Archives Mensuelles: septembre 2017

Congrès national des Maires ruraux à Poullan sur mer

30 septembre 2017

POULLAN SUR MER

mcmairespoullan

Congrès national des Maires ruraux à Poullan sur mer en présence de Jacqueline Gourault, Ministre déléguée à l’Intérieur qui a répondu, de façon très directe, aux nombres questions des Maires ruraux

 

Inauguration des locaux scolaires rénovés, à Pleuven

29 septembre 2017

PLEUVEN

mcpleuven.jpg

Inauguration des locaux scolaires rénovés, à Pleuven

Pierre Plouzennec succède, après le vote de jeudi soir, à Michel Canévet, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB)

28 septembre 2017

POULDREUZIC

mccchpb3.jpgPierre Plouzennec succède, après le vote de jeudi soir, à Michel Canévet, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB).

Pierre Plouzennec, maire PS de Plozévet a été élu, jeudi soir, à la présidence de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden (CCHPB). À deux voix de plus que l’autre candidat au poste, Jean-François Le Bléis de Plonéour, il succède ainsi à Michel Canévet qui a fait le choix de privilégier son mandat de sénateur.

Symboliquement, c’est au siège de la Communauté de communes du Haut Pays bigouden, à Pouldreuzic, que s’est tenue l’élection, jeudi soir, en présence d’une quinzaine de personnes, dont Ambroise Guellec, l’un des artisans fondateurs de cette communauté de communes. Le sénateur Michel Canévet, qui quitte sa fonction de président, exercée pendant quatorze ans, en raison de la loi sur le cumul des mandats, a brossé, à grands traits, le parcours de la communauté, du Sivom au Haut Pays bigouden créé en 1994, avant de céder la place à Albert Le Berre et Solène Conan qui, en leur qualité d’aîné et de benjamine, ont conduit l’élection.

Dix-huit voix contre seize

Jean-François Le Bléis, élu de Plonéour-Lanvern et Pierre Plouzennec, maire PS de Plozévet, se sont déclarés candidats. Après chacun un petit discours de quelques minutes, le vote, à bulletin secret, a suivi. Il y a eu 34 votants, dont deux procurations de Jocelyne Plouhinec et de Katell Scuiller, toutes deux de Plogastel- Saint-Germain. Un seul tour aura été nécessaire : 18 voix pour Pierre Plouzennec et 16 pour Jean-François Le Bléis. Même si, dans le Haut Pays bigouden, le positionnement politique est quelque peu tabou, les tendances gauche-droite sont équilibrées parmi les 34 conseillers. C’est donc une voix de plus qui a fait pencher la balance dans ce scrutin où l’incertitude dominait.

Pierre Plouzennec est ainsi le nouveau président de la communauté de communes jusqu’en 2020, date des prochaines élections municipales. « Il reste deux ans et demi, on ne va pas bouleverser les choses ! », a-t-il réagi. Dans son discours introductif, il a tenu à justifier sa candidature. Pour mémoire, il n’était pas candidat au poste, en 2014, face à Michel Canévet : « Je ne regrette pas mon choix d’alors, en dépit des reproches qui continuent à m’être faits ! » Il a rappelé qu’Ambroise Guellec disait qu’il n’était « pas du bon bord ».

Quel regard sur l’avenir ?

Pour Pierre Plouzennec, il est important de « faire un palier… de porter l’effort sur la rationalisation et la mutualisation des moyens ». Évoquant les incertitudes budgétaires, il a indiqué que le rôle du président était « de porter la voix d’un territoire ». Il en a appelé à la nécessité d’élaborer un projet en Ouest-Cornouaille, pour 2020, « pour que l’équipe qui suivra puisse le mettre en place » et d’ajouter : « L’identité bigoudène ne fait pas un projet ». Pour le vote des vice-présidents, Pierre Plouzennec a opté pour la continuité. En vote groupé, à main levée et à l’unanimité, moins l’abstention d’Elisabeth Huet, neuf vice-présidents ont été élus : Noël Cozic, Michel Burel, Albert Le Berre, Emmanuelle Rasseneur, Thierry Le Gall, Pierre Le Berre, Christian Jolivet, Jean-Louis Caradec et Philippe Ronarc’h. À noter que ce bureau communautaire sera rejoint par la maire de Plogastel- Saint-Germain, Jocelyne Plouhinec et par le – ou la – futur maire de Plonéour- Lanvern qui sera élu demain matin. Justement, avant le vote des vice-présidents, Elisabeth Huet a tenu à intervenir sur la place des femmes dans l’instance du Haut Pays bigouden. « Le bureau continue à être majoritairement masculin. Je souhaiterais qu’il y ait une meilleure représentation des femmes au bureau ». Pierre Plouzennec lui a répondu : « On ne réglera la parité que lorsqu’on passera au vote direct des élus communautaires ». Poussant plus loin, il a ensuite évoqué la parité à mettre en place « bientôt aussi sur la présence des hommes », propos moyennement appréciés par la gente féminine de l’assemblée.

