations de pêche sans quotas supplémentaires. Partisans d’une pêche durable déjà agréée MSC, il convient d’éviter le pillage des stocks et de préserver les intérêts des professionnels ultra-marins.

Inauguration du nouveau service relations clients de Finistère habitat à Châteaulin au centre du département du Finistère.

12 mars 2018

CHATEAULIN

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Inauguration du nouveau service relations clients de Finistère habitat à Châteaulin au centre du département du Finistère. 9 emplois redéployes pour ce projet permettant de mieux suivre et professionnaliser le contact avec les 11000 locataires. Des interrogations sur l’avenir avec l’intention du Gouvernement de regrouper les opérateurs du logement locatif public et un seuil annoncé à 15000 logements.

Commission des Finances du Sénat

8 mars 2018

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Aujourd’hui à la Commission des Finances du Sénat, nous étions en séance de travail afin de réfléchir ensemble aux nouveaux enjeux de la fiscalité locale. Le groupe de travail dédié propose ainsi un transfert de la part de l’imposition foncière des départements ainsi qu’une part de TVA au bloc communal (communes et EPCI à fiscalité propre). En échange, les départements seraient financés par une fraction de la CSG. Il faut simplifier notre fiscalité locale.

Rééquilibrer notre fiscalité locale en l’inscrivant dans des objectifs de performance et d’efficience est primordial. Entre des valeurs locatives cadastrales datées et des impôts peu dynamiques ne bénéficiant pas des fruits de la croissance, il est urgent de proposer une réforme profonde de la fiscalité locale afin de bâtir une fiscalité plus juste et au service du contribuable.

Finistère : Les élus du département unis à Paris

7 mars 2018

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Les élus départementaux du Finistère autour de Michel Canévet, Sénateur, au Sénat le 7 mars 2018

Depuis 10 h, ce mercredi matin 7 mars, les élus départementaux du Finistère ont rejoint Paris et la Maison de la Bretagne. Il s’agit de défendre l’accessibilité de la pointe bretonne.

Dans un monde où tout va de plus en plus vite, la liaison TGV entre Rennes et Paris a fait reculer la pointe bretonne. D’un coup, il suffit d’1 h 30 pour relier la Seine à la Vilaine, tandis que de la gare de Rennes aux quais de Brest et de Quimpeŕ, pour la même distance, comptez 2 h 15 en moyenne. À l’heure du TGV Bordeaux-Paris en deux heures, les élus de Basse-Bretagne ont vu rouge.

Fin janvier, à l’unanimité, les élus du conseil départemental votaient pour défendre l’accessibilité de la Bretagne alors que le rapport Duron sur les transports reportait les études pour des lignes bretonnes à grande vitesse à 2038… La CCI, l’Université de Bretagne occidentale (UBO), l’association des maires du Finistère, et le lobby entrepreneurial investir en Finistère apportaient leurs soutiens.

Train, routes, aéroports

Avec l’arrêt du projet de Notre-Dame-des-Landes, toutes les cartes sont rebattues… Et la Bretagne doit s’imaginer un avenir qui passe par le train à grande vitesse, une RN 164 à deux fois deux voies, mais aussi des aéroports et du numérique, pensent ces conseillers départementaux de la pointe bretonne.

C’est dans ce contexte que les 54 élus du Département ont fait aujourd’hui le déplacement à Paris. En train, bien sûr. Pour faire porter leur voix.

Tous bords politiques

À Montparnasse, ils peuvent se dire que rien n’est gagné. Que le combat sera long. Même si des soutiens de tous bords politiques arrivent. À 11 h, Marc Le Fur, député LR, et les sénateurs finistériens Maryvonne Blondin (PS), Jean-Luc Fichet (PS), Philippe Paul LR) et Michel Canévet (UDI) ainsi que le député LREM, Didier Le Gac, sont sur place à la Maison de la Bretagne. Parmi les autres élus présents, Alain Masson représente la Métropole brestoise. La droite brestoise a aussi fait le déplacement en la personne de Bernadette Malgorn. Pierre Morin, nouveau directeur de la CCI du Finistère représente Franck Bellion, président de la CCI. Cécile Nay, élue départementale et maire de Gouézec, parle pour l’association des maires du Finistère.