Et les indemnités de fonction

Les élus ont décidé de fixer à 35 % l’indice brut mensuel maximal pour le président et de 15,28 % pour les vice-présidents. Pas très lisible pour qui n’est pas initié ! L’enveloppe annuelle des indemnités des élus du Haut Pays bigouden se monte à 80.136,54 €. Concrètement, ça donne, par mois, pour le président, 1.354 € et, pour chaque vice-président, 592 €.

Le Télégramme du 30 septembre 2017

Enregistrer

Enregistrer

Assemblée générale du cercle celtique ar vro vigoudenn à Pont-l’Abbé

28 septembre 2017

PONT-L’ABBE

mcvrobig.jpg

Assemblée générale du cercle celtique « ar vro vigoudenn »

Des jeunes très investis dans la diffusion des danses traditionnelles de Bretagne et du Pays Bigoudens, sous la présidence de Gwen, 1ère dauphine de la reine de Cornouaille 2017.

A Pleyben la Région Bretagne organise une réflexion sur la Politique Agricole Commune

25 septembre 2017

PLEYBEN

pleyben1
A Pleyben la Région Bretagne organise une réflexion sur la Politique Agricole Commune. Quelles actions mettre en place pour que les agriculteurs puissent vivre de leur métier.

pley2

 

Droit des sols : Le Pays bigouden réuni

25 septembre 2017

PAYS BIGOUDEN

mcsols
Michel Canévet et Raylnad Tanter, présidents de la CCHPB et de la CCPBS, avec Enrique Pérez, responsable du service mutualisé et Pierre Le Berre, Maire de Tréogat et vice président à l’habitat de la CCHPB.

Un pas de plus vient d’être franchi dans la coopération entre les deux communautés de communes. Elles viennent de signer une convention de partenariat en matière d’instruction des autorisations du droit des sols. Le service est désormais mutualisé.

Opération programmée d’amélioration de l’habitat (Opah), politique touristique, Centres locaux d’information et de coordination (Clic), aires d’accueil des gens du voyage… Les domaines de coopération entre les deux communautés de communes du Pays bigouden se sont développés ces dernières années. Hier, une nouvelle étape a été franchie. Les deux présidents de ces collectivités ont signé une convention de partenariat en matière d’instruction des autorisations du droit des sols (ADS). « Les contraintes réglementaires sont identiques. Il s’agit d’homogénéiser les pratiques et gagner en cohérence », indique Raynald Tanter, de la communauté des communes du Pays bigouden sud (CCPBS). « L’objectif, c’est aussi de garantir aux communes et aux professionnels une meilleure sécurité juridique », explique Enrique Perez, responsable du service mutualisé.

Des recrutements prévus

Ce service sera réuni sur le même site, à savoir au 14, rue Charles- Le Bastard, à Pont-l’Abbé. Il sera fonctionnel sur son nouveau périmètre d’intervention, au 1er janvier 2018. Ce service est composé de six agents : un responsable, quatre instructrices et une assistante chargée d’accueil. Deux instructeurs supplémentaires titulaires seront recrutés, ainsi qu’une personne en contrat court, le temps d’évaluer la charge de travail. Rappelons que, pour édifier une construction, quelle qu’elle soit, ou réaliser certains aménagements, il est nécessaire d’obtenir une autorisation de la part de la commune. Le maire délivre alors une autorisation du droit des sols (ADS). Celle-ci est donnée au regard du respect de différentes règles d’urbanisme : elles peuvent être nationales (loi Littoral), locales (Scot, Plu) ou il peut s’agir de servitudes dites d’utilité publique (plan de prévention des risques littoraux). Jusqu’au 1er juillet 2015, date fixée par la loi Alur, les communes de moins de 10.000 habitants pouvaient bénéficier de la mise à disposition gratuite des services de l’État pour instruire les demandes ADS (permis de construire et d’aménager, déclaration préalable). Ce service instructeur se charge de vérifier la conformité du projet et soumet au maire, autorité compétente, un projet de décision dont il reste l’unique signataire. La loi Alur a changé la donne en revenant sur cette mise à disposition des services de l’État. D’où cette nouvelle organisation, approuvée à l’unanimité par les conseils communautaires respectifs, à l’échelle du Pays bigouden, pour assurer la mission.

Optimiser les délais

Les déplacements des instructeurs sur site seront encouragés. « Nous souhaitons garantir une qualité de services en assurant une grande disponibilité aux communes souhaitant des informations ou des conseils, indique Enrique Perez. En privilégiant les contacts directs avec le demandeur, nous allons optimiser les délais d’instruction ». Des permanences mensuelles sur les règles d’urbanisme applicables seront prochainement proposées pour les porteurs de projets.

Le Télégramme du 26 septembre 2017

Inauguration de travaux divers à Porspoder

23 septembre 2017

PORSPODER

pors1Inauguration de travaux divers à Porspoder, charmante Commune du Pays d’Iroise : une route nouvelle, la restructuration des locaux scolaires et le rafraichissement des locaux péri-scolaires.

pors2.jpg

pors3Route nouvelle

Signature de la convention FEAMP entre la région Bretagne et le Pays de Cornouaille à Quimper

22 septembre 2017

QUIMPER

mcfilmar1

Signature de la convention FEAMP entre la région Bretagne et le Pays de Cornouaille à Quimper pour soutenir le développement des filières maritimes.

mcfilmar2

Inauguration de l’école des châtaigniers à Landudal

22 septembre 2017

LANDUDAL

landudal messInauguration de l’école des châtaigniers à Landudal en présence du maire, Raymond Messager

Seconde journée des assises de la pêche et des produits de la mer à Quimper

22 septembre 2017

QUIMPER

assises mer 1Seconde journée des assises de la pêche et des produits de la mer à Quimper avec d’intéressants débats sur la valorisation et l’innovation dans les produits transformés. Jean-François Hug, PDG de Chancerelle à Douarnenez rappelle l’action de cette importante conserverie familiale de poissons en France.

assises mer 2

AMF 29 : Rencontre des présidents d’EPCI du Finistère

21 septembre 2017

CARHAIX

EPCI CARHAIXAMF 29 : Rencontre des présidents d’EPCI du Finistère

Réunion des présidents de Communauté du Finistère à Carhaix  l’invitation de l’AMF 29, sur le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI).

Assises de la pêche et de ses produits de la mer, ce jeudi à Quimper

21 septembre 2017

QUIMPER

assises mer quimper 1

Assises de la pêche et de ses produits de la mer ce jeudi à Quimper en présence du Ministre de l’agriculture et de l’alimentation. Des débats de qualité pour une ambition maritime plus forte, et justifiée, de la France.

assises mer quimper 2.jpg

Communauté de Communes du Haut Pays Bigouden : Michel Canévet préside son dernier conseil

21 septembre 2017

POULDREUZIC

mcdercomcom

Michel Canévet a conclu : « Je redeviendrai simple conseiller communautaire ».

« C’est la dernière séance de conseil communautaire que je préside ! ». Voilà comment Michel Canévet a officialisé auprès des élus communautaires le choix de son mandat parlementaire au Sénat. Un choix imposé par la loi. L’élection du nouveau président se fera jeudi 28 septembre, à 20 h, au siège de la communauté de communes à Pouldreuzic. Michel Canévet a conclu : « Je redeviendrai simple conseiller communautaire ». Dont acte, nul commentaire dans la salle, ni d’annonces de candidatures pour permettre la réflexion des élus communautaires.