« C’est l’attractivité de notre région qu’il faut mettre en avant »

La rencontre prévue avec Barbara Pompili, députée et présidente de la commission d’aménagement du territoire, est tombée à l’eau. La parlementaire n’était plus disponible pour le rendez-vous qui devait se tenir vers midi. Cette après-midi, les élus bretons vont au Sénat.

Nathalie Sarrabezolles donne le cap : « Je pense aux entreprises du Finistère mais aussi à tous les jeunes qui n’ont pas de voiture. C’est l’attractivité de notre région qu’il faut mettre en avant. Nous allons continuer à avancer avec la région Bretagne. Nous voulons la reprise du comité de pilotage Liaisons Nouvelles Ouest Bretagne – Pays de la Loire. Nous voulons que les moyens soient inscrits dans les contrats de plan État région. Que nous posions des jalons pour les trois barreaux, au nord et au sud, et entre Rennes et Nantes. »

Un seul LREM

Christian Troadec (régionaliste) lance « un appel à tous les parlementaires LREM du Finistère ». Seul Didier Le Gac a fait le déplacement. Sandrine Le Feur s’est excusée. « Il est important qu’ils relayent notre démarche », ajoute le maire de Carhaix qui précise : « Oui, nous parlons d’une seule voix, celle de Nathalie Sarrabezolles. »

Armelle Huruguen (PS, majorité départementale), défend un service public « qui ne fait pas de ratios sur les rails qui servent aussi aux TER ».

Maël de Calan (LR, président de l’opposition de droite au Département), demande que la Région Bretagne ne signe pas le contrat de plan État région tant que les trois heures entre Paris et le Finistère n’y sont pas inscrites. « Il faut des buts de guerre nets et précis. »

« La Région Bretagne doit être plus vindicative »

Pour Alain Masson, « le département a besoin de porte-voix pour montrer ce travail de fond de l’accessibilité du Finistère. Est-ce déraisonnable de demander les trois heures de Paris quand Bordeaux-Paris, c’est deux heures ? Trois ou quatre milliards d’euros ? Oui, c’est dur à trouver, mais il s’agit bien de deux lignes, une au nord et une au sud. Nous demandons un échéancier raisonnable pour avoir ces trois heures. Restons unis. Et je demande à la Région Bretagne d’être plus vindicative pour le Finistère. »

Pour Marc Le Fur, député LR, « cette affaire n’est pas que finistérienne, à l’heure où l’agglomération rennaise se développe. Il faut que nous soyons très présents au cours du débat sur la mobilité dans les assemblées. Tous les combats bretons sont partis du Finistère. Il faut élargir si nous voulons gagner. On a beaucoup de sujets  : le CMB Arkéa, la carte judiciaire… »

Bernadette Malgorn insiste : « Il faut faire pression. Il ne suffit pas de dire que nous avons le droit de…. Nous avons besoin de gagner 42 minutes sur 3 h 42. »

 Maryvonne Blondin donne dans le même registre : « Il faut que la Bretagne ne soit pas simplement un arc atlantique qui passe par Caen, Rennes et Nantes. »
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Les élus départementaux du Finistère à Paris (Ouest-France)

Ouest-France

Commission des finances du Sénat en séance de travail sur la fiscalité locale

7 mars 2018

SENAT

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Commission des finances du Sénat en séance de travail sur la fiscalité locale. Le groupe de travail propose le transfert au bloc communal de la part foncière des départements + une part de TVA et pour les départements un financement par la CSG.

Disparition d’Armand Pavec, ancien maire de Plonéour-Lanvern

4 mars 2018

PLONEOUR-LANVERN

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Armand Pavec, qui fut conseiller général du Finistère de 1964 à 1982, et maire de Plonéour-Lanvern de 1977 à 1992, est décédé hier samedi, à l’âge de 93 ans.