Urbanisme :

À compter du 1er janvier 2018, le service « instruction des autorisations du droit des sols » pour les dix communes du Haut Pays bigouden sera assuré par la communauté du Pays bigouden sud. Du partenariat dans l’air. C’est ce qui a été acté mercredi soir à Plonéour
lors du conseil communautaire du Haut Pays bigouden. En 2015, pour faire face au désengagement de l’État dans ce domaine, les deux communautés de communes avaient décidé chacune de créer leur propre service « droit du sol ». Maintenant, pour plus de cohérence territoriale, les deux communautés ont décidé de fusionner leurs deux services pour les rendre plus efficients.

Tout est regroupé sur un même site à Pont-l’Abbé. Des élus se sont interrogés quant au coût : « Ce sera moins cher ! », a glissé Michel Canévet.

Allô, allô… ?

Le Haut Pays bigouden apportera 1.238.435 € à la deuxième tranche du déploiement de la fibre optique. Le territoire devrait être maillé entièrement pour 2030. « On voudrait que ça aille plus vite ! », ont pointé les élus. En attendant, le choix politique est de consacrer chaque année la somme perçue du Fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales 506.560 € (30.000 € de moins que prévu) à ce déploiement. Philippe Ronarc’h, vice-président chargé du numérique, a interpellé l’opérateur Orange sur « les grosses difficultés rencontrées par les usagers sur le territoire ». Il en appelle à une prise de conscience d’Orange sur l’état des circuits cuivre. Par ailleurs, Pierre Plouzennec a soulevé la question du black-out qui affecte actuellement à Plozévet le réseau des professionnels.

Chers frelons asiatiques… :

Le Haut Pays bigouden avait décidé pour lutter contre le frelon asiatique de financer la destruction des nids via des conventions avec des prestataires. Mais, aujourd’hui, le frelon asiatique s’est bien installé et ça devient « un gouffre sans fonds : 100.000 € par an rien que dans l’Ouest-Cornouaille », souligne Pierre Plouzennec. Le financement est renouvelé jusqu’à la fin mai 2018. Mais on s’engage ensuite vers des actions plus pertinentes : prévention, piégeage.

Modification des statuts :

Les élus ont décidé de reporter cette question à un prochain conseil pour se donner du temps dans la prise de compétences nouvelles. À noter que le Haut Pays bigouden a décidé de ne pas exercer la compétence plan local d’urbanisme intercommunal. « Wait and see ! », a conclu Michel Canévet.

Le Télégramme du 22 septembre 2017

Michel Canévet a présidé son dernier conseil municipal en tant que maire

20 septembre 2017

PLONEOUR-LANVERN

mcmac

Michel Canévet a présidé son tout dernier conseil municipal lundi soir. Il a officialisé sa démission des postes de maire et de président de la communauté de communes, « afin de, comme le veut la loi sur cumul des mandats, conserver son mandat parlementaire au Sénat ». Il a annoncé la tenue d’un conseil  extraordinaire, le dimanche 1er octobre 2017 qui verra l’élection d’un nouveau maire. Aucune candidature n’a été dévoilée pour le moment.

Ouragans :

Michel Canévet a demandé aux élus de se montrer solidaires des victimes des ouragans aux Antilles en débloquant 500 €, par l’intermédiaire de l’Association des maires de France (AMF).

Voirie :

Pour la commission de l’aménagement et du cadre de vie, l’intégration dans le domaine communal des voies du lotissement de l’Hermitage a été agréée à l’unanimité.

Transport scolaire :

Pour la commission de la vie scolaire, le conseil déplore la baisse du nombre d’élèves utilisant les transports scolaires desservant les écoles du bourg (28 réguliers contre 30 l’an passé). Le coût pour la commune est d’environ 2.000 euros par enfant transporté alors que la participation demandée est de 56 euros pour le premier enfant, avec un tarif dégressif pour les enfants suivants.

Vie scolaire :

Les communes de Tréogat, Tréguennec et Saint-Jean-Trolimon ayant sollicité le portage des repas scolaires, le tarif appliqué sera de 3,95 € TTC, soit au prix de revient, à partir du 1er janvier 2018 (3,50 € pour le moment). La convention avec la piscine Aquasud va être renouvelée avec une participation de 3,70 € par élève et de 21 € forfaitaires par maître-nageur présent.

Internet :

Le conseil a voté le traitement des « titres payables par internet » (Tipi) proposé par la direction des impôts, pour le règlement en lignes des services communaux.

Dimanches travaillés : 

Dans le cadre de la loi Macron tendant à pouvoir étendre de cinq à douze le nombre de dimanches et jours fériés susceptibles d’être travaillés dans les commerces, la commission propose cinq dimanches travaillés en 2018, les 14 janvier et 1er juillet pour les soldes, et les 16, 23 et 30 décembre jusqu’à 12 h 45 pour les fêtes de fin d’année. Les élus de l’opposition ont voté contre.

Route de Quimper :

Le maire va signer les conventions pour le réaménagement en plusieurs tranches et sur plusieurs années de la route de Quimper, pour un coût total de 900.000 € HT. La première tranche débutera en 2018.

Le Télégramme du 20 septembre 2017

mcdercm2b

mcdercm1b

Breizh Electric Tour à Quimper

19 septembre 2017

QUIMPER

mcbet.jpg

J’ai accueilli à Quimper le Breizh Electric Tour ( => http://breizh-electric-tour.com).

70 voitures électriques effectuant un tour de Bretagne en parcourant des paysages superbes tout en faisant la promotion d’un mode de transport plus écologique. Une belle cause que j’ai décidé de soutenir.

A cette occasion, nous avons inauguré 213 bornes de recharge électrique installées par le Syndicat d’Énergie du Finistère, facilitant ainsi pour tous les citoyens propriétaires d’une voiture électrique l’accès à ce nouveau carburant.

Plus que jamais, la transition énergétique est en cours en Bretagne.

Michel CANEVET

Plonéour-Lanvern, journée du patrimoine

17 septembre 2017

PLONEOUR-LANVERN

chezmilouPlonéour-Lanvern, le bistro de Milou, légué à la Commune en 2004 au décès d’Emile Cossec, a été rouvert au public ce dimanche par l’association du quartier de Lanvern. Beaucoup de visiteurs y sont passés.

Délégation sénatoriale au SPACE de Rennes

13 septembre 2017

RENNES

space2.jpgAu SPACE de Rennes, la délégation sénatoriale à l’égalité femmes-hommes présente son rapport sur agricultrices et territoires avec Annick Billon et ses collègues.

Visite au SPACE de Rennes

13 septembre 2017

RENNES

space 1.jpgVisite au SPACE de Rennes pour connaître les évolutions robotiques dans la pratique des métiers agricoles. Un moral meilleur chez les professionnels avec toutefois un prix du lait pas assez rémunérateur : des fortes attentes des états généraux de l’alimentation pour qu’enfin les filières agricoles puissent subsister des ventes de leurs productions.

Sénat : Michel Canévet choisit d’y rester

13 septembre 2017

PLONÉOUR-LANVERN

mcplon13.jpgMichel Canévet a finalement choisi de rester sénateur du Finistère. Il démissionne de ses fonctions de maire de Plonéour-Lanvern et de président de la communauté de communes du Haut Pays bigouden. Mais il reste élu municipal et communautaire.

Le Télégramme : La loi interdisant le cumul des mandats impose au 1er octobre de choisir entre mandats locaux exécutifs et mandats nationaux. Vous avez finalement choisi ?
Michel Canévet : Contraint et forcé, j’ai dû me résigner à choisir entre mon mandat parlementaire et mes fonctions exécutives locales qui me passionnent. Ça fait déjà un quart de siècle que je suis maire de Plonéour-Lanvern et treize ans que je préside la communauté de communes du Haut Pays bigouden. Je me suis dit que, peut-être, le temps était venu que je laisse les responsabilités locales à d’autres et que je puisse, de ce fait, me consacrer un peu plus encore à mon mandat parlementaire, qui est le dernier que j’ai acquis, il y a trois ans. Je suis à mi-mandat.

Le Télégramme : Le choix du national plus que du local.
Michel Canévet : Le choix du national un peu par raison car j’ai l’impression que l’horizon semble bouché sur le plan local. Le Président de la République a annoncé qu’une nouvelle loi viendrait limiter à trois le nombre de mandat consécutif identique. Cela veut dire que je n’aurai pas la possibilité, car j’en ai déjà fait plus, de continuer au service des Plonéouristes…

Le Télégramme : Vous restez élus ?
Michel Canévet : Oui, je pense rester conseiller municipal et conseiller communautaire. C’est tout à fait conciliable, sans aucun problème. Les Plonéouristes m’ont confié la mission d’être élu sur la période 2014-2020. Il m’apparaît logique d’aller jusqu’au bout de cet engagement. Je quitterai le Sioca pour que le nouveau président de la communauté puisse l’intégrer à ma place.