C’est une figure du Pays bigouden qui s’est éteinte samedi, après une vie largement consacrée à son canton de Plogastel-Saint-Germain et à sa commune de Plonéour-Lanvern.

Armand Pavec, centriste de la démocratie chrétienne, avait été membre de la commission départementale, le bureau du conseil général, et proche des présidents de l’époque, André Colin et Louis Orvoën. De 1964 à 1982, il s’était dépensé pour son canton, obtenant notamment l’amélioration de la route Plonéour-Quimper.

Un bâtisseur

En tant que maire, « il fut un bâtisseur » se souvient le sénateur Michel Canévet, qui a succédé à Armand Pavec en 1992, quand il dut démissionner pour raisons de santé. On lui doit, entre autres, la nouvelle mairie de Plonéour-Lanvern, construite en 1988, deux salles omnisports, le réaménagement du bourg…

« Il était passionnément attaché à sa commune et à la culture du Pays bigouden. C’était par exemple un passionné de galoche, » raconte Michel Canévet.

Une fois à la retraite, Armand Pavec avait consacré une année à trier et ranger les archives communales, en 2008. Il était aussi profondément humain : « Je l’ai vu très souvent aider des gens en difficulté », se souvient Michel Canévet.

Ouest-France du 4 mars 2018

Armand Pavec, ancien maire de la commune jusqu’en 1992, est décédé samedi à l’âge de 93 ans. Cadre au Crédit Agricole du Finistère, en charge de la formation, il avait été conseiller général du Finistère de 1964 à 1982, mais aussi conseiller municipal de Plonéour-Lanvern, jusqu’à son élection à la fonction de maire de la ville en 1977. Au même moment, il fondait le Sivom de la région de Plogastel-Saint-Germain qui a préfiguré la création de la communauté de communes du Haut Pays bigouden en 1994.

L’homme politique, qui habitait Plonéour-Lanvern au moment de son décès, « a dévoué toute sa vie à la commune de Plonéour et au canton de Plogastel », se rappelle Michel Canévet sénateur et conseiller municipal à Plonéour-Lanvern, qui lui a succédé à la tête de la mairie en 1992. Une fonction dont il avait démissionné pour raisons de santé.

« Un maire bâtisseur »
« Il a beaucoup oeuvré pour l’amélioration de la RD 156 entre Quimper et Plonéour. C’était un maire bâtisseur qui a fait construire deux salles omnisports, une salle polyvalente, un stand de tir, l’extension de l’école maternelle et aussi la nouvelle mairie qu’il avait inauguré en 1988. Il est resté passionné par la vie publique de la commune et du canton jusqu’à ces derniers jours », poursuit le sénateur Michel Canévet.

Sur le plan des idées politiques, il appartenait au courant chrétien-démocrate et était très attaché aux valeurs humanistes et européennes. Michel Canévet dit de lui que c’était « un homme très attachant, très à l’écoute de ses concitoyens et soucieux de l’économie des deniers publics ».

Ses obsèques auront lieu mardi, à 10 h 30, à l’église de Plonéour-Lanvern.

Le télégramme du 5 mars 2018

 

Shaker festival à Plonéour-Lanvern ce week-end

3 mars 2018

PLONEOUR-LANVERN

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Shaker festival à Plonéour-Lanvern ce week-end.

De la musique des années 30, des battles de swing, bruitages et diverses animations. Bravo au jeune festival.

Inauguration de la maison médicale et du restaurant scolaire à Guiclan par le Maire Raymond Mercier

2 mars 2018

GUICLAN

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Inauguration de la maison médicale et du restaurant scolaire à Guiclan par le maire Raymond Mercier.

Des projets novateurs au sens du recours à une SCIC et de l’épargne locale pour la maison médicale et d’une chaudière à bois pour le restaurant municipal anticipant la transition énergétique.

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