Le Télégramme : Avez-vous désigné votre successeur, du moins, à Plonéour ?
Michel Canévet : Je n’ai pas désigné de successeur. J’ai annoncé lundi en majorité municipale que j’ai fait le choix de ne pas continuer sur mes fonctions de maire. Jeudi dernier, en bureau communautaire, j’ai annoncé que je fais le choix de ne pas poursuivre ma mission de président de communauté. J’ai volontairement attendu avant de dire les choses car je voulais mener jusqu’au bout ma mission sans qu’il y ait de friture sur la ligne. Je ne voulais pas non plus qu’il y ait un long débat qui s’instaure sur la suite dans les différentes collectivités.

Le Télégramme : En juin, vous vous êtes dit favorable à la réduction du nombre de parlementaires. Le Président semble également y tenir.
Michel Canévet : Je suis effectivement favorable à la réduction du nombre de parlementaire. Encore plus avec l’obligation de se démettre de ses responsabilités locales. Je n’imagine pas avoir 577 députés et 348 sénateurs qui s’occupent de faire la loi à temps plein. Déjà, je considère qu’il y a une inflation législative. Dans ce cas on arriverait à une hémorragie législative. Je trouve un peu dommage que les parlementaires ne puissent pas exercer de fonctions locales. Particulièrement les sénateurs : nous sommes les représentants des territoires, des collectivités territoriales. Il faut faire attention à ce qu’il n’y ait pas de décalage entre local et national. C’est aussi pour cela que je reste conseiller municipal et communautaire. Le Finistère perdra sûrement un sénateur et au moins quatre députés.

Le Télégramme :  Quels sont les dossiers que vous souhaitez porter au plan national ?
Michel Canévet : Je fais partie de la commission des finances au sénat. J’ai un objectif, c’est que l’État cesse de vivre au-dessus de ses moyens, c’est-à-dire que le budget de l’État revienne à l’équilibre, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Un trou de 70 milliards, ce n’est pas acceptable. Cela implique des ressources supplémentaires, donc que l’activité aille mieux. Cela implique beaucoup de rigueur dans les dépenses, comme on le fait dans les collectivités territoriales. Au plan économique, il faut que les conditions de fonctionnement des entreprises soient simplifiées.

Le Télégramme du 13 septembre 2017, propos recueillis par Stéphane Guihéneuf

___________________________________________________________

mcplonof.jpgLe sénateur-maire de Plonéour-Lanvern et président de la communauté de communes du Haut Pays bigouden va démissionner. Une obligation dans le cadre de la loi pour le non-cumul des mandats.

Entretien

Ouest-France : Mandats locaux ou Sénat ?
Michel Canévet : Je reste sénateur. Je quitte donc mes fonctions de maire de Plonéour-Lanvern et de président de la communauté de communes du Haut Pays bigouden. La loi dit qu’on ne peut pas cumuler mandat parlementaire et des fonctions exécutives locales. Je déplore être obligé de quitter mes responsabilités locales. Je suis maire depuis 25 ans et président de la communauté de communes depuis 2004 (1).

Ouest-France : Pourquoi ce choix ?
Michel Canévet : D’une part, je suis sénateur UDI-UC depuis 2014 et je me voyais mal arrêter une fonction que j’ai sollicitée. Autre raison : mes perspectives locales sont peut-être limitées car une loi empêchant les élus d’accomplir plus de trois mandats identiques successivement est en projet. Le président Macron l’a déclaré devant le Congrès. Cette loi devrait passer soit par référendum, soit par vote parlementaire. Je suis donc déjà hors quotas ! Bien que j’aie la conviction, à 56 ans, d’être en pleine force de l’âge pour continuer de servir la cause publique. Enfin, comme j’exerce ces fonctions depuis un certain temps, je souhaite céder la place pour assurer la relève. J’ajoute par ailleurs, que, comme la loi le permet, je reste simple conseiller, municipal et communautaire.

Ouest-France : Avez-vous déjà fait part de votre décision aux élus municipaux et communautaires ?
Michel Canévet : J’ai réuni la majorité municipale lundi soir et j’ai évoqué ma décision en bureau communautaire jeudi. Je vais remettre ma démission au préfet. Le conseil municipal de Plonéour se réunira le 18 septembre et l’élection du nouveau maire et des adjoints aura lieu le 1er octobre. Au niveau communautaire, le prochain conseil aura lieu le 20 septembre et l’élection du nouveau président est fixée au 28 septembre. Volontairement, j’ai annoncé ma décision tardivement.

Ouest-France : Pour quelles raisons ?
Michel Canévet : Ce changement n’est pas anodin et va susciter des ambitions. La communauté de communes du Haut Pays bigouden est un îlot de stabilité, l’ambiance de travail collectif y est très bonne.

Ouest-France : Votre mandat de sénateur expire en 2020.
Michel Canévet : D’ici là, le paysage des institutions locales pourrait évoluer…Les collectivités risquent d’être victimes d’un nouveau tour de vis de la part de l’Etat : après la baisse des dotations de 11 milliards sous la présidence Hollande, 13 milliards d’euros de baisse sont projetés pour ce quinquennat.

Ouest-France : Dans ce contexte, toujours deux communautés de communes dans le Pays bigouden ?
Michel Canévet : Cela dépendra de la future organisation territoriale française. Un échelon administratif en moins ? Si oui, lequel ? Le Département ? Dans ce cas, la taille des communautés de communes devrait évoluer. Compétences sociales obligent. Une échelle bigoudène, douarneniste et capiste ? Une échelle cornouaillaise redéfinie ? En 2020, il y aura les élections municipales mais aussi un réexamen du Schéma départemental de coopération intercommunal.

Ouest-France : A quels gros dossiers votre successeur au poste de maire devra-t-il s’atteler ?
Michel Canévet : L’aménagement urbain est prioritaire avec un projet de réaménagement du centre-ville ; l’extension de la garderie périscolaire près de l’école ND Bon Secours ; le projet de nouvelle médiathèque, peut-être près de la mairie ; sans oublier 450 m2 d’aménagement à la halle Raphalen, en lien avec la communauté de communes.

Ouest-France : Et au niveau communautaire ?
Michel Canévet : Le déploiement du très haut débit : après Pouldreuzic, place à Plovan, Tréogat, Tréguennec et l’est de Plonéour ; au niveau économique, la création d’une zone d’activités près de Capitaine Cook à Plozévet ou encore l’extension de Kerlavar à Plonéour ; côté assainissement, la construction d’une station à Plovan et un dossier d’études à Gourlizon pour une station et un réseau ; le projet de restructuration de la maison de retraite de Pouldreuzic, passant de 74 à 83 lits : le permis de construire sera déposé prochainement…

Ouest-France : Christophe Roumier, candidat Alliance centriste aux dernières législatives, a récolté 4,46 %. Une grosse déception…
Michel Canévet : Un vote conditionné par les médias pour En marche. L’étiquette a fait l’élection. Oui, je suis très déçu.

(1) Créée le 1er janvier 1994 et présidée par Ambroise Guellec jusqu’en 2004.

Entretien à Ouest-France 12 septembre 2017

Guilvinec : le platelage inauguré

10 septembre 2017

GUILVINEC

mcgvHier matin, le maire Jean-Luc Tanneau a officiellement inauguré le platelage et la placette contiguë au boulodrome. La cérémonie s’est déroulée en présence d’Alain Castanier, secrétaire général de la préfecture, Michel Canévet, sénateur, Nathalie Sarrabezolles, présidente du conseil départemental, Karim Ghachem, conseiller régional et d’autres élus de la commune. Le maire a rappelé que cette placette a été aménagée dans le but de « capter le flux des touristes
d’Haliotika, afin de le faire entrer dans le centre-ville ». « Elle est  également le point de départ d’un circuit découverte de la ville », a-t-il souligné. Le maire a rappelé que la commune a reçu pour cet aménagement 82.300 € des services de l’État, 55.000 € de la région et 36.900 € du département.

Concernant le platelage, Jean- Luc Tanneau a indiqué, avec satisfaction, les retours positifs reçus des usagers, depuis son ouverture au public, à la mi-juillet, soulignant aussi la durabilité de l’ouvrage. Un réajustement sera bientôt réalisé. Un nouvel espace de repos doit notamment être aménagé pour finaliser le platelage.

Article le Télégramme du 10/09/2017

2 jours de réflexion sur la blue economy à la chambre de commerce de Quimper avec Gunter Pauli

7 septembre 2017

QUIMPER

blue1.jpg2 jours de réflexion sur la blue economy à la chambre de commerce de Quimper avec Gunter Pauli. Des expériences menées chez Kairos ou Cadiou industries, la production de spiruline, le deploiement du LIFI, une technologie française pour l’accès à internet par la lumière ou l’approche systémique.

blue2.jpg

blue3.jpg

 

 

Visite de Chancerelle plus importante conserverie familiale de France, implantée à Douarnenez

7 septembre 2017

DOUARNENEZ

chancerelle1Visite de Chancerelle plus importante conserverie familiale de France, implantée à Douarnenez.

Une entreprise spécialisée dans la sardine pilotée par Jean-François Hug

chancerelle2.jpg

chancerelle3

chancerelle4

Plonéour-Lanvern, rentrée scolaire : des effectifs stables

4 septembre 2017

PLONEOUR-LANVERN

mcr2017Michel Canévet, Sénateur-maire, accompagné de ses adjoints, André Quéau et Jean-François Le Bléis lors du repas de la rentrée avec les enseignants et les animateurs des écoles de Plonéour-Lanvern.

Vendredi midi, les enseignants des écoles de la commune, ainsi que les animateurs du centre de loisirs se sont réunis au restaurant municipal pour le traditionnel repas de rentrée, offert par la municipalité. Pour l’école primaire publique, Thomas Delaporte, le directeur, a annoncé des effectifs stables, avec 180 élèves. Sophie Maximin revient de congé maternité et reprend en charge sa classe de CM2. Pour l’école maternelle publique, 114 bambins feront leur rentrée cette année. Là, aussi, le nombre d’élèves reste stable. Sylvie Guéguen, la directrice, a annoncé l’arrivée de deux nouvelles enseignantes, Joëlle Cayrasso et Claire Caoudal. En ce qui concerne l’école Notre- Dame de Bon Secours, Éric Nédélec recevra 259 élèves, dont 93 en maternelle et 166 en primaire. Cinquante huit élèves entreront en filière bilingue cette année (34 en primaire et 24 en maternelle). Isabelle Person quittera sa classe de grande section pour remplacer Liliane Tanguy en CE1. Géraldine Boucharé, la nouvelle enseignante de l’équipe, reprendra la grande section. Lydie Le Gendre, enseignante en CP-CE1-CE2 bilingue, en arrêt maladie, sera remplacée par Mierette Nkoua.

Des nouveautés
Le maire, Michel Canévet et André Quéau, son adjoint aux affaires scolaires, ont annoncé quelques nouveautés. Les rythmes scolaires, déjà annoncés, reviennent aux quatre jours pour tous, sur demande majoritaire des parents. Les cours auront lieu de 8 h 45 à 12 h et de 13 h 45 à 16 h 30. La pause méridienne restera d’une heure et 45 minutes, « afin de continuer à étaler les repas ». Le service de ramassage scolaire sera adapté à ces nouveaux horaires. Les animateurs du centre de loisirs accueilleront les enfants toute la journée du mercredi et assureront les gardes périscolaires. Trois nouveaux animateurs renforcent l’équipe : Jasmin, une jeune Allemande en service volontaire européen, Marcos et Douarte, deux jeunes Portugais, ont été embauchés afin « de marquer la volonté de la municipalité de s’ouvrir à l’international ».

Le maire a aussi annoncé le début du remplacement progressif des tableaux blancs interactifs (TBI) par des dalles numériques. Les diverses allocations aux écoles resteront stables. Quant à la deuxième tranche de changement des fenêtres de l’école publique, elle se fera pendant les vacances d’hiver et de printemps 2018. Le dossier de l’extension de la garderie de Notre-Dame de Bon Secours, lui, est en cours. Le parking de cette école sera agrandi afin de faciliter le stationnement des parents mais aussi pour « délester et désengorger celui de la halle Raphalen lors des grandes manifestations ».

À noter : La semaine de quatre jours est adoptée pour tous, il n’y aura donc pas classe le mercredi.

Le Télégramme du 4 septembre 2